STepH mAcHiN

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'Début 2010' :

Après un certain nombre d'années à exercer ses talents dans différentes formations entre rock et electro sTepH mAcHiN propose ce projet solo.

Nouveaux titres ou réécriture d'anciens, la magie du Looper lui permet d'enregistrer, déclencher, effacer .... en direct toutes les boucles (à l'exception des parties "percussions / drums" déjà programmées). Une gymnastique parfois compliquée mais qui laisse une bonne part au feeling ou à l'improvisation ..... le tout dans un style auto-définit comme "cHaNsoN frANçAiSe eLECtRo bLuEs rOcK dEgLiNgUée ".

Un LP 5 titres sort fin 2011 : "eNcOrE cOmBiEn ?"

'Début 2011' :

Il se produit en DUO avec Sylvie Jourdan et / ou en fonction des lieux, en Band avec Sylvie Jourdan (accordéon), Vincent Courtay (saxophone soprano), Ronan Bernier (basse), Mathieu Roguez (Batterie) ... une formation à géométrie variable.

'Pour 2012' : Un album est en préparation ... entouré cette fois de plusieurs acolytes.


PLACE PUBLIQUE RENNES (Chronique EP "eNcOrE cOmBiEn ?" - Mars 2011)

Cet EP est le premier projet solo de Steph Machin, qui avait navigué jusqu’ici de groupes rock en aventures électro. Pour un coup d’essai, c’est quasi un coup de maître. Seul avec ses guitares, ses claviers, ses samples et ses programmations, il propose avec Encore combien ? une balade sensible et écorchée en territoire électro-blues, de l ‘Arthur H et du Arno dans la voix, les fantômes bienveillants d’Higelin et de Bashung pour anges gardiens. Il y a pire compagnie, surtout quand on garde son libre arbitre par rapport à ces monstres sacrés. Superbement produits par Bruno Green, les six titres de l’opus, dont une reprise arrache-tripes des Petits papiers de Gainsbourg, vous hantent très vite, entre vocaux éraillés, phrasés de guingois, stridences électriques, boucles obsédantes. Scéniquement, voilà un répertoire qui touche sûrement à cœur. J.T

Chronique dans INTERLIGNAGE : (Chronique EP "eNcOrE cOmBiEn ?" - Janvier 2011)

L’univers de sTepH mAcHiN mêle chanson de qualité et interprétations hantées, machines et stridences guitaristiques. Si le commun des mortels sera sans doute tenté d’évoquer Bashung ou Higelin, c’est sans doute l’excellent Jacques Duvall qui constitue le rapprochement le plus pertinent. Peu importe, du reste : les références qui viennent à l’esprit à l’écoute de cet eNcOre coMbIeN ? sont toutes saines et de bon goût, sinon de très bon goût, puisque l’ensemble porte la marque distinctive des productions Bruno Green (son dense et intimiste, guitares désertiques), jamais en retard d’une découverte. .. Ironie du sort, c’est finalement la reprise des P’tits papiers qui marque le moins. Pas mauvaise, pourtant, et même plutôt personnelle. Mais simplement assez anecdotique en regard de chansons comme La Fille de l’air ou Sous la couette, blues pétrifiants et crépusculaires ne devant pour leur part rien à personne.