« Alphonse Guérin » : différence entre les versions

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Arrêtons-nous à la découverte merveilleuse qui devait le mettre hors de pair et sauver son nom de l'oubli: il employa en 1870, avec grand succès, le pansement ouaté destiné à filtrer l'air et à empêcher d'infecter les plaies, ainsi qu'à éviter la douleur et faciliter le trai­tement des blessés, premier pas vers les procédés rigoureusement scientifiques de Lister et Pasteur.
Arrêtons-nous à la découverte merveilleuse qui devait le mettre hors de pair et sauver son nom de l'oubli: il employa en 1870, avec grand succès, le pansement ouaté destiné à filtrer l'air et à empêcher d'infecter les plaies, ainsi qu'à éviter la douleur et faciliter le trai­tement des blessés, premier pas vers les procédés rigoureusement scientifiques de Lister et Pasteur.


Président de l'Académie de mé­decine, il est également l'auteur de nombreux ouvrages de chirur­gie remarquables. Il fut le bienfai­teur de l'[[École de médecine]] de Rennes, qu'il ne cessa d'encoura­ger.
Président de l'Académie de mé­decine, il est également l'auteur de nombreux ouvrages de chirur­gie remarquables. Il épousa une riche veuve qui possédait le château de Fresne, près de Ploërmel, où il se rendait souvent. Conseiller Général de Mauron, il était attentif aux problèmes de son canton, comme à ceux de l’Ecole de Médecine de Rennes qu’il aida. La Ville de Rennes lui a décerné le titre de bienfai­teur de l'[[École de médecine]] de Rennes.


En 1884, à la suite d'une décision du Conseil municipal qui avait supprimé deux emplois de profes­seurs de clinique, Guérin s'enga­gea à faire face sur ses deniers personnels à la dépense qu'ils né­cessitaient et une subvention de 5000 francs fut inscrite au budget de la ville.
En 1884, à la suite d'une décision du Conseil municipal qui avait supprimé deux emplois de profes­seurs de clinique, Guérin s'enga­gea à faire face sur ses deniers personnels à la dépense qu'ils né­cessitaient et une subvention de 5000 francs fut inscrite au budget de la ville.


Cette subvention fut plus tard ré­duite à 2500 francs à la suite de revers de fortune, le Docteur Guérin ne put continuer sa dona­tion annuelle.
Cette subvention fut plus tard ré­duite à 2500 francs à la suite de revers de fortune, le Docteur Guérin ne put continuer sa dona­tion annuelle.
Il épousa une riche veuve qui possédait le château de Fresne, près de Ploërmel, où il se rendait souvent. Conseiller Général de Mauron, il était attentif aux problèmes de son canton, comme à ceux de l’Ecole de Médecine de Rennes qu’il aida. La Ville de Rennes lui avait décerné le titre de bienfaiteur de l’Ecole de Médecine.


Au début de l'année 1895, il contracta une grippe qui se trans­forma subitement en pneumonie.
Au début de l'année 1895, il contracta une grippe qui se trans­forma subitement en pneumonie.
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==Notes et références==
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[[Catégorie:Personnalité (Histoire)]]
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[[Catégorie:Quartier Alphonse Guérin]]
[[Catégorie:Quartier Alphonse Guérin]]
[[Catégorie:Quartier 2 : Thabor – Saint-Hélier – Alphonse Guérin]]
[[Catégorie:Quartier 2 : Thabor – Saint-Hélier – Alphonse Guérin]]
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