24 050
modifications
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 13 : | Ligne 13 : | ||
Il couchait plus souvent dans sa cellule du couvent de Bonne-Nouvelle que dans son palais de la [[rue de la Monnaie]] | Il couchait plus souvent dans sa cellule du couvent de Bonne-Nouvelle que dans son palais de la [[rue de la Monnaie]] | ||
ou dans son manoir de [[Bruz]] qu'il aimait bien et où il avait installé une sorte d'atelier professionnel avec maîtres bonnetiers, cordonniers, couturiers pour enseigner les métiers aux enfants pauvres. Il protégea l'imprimerie à ses débuts à Rennes et fit imprimer à ses frais par l'imprimeur rennais Jehan Baudoyn l'œuvre considérable de son prédécesseur au 12e siècle, l'évêque [[ Marbode]], et s'employa à maintenir la discipline ecclésiastique. | ou dans son manoir de [[Bruz]] qu'il aimait bien et où il avait installé une sorte d'atelier professionnel avec maîtres bonnetiers, cordonniers, couturiers pour enseigner les métiers aux enfants pauvres. Il protégea l'imprimerie à ses débuts à Rennes et fit imprimer à ses frais par l'imprimeur rennais Jehan Baudoyn l'œuvre considérable de son prédécesseur au 12e siècle, l'évêque [[ Marbode]], et s'employa à maintenir la discipline ecclésiastique. <ref> ''Yves Mayeuc, évêque de Rennes'', L. B., ''Ouest-Eclair'', 9 juillet 1940</ref> | ||
En 1532 il accueillit le dauphin François de France à l'occasion de son entrée dans la ville de Rennes et le couronna duc de Bretagne en sa cathédrale sous le nom de François III.<ref> [[Le dernier couronnement d'un duc à Rennes]]</ref> A cette occasion on put admirer sur un « grand tableau attaché, escript en lettres d'or le vroy langaige de Troye ». Il s'agissait d'un poème en breton composé par l'évêque. d'atelier professionnel | En 1532 il accueillit le dauphin François de France à l'occasion de son entrée dans la ville de Rennes et le couronna duc de Bretagne en sa cathédrale sous le nom de François III.<ref> [[Le dernier couronnement d'un duc à Rennes]]</ref> A cette occasion on put admirer sur un « grand tableau attaché, escript en lettres d'or le vroy langaige de Troye ». Il s'agissait d'un poème en breton composé par l'évêque. d'atelier professionnel |
modifications