« Rue Constant Véron » : différence entre les versions

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À la fin de la guerre, l'association Véron-Le Ho reprend, mais en 1921 Jean Le Ho s'éloigne pour occuper de hautes fonctions dans d'autres activités commerciales. Constant Véron est alors secondé par son gendre, Monsieur Orain, qui lui apporte une aide précieuse dans la partie administrative et commerciale, ainsi que ses deux fils, dont l'un André (gendre du Docteur Baderot<ref>[[rue Docteur Baderot]]</ref>, médecin des sapeurs-pompiers de Rennes, appelé "Docteur des pauvres"), prendra la direction de l'entreprise.
À la fin de la guerre, l'association Véron-Le Ho reprend, mais en 1921 Jean Le Ho s'éloigne pour occuper de hautes fonctions dans d'autres activités commerciales. Constant Véron est alors secondé par son gendre, Monsieur Orain, qui lui apporte une aide précieuse dans la partie administrative et commerciale, ainsi que ses deux fils, dont l'un André (gendre du Docteur Baderot<ref>[[rue Docteur Baderot]]</ref>, médecin des sapeurs-pompiers de Rennes, appelé "Docteur des pauvres"), prendra la direction de l'entreprise.


Lors de la crise mondiale qui paralyse l'industrie française, les Établissements Véron n'y échappent pas. Constant Véron décide de tenir le coup au risque de perdre sa fortune et sa santé. Il réussit à redresser la situation et sauve l'entreprise. En 1959, dans un ouvrage sur l'Ille-et-Vilaine,  sous le titre "Une industrie textile à Rennes", deux pages sont consacrées aux Établissements Véron qui emploient alors 400 ouvriers.
Lors de la crise mondiale qui paralyse l'industrie française, les Établissements Véron n'y échappent pas. Constant Véron décide de tenir le coup au risque de perdre sa fortune et sa santé. Il réussit à redresser la situation et sauve l'entreprise. En 1041, ils emploient 310 personnes. <ref> ''Ouest-Eclair'' 12/07/1941</ref> En 1959, dans un ouvrage sur l'Ille-et-Vilaine,  sous le titre "Une industrie textile à Rennes", deux pages sont consacrées aux Établissements Véron qui emploient alors 400 ouvriers.


Il continue à consacrer toute son activité à l'entreprise, jusqu'à son décès. <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref>  
Il continue à consacrer toute son activité à l'entreprise, jusqu'à son décès. <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref>  
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