« Grâce au Dr Colas-Pelletier les bombardiers américains ne frappèrent pas Rennes les 2 et 3 août 1944 » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
Ligne 32 : Ligne 32 :


Un engagement sévère aura pourtant lieu le 3 au soir à Rennes, aux Gantelles, information non donnée par le général au docteur.  
Un engagement sévère aura pourtant lieu le 3 au soir à Rennes, aux Gantelles, information non donnée par le général au docteur.  
Le 4 août après-midi, [[place de la Mairie]], dans la foule en liesse, une main tire sur la manche du colonel Rémy, c'est Marcel Colas-Pelletier. Une délégation des FFI d'Ille-et-Vilaine, conduite par Colas-Pelletier, vient trouver Rémy et suggère un passage à Paimpont devant la tombe de la mère du général de Gaulle, ce qui fut fait le 8 août. Les deux camarades d'enfance seront ensemble à Vannes, leur ville natale. Ils ne se quitteront plus jusqu'à la libération de Paris. <ref> ''La Délivrance. Mémoires d'un agent secret de la France libre''. Colonel Rémy - 1947</ref> <ref> ''Les mains jointes''. Rémy. p 228. Raoul Solar éditeur - 1948 </ref> Le Dr Colas-Pelletier se présenta sans succès dans le Morbihan, sur une liste radicale-socialiste, aux élections à l'Assemblée nationale constituante du 21 octobre 1945.
Le 4 août après-midi, [[place de la Mairie]], dans la foule en liesse, une main tire sur la manche du colonel Rémy, c'est Marcel Colas-Pelletier. Une délégation des FFI d'Ille-et-Vilaine, conduite par Colas-Pelletier, vient trouver Rémy et suggère un passage à Paimpont devant la tombe de la mère du général de Gaulle, ce qui fut fait le 8 août. Les deux camarades d'enfance seront ensemble à Vannes, leur ville natale. Ils ne se quitteront plus jusqu'à la libération de Paris. <ref> ''La Délivrance. Mémoires d'un agent secret de la France libre''. Colonel Rémy - 1947</ref> <ref> ''Les mains jointes''. Rémy. p 228. Raoul Solar éditeur - 1948 </ref> Le Dr Colas-Pelletier se présenta sans succès dans le Morbihan, sur une liste radicale-socialiste, aux élections à l'Assemblée nationale constituante du 21 octobre 1945. Par décret du 10 juillet 1948, lui fut attribué par le ministre de l'Intérieur, la médaille de bronze de la Reconnaissance française pour faits de résistance.


=== Observations ===
=== Observations ===
24 064

modifications

Menu de navigation