« Les prisonniers coloniaux à Rennes » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
aucun résumé des modifications
(photo)
Aucun résumé des modifications
Ligne 18 : Ligne 18 :
[[Fichier:Obs%C3%A8ques.png|200px|right|thumb|Obsèques d'un prisonnier "indigène", bien loin de chez lui (''Ouest-Eclair'', 11 août 1943)]]
[[Fichier:Obs%C3%A8ques.png|200px|right|thumb|Obsèques d'un prisonnier "indigène", bien loin de chez lui (''Ouest-Eclair'', 11 août 1943)]]
[[Fichier:2017-09-17_174138.png|250px|right|thumb|Le jazz pour les prisonniers coloniaux ( ''Ouest-Eclair'' 29 décembre 1943)]]
[[Fichier:2017-09-17_174138.png|250px|right|thumb|Le jazz pour les prisonniers coloniaux ( ''Ouest-Eclair'' 29 décembre 1943)]]
[[Fichier:Hot_club.png|200px|left|thumb| "Swing in Rennes#2" de alter1fo.com]]
[[Fichier:Hot_club.png|250px|left|thumb| "Swing in Rennes#2" de alter1fo.com]]


Les prisonniers étaient conduits par petits groupes, sur différents lieux de travail où ils pouvaient séjourner : fermes de [[Betton]], au Boël, à la carrière de [[Bruz]]. Le 30 décembre 1942, un groupe de ces prisonniers refusa d’obéir aux Allemands qui leur demandaient d’enterrer "comme des chiens" les 25 résistants fusillés à La Maltière.[5] L'Escorte d'honneur accompagnait les obsèques des prisonniers décédés jusqu'à leur tombe. À partir de janvier 1943, répondant à la demande des Allemands, le gouvernement français accepta que les prisonniers coloniaux soient gardés par des officiers et sous-officiers français à la place des sentinelles allemandes récupérées pour le front de l'est.
Les prisonniers étaient conduits par petits groupes, sur différents lieux de travail où ils pouvaient séjourner : fermes de [[Betton]], au Boël, à la carrière de [[Bruz]]. Le 30 décembre 1942, un groupe de ces prisonniers refusa d’obéir aux Allemands qui leur demandaient d’enterrer "comme des chiens" les 25 résistants fusillés à La Maltière.[5] L'Escorte d'honneur accompagnait les obsèques des prisonniers décédés jusqu'à leur tombe. À partir de janvier 1943, répondant à la demande des Allemands, le gouvernement français accepta que les prisonniers coloniaux soient gardés par des officiers et sous-officiers français à la place des sentinelles allemandes récupérées pour le front de l'est.
23 911

modifications

Menu de navigation