https://www.wiki-rennes.fr/api.php?action=feedcontributions&user=Daieuxetdailleurs&feedformat=atomWikiRennes - Contributions [fr]2024-03-28T12:11:03ZContributionsMediaWiki 1.39.2https://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Discussion_utilisateur:Daieuxetdailleurs&diff=28856Discussion utilisateur:Daieuxetdailleurs2014-01-27T13:33:34Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Utilisateur:daieuxetdailleurs|daieuxetdailleurs]] 27 janvier 2014<br />
Bonjour<br />
<br />
Oui j'ai cherché la page de l'Institut culturel de Bretagne vue sur le sujet il y a 1 mois mais impossible de remettre la main sur l'url profonde <br />
<br />
<br />
<br />
<br />
--[[Utilisateur:Julie|Julie]] 19 juin 2013 à 10:46 (CEST)<br />
<br />
Bonsoir ! C'est à propos de la page "Marie Bérenger". Le renvoi dans la note 3 à l'Institut culturel de Bretagne ne fonctionne pas de manière satisfaisante, du moins d'après mon essai : il faudrait peut-être une référence plus précise, car lorsqu'on arrive à la page d'accueil on ne sait vraiment pas où chercher et, quand on demande dans une fenêtre de recherche, ils disent qu'ils ne connaissent pas…[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] ([[Discussion utilisateur:JCLF|discussion]]) 26 janvier 2014 à 21:38 (CET)</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Square_Marie_B%C3%A9ranger&diff=28853Square Marie Béranger2014-01-24T11:31:39Z<p>Daieuxetdailleurs : Création article</p>
<hr />
<div>Le '''square Marie Bérenger''' est dénommé par délibération du conseil municipal de Rennes le 20 janvier 2014.<br />
Il rend hommage à la résistante [[Marie Bérenger]] (1865-1944).<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Bérenger]]<br />
[[Catégorie:Voie portant un nom de femme|Bérenger]]<br />
[[Catégorie:Quartier 12 : Bréquigny]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Place_Marie_Marvingt&diff=28852Place Marie Marvingt2014-01-23T15:13:11Z<p>Daieuxetdailleurs : Création de l'article</p>
<hr />
<div>La '''place Marie-Marvingt''' se situe dans le quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte. Cette voie est dénommée par délibération du conseil municipal de Rennes le 20 janvier 2014.<br />
<br />
== Biographie de Marie Marvingt ==<br />
<br />
Surnommée la fiancée du danger, {{w|Marie Marvingt}} est une aviatrice française née à Aurillac en 1875 et décédée à Laxou en 1963. <br />
Grande sportive, elle combat pendant la Première Guerre mondiale (sous des habits d'homme) puis intervient pour la Croix-Rouge.<br />
Elle est décorée de la Légion d'honneur en 1935 (chevalier) et 1949 (officier)<ref>Dossier consultable sur http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=NOM&VALUE_98=%27MARVINGT%27&DOM=All</ref>.<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
* Article Wikipédia<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Marvingt]]<br />
[[Catégorie:Voie portant un nom de femme|Marvingt]]<br />
[[Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Marie_B%C3%A9ranger&diff=28823Marie Béranger2014-01-20T15:41:09Z<p>Daieuxetdailleurs : Daieuxetdailleurs a déplacé la page Marie béranger vers Marie Béranger</p>
<hr />
<div>'''Marie Bérenger''' (1865-1944) est une résistante, morte en déportation.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marie Bérenger<ref>Acte de naissance, Archives municipales de Rennes, cote 2 E 73 (vue 188), consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=2E73</ref> est née le 2 décembre 1865 à la Chapelle-Boby, commune de Rennes, de Charles Victor Bérenger, employé aux chemins de fer, et de Marie Dos. Son frère Henry, né dans l'Eure en 1867, sera sénateur de Guadeloupe de 1912 à 1945<ref>Fiche biographique du sénateur Henry Béranger, Sénat.fr, consultable sur http://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/berenger_henry0845r3.html</ref>.<br />
<br />
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle abrite dans sa maison de Paramé des résistants et cache du matériel d'imprimerie<ref>Notice sur l'Institut culturel de Bretagne, consultable sur http://www.culture-bretagne.org/</ref>. <br />
<br />
Arrêtée une première fois en 1942, elle est libérée en raison de son âge (77 ans) après 3 mois d'internement. De nouveau arrêtée, elle est déportée au camp de concentration de Ravensbrück. Elle y meurt le 4 novembre 1944. <br />
<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Marie_B%C3%A9ranger&diff=28822Marie Béranger2014-01-20T15:40:03Z<p>Daieuxetdailleurs : Création article</p>
<hr />
<div>'''Marie Bérenger''' (1865-1944) est une résistante, morte en déportation.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marie Bérenger<ref>Acte de naissance, Archives municipales de Rennes, cote 2 E 73 (vue 188), consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=2E73</ref> est née le 2 décembre 1865 à la Chapelle-Boby, commune de Rennes, de Charles Victor Bérenger, employé aux chemins de fer, et de Marie Dos. Son frère Henry, né dans l'Eure en 1867, sera sénateur de Guadeloupe de 1912 à 1945<ref>Fiche biographique du sénateur Henry Béranger, Sénat.fr, consultable sur http://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/berenger_henry0845r3.html</ref>.<br />
<br />
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle abrite dans sa maison de Paramé des résistants et cache du matériel d'imprimerie<ref>Notice sur l'Institut culturel de Bretagne, consultable sur http://www.culture-bretagne.org/</ref>. <br />
<br />
Arrêtée une première fois en 1942, elle est libérée en raison de son âge (77 ans) après 3 mois d'internement. De nouveau arrêtée, elle est déportée au camp de concentration de Ravensbrück. Elle y meurt le 4 novembre 1944. <br />
<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Berthe_Savery&diff=28518Berthe Savery2014-01-04T11:47:29Z<p>Daieuxetdailleurs : /* Biographie */ modi lien sur ENS</p>
<hr />
<div>'''Berthe Savery''' (1862-1921) est une professeur de sciences, agrégée, directrice du cours secondaire de jeunes filles de Rennes de 1901 à 1904.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marguerite Berthe Savry<ref>Acte de naissance, Archives départementales de l'Yonne</ref> est née le 31 août 1862 à {{w|Auxerre}} (Yonne), de Stanislas Savry, charron, et de Marguerite Guyard, couturière.<br />
<br />
Elle fait partie de la première promotion de l'{{w|École normale supérieure de jeunes filles}} de Sèvres, en spécialisation Sciences, de 1881 à 1885. Elle obtient alors l'agrégation de mathématique<ref>Date à préciser. Les premières agrégées datant de 1883, elle figure donc parmi les premières lauréates.</ref>.<br />
<br />
En 1887, elle est nommée maîtresse chargée de cours au lycée de jeunes filles de Moulins, puis professeur l'année suivante<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1887 et 1888, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124315x/f85.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243169/f90.image</ref>. Elle y reste jusqu'en 1895, date à laquelle elle est nommée au lycée de jeunes filles de Niort<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1895, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f225.image</ref>. <br />
De 1896 à 1901, elle enseigne au lycée de jeunes filles d'Auxerre<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1896 à 1901 consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f233.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243402/f100.image</ref>. <br />
<br />
C'est en octobre 1901 qu'elle arrive à Rennes, mise à disposition de la ville de Rennes par le rectorat pour diriger le premier cours secondaire de jeunes filles de l'enseignement public<ref>P. Harismendy (dir.), ''Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909'', 2008, p. 389.</ref>. Ce cours secondaire, situé au 21 [[avenue du Mail-Donges]], est l'ancêtre de ce qui sera le [[lycée de jeunes filles]], créé en 1905 après de nombreuses demandes du rectorat et de la préfecture<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. [[Louise Bodin]] rendra hommage en 1921 à Berthe Savery pour son rôle dans la création de l'établissement<ref>C. Cosnier, Dominique Irvoas-Dantec, ''Parcours de femmes à Rennes'', 2001.</ref>. Le 10 juillet 1904, elle se voit décerner le titre d'officier de l'instruction publique<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1904, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6447720m/f9.image</ref>. <br />
<br />
Elle quitte Rennes à la rentrée 1904 pour prendre la direction du lycée de jeunes filles de Reims, où elle reste au moins jusqu'en 1910. Marguerite Ory, agrégée de lettres précédemment en poste à Toulouse, la remplace à Rennes.<br />
Berthe Savery est présente à la journée des élèves organisée le 18 mai 1907 l'Ecole normale supérieure de jeunes filles<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1907, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124354x/f329.image . ''Le Jubilé des lycées et collèges de jeunes filles et de l'Ecole normale de Sèvres'', 1911, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64583269</ref>.<br />
<br />
En 1916 et 1917, elle enseigne les sciences aux lycées Molière, puis Fénelon (Paris). Mise en congé (maladie), elle est admise à faire valoir ses droits à la retraite<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1918, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124376c/f147.image</ref>.<br />
<br />
Elle se retire semble-t-il au lieu-dit Mocquesouris, à {{w|Perrigny (Yonne)}}, où elle accueille notamment l'une de ses anciennes élèves, l'écrivain et poétesse {{w|Marie Noël}} qu'elle aide dans l'édition de ''Les Chansons et les Heures''. <br />
Berthe Savery s'éteint en 1921 à l'âge de 59 ans, sans doute des suites de la tuberculose<ref>Ecole normale supérieure d'enseignement secondaire pour jeunes filles, Le cinquantenaire de l'École de Sèvres: 1881-1931, 1932</ref>. <br />
<br />
Berthe Savery était membre de sociétés scientifiques, notamment la Société scientifique et médicale de l'Ouest, l'Association française pour l'avancement des sciences, ou encore L'Année biologique<ref><br />
Société scientifique et médicale de l'Ouest, consultable sur <br />
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6568748s/f267.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564295g/f16.image. Association française pour l'avancement des sciences, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5407845g/f33.image. L'Année biologique, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4327745/f6.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k432775j/f678.image.</ref>.<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
== Bibliographie ==<br />
* Camille Sée (dir.), ''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1881-1927, revue consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32767336m/date<br />
* Raymond Escholier, ''La neige qui brûle: Marie Noël'', 1957<br />
* Jo Burr Margadant, ''Madame le professeur: women educators in the Third Republic'', 1990<br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Berthe_Savery&diff=28204Berthe Savery2013-12-10T18:13:28Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout catégorie Enseignement secondaire</p>
<hr />
<div>'''Berthe Savery''' (1862-1921) est une professeur de sciences, agrégée, directrice du cours secondaire de jeunes filles de Rennes de 1901 à 1904.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marguerite Berthe Savry<ref>Acte de naissance, Archives départementales de l'Yonne</ref> est née le 31 août 1862 à {{w|Auxerre}} (Yonne), de Stanislas Savry, charron, et de Marguerite Guyard, couturière.<br />
<br />
Elle fait partie de la première promotion de l'{{w|Ecole normale supérieure de jeunes filles}} de Sèvres, en spécialisation Sciences, de 1881 à 1885. Elle obtient alors l'agrégation de mathématique<ref>Date à préciser. Les premières agrégées datant de 1883, elle figure donc parmi les premières lauréates.</ref>.<br />
<br />
En 1887, elle est nommée maîtresse chargée de cours au lycée de jeunes filles de Moulins, puis professeur l'année suivante<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1887 et 1888, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124315x/f85.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243169/f90.image</ref>. Elle y reste jusqu'en 1895, date à laquelle elle est nommée au lycée de jeunes filles de Niort<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1895, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f225.image</ref>. <br />
De 1896 à 1901, elle enseigne au lycée de jeunes filles d'Auxerre<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1896 à 1901 consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f233.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243402/f100.image</ref>. <br />
<br />
C'est en octobre 1901 qu'elle arrive à Rennes, mise à disposition de la ville de Rennes par le rectorat pour diriger le premier cours secondaire de jeunes filles de l'enseignement public<ref>P. Harismendy (dir.), ''Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909'', 2008, p. 389.</ref>. Ce cours secondaire, situé au 21 [[avenue du Mail-Donges]], est l'ancêtre de ce qui sera le [[lycée de jeunes filles]], créé en 1905 après de nombreuses demandes du rectorat et de la préfecture<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. [[Louise Bodin]] rendra hommage en 1921 à Berthe Savery pour son rôle dans la création de l'établissement<ref>C. Cosnier, Dominique Irvoas-Dantec, ''Parcours de femmes à Rennes'', 2001.</ref>. Le 10 juillet 1904, elle se voit décerner le titre d'officier de l'instruction publique<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1904, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6447720m/f9.image</ref>. <br />
<br />
Elle quitte Rennes à la rentrée 1904 pour prendre la direction du lycée de jeunes filles de Reims, où elle reste au moins jusqu'en 1910. Marguerite Ory, agrégée de lettres précédemment en poste à Toulouse, la remplace à Rennes.<br />
Berthe Savery est présente à la journée des élèves organisée le 18 mai 1907 l'Ecole normale supérieure de jeunes filles<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1907, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124354x/f329.image . ''Le Jubilé des lycées et collèges de jeunes filles et de l'Ecole normale de Sèvres'', 1911, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64583269</ref>.<br />
<br />
En 1916 et 1917, elle enseigne les sciences aux lycées Molière, puis Fénelon (Paris). Mise en congé (maladie), elle est admise à faire valoir ses droits à la retraite<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1918, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124376c/f147.image</ref>.<br />
<br />
Elle se retire semble-t-il au lieu-dit Mocquesouris, à {{w|Perrigny (Yonne)}}, où elle accueille notamment l'une de ses anciennes élèves, l'écrivain et poétesse {{w|Marie Noël}} qu'elle aide dans l'édition de ''Les Chansons et les Heures''. <br />
Berthe Savery s'éteint en 1921 à l'âge de 59 ans, sans doute des suites de la tuberculose<ref>Ecole normale supérieure d'enseignement secondaire pour jeunes filles, Le cinquantenaire de l'École de Sèvres: 1881-1931, 1932</ref>. <br />
<br />
Berthe Savery était membre de sociétés scientifiques, notamment la Société scientifique et médicale de l'Ouest, l'Association française pour l'avancement des sciences, ou encore L'Année biologique<ref><br />
Société scientifique et médicale de l'Ouest, consultable sur <br />
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6568748s/f267.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564295g/f16.image. Association française pour l'avancement des sciences, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5407845g/f33.image. L'Année biologique, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4327745/f6.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k432775j/f678.image.</ref>.<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
== Bibliographie ==<br />
* Camille Sée (dir.), ''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1881-1927, revue consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32767336m/date<br />
* Raymond Escholier, ''La neige qui brûle: Marie Noël'', 1957<br />
* Jo Burr Margadant, ''Madame le professeur: women educators in the Third Republic'', 1990<br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Martenot&diff=28203Rue Martenot2013-12-10T18:02:23Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout du collège Anne-de-Bretagne</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Martenot]]<br />
<br />
La '''rue Martenot''' part de la jonction du [[contour de la Motte]] et de la [[rue Gambetta]] et, à hauteur de la [[rue de Viarmes]], est prolongée par la [[rue de Paris]]. Elle portait jusqu'en 1906 le nom de ''rue de Belair'', nom d'une maison de plaisance dont les jardins la bordaient. Jusqu'au percement de la [[rue Victor Hugo]], en 1828, elle était la voie reliant le centre à la route de Paris.<br />
[[Fichier:Hotel_de_cornulier.jpg|250px|right|thumb|L'hôtel de Cornulier, maintenant siège de la préfecture de la région Bretagne - (de Wikimedia Commons]]<br />
Au n°1 se trouve l'hôtel de la préfecture de région, ancien ''hôtel de Ruberso'' , puis ''hôtel de Cornulier'', construit en 1715, qui servit de résidence aux intendants de Bretagne, mais dont les parties centrale et orientale ont été reconstruites en 1860, et au n°5 l'ancienne ''caserne du Bon Pasteur'', d'abord couvent construit en 1750 pour les filles repenties qui fut converti, sous la Terreur, en prison de femmes. Suivent ''l'hôtel de Courcy'', d'architecture néo-palladienne, construit par Richelot vers 1830, siège du Conseil régional, et ''l'hôtel Villemain'' construit vers 1840. Au n°13, se dresse l'ancienne chapelle des Carmes construite en 1866.<br />
En rive sud, se trouvent, au n°2 l'ancien hôtel de la Caisse d'épargne et ''l'hôtel Richelot'' , peu visible de la rue, puis l'hôtel Le Beschu de Champsavin, puis les trois hôtels accolés Le Corgne de Timadeuc, construits entre 1840 et 1845.<br />
<br />
Au 15 de la rue se situe le [[collège Anne-de-Bretagne]].<br />
<br />
Le nom de la rue se réfère à :<br />
<br />
<br />
===Jean-Baptiste Martenot=== <br />
<br />
(26 juillet 1828, Saint-Seine-l'Abbaye, Côte-d’Or - 30 mars 1906, Rennes) architecte de la ville de Rennes. Les Halles Martenot et la préfecture Martenot ont été nommées en son honneur. Il est un ancien élève de l’école des Beaux-Arts de Rennes.<br />
<br />
===lien interne===<br />
<br />
<br />
[[Jean-Baptiste Martenot]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Coll%C3%A8ge_Anne-de-Bretagne&diff=28202Collège Anne-de-Bretagne2013-12-10T18:00:21Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>{{En construction}}<br />
<br />
<br />
Le collège Anne-de-Bretagne est un établissement public d'enseignement secondaire, situé au 15 [[rue Martenot]] à Rennes. L'établissement est depuis 1848 un lieu d'enseignement, d'abord tenu par les {{w|Frères de l'instruction publique de Ploërmel}}, jusqu'en 1903, puis lycée de jeunes filles à partir de 1908.<br />
<br />
<br />
== Historique == <br />
Le 2 octobre 1905, le conseil municipal de Rennes, sous les pressions du rectorat et de la Préfecture, accepte de transformer le cours secondaire de jeunes filles<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. Ce dernier, créé en 1901 au 21 avenue du Mail-Donges, bénéficie jusqu'à cette date de professeurs mises à disposition par le rectorat : [[Berthe Savery]], puis [[Marguerite Ory]].<br />
<br />
En 1908, l'établissement est officiellement installé rue Martenot, dans les anciens locaux de l'école des Frères de l'instruction publique de Ploërmel, fermée en 1903. Le bâtiment est agrandi et réaménagé sous le mandat de [[Jean Janvier]].<br />
<br />
<br />
== Notes et références == <br />
<references/><br />
<br />
== Liens externes ==<br />
* Site Internet du collège : http://www.collegeannedebretagnerennes.ac-rennes.fr<br />
* Notice de l'Inventaire régional : http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35022199<br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement_secondaire]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Coll%C3%A8ge_Anne-de-Bretagne&diff=28201Collège Anne-de-Bretagne2013-12-10T17:59:10Z<p>Daieuxetdailleurs : Création de l'article</p>
<hr />
<div>''ébauche''<br />
<br />
<br />
Le collège Anne-de-Bretagne est un établissement public d'enseignement secondaire, situé au 15 [[rue Martenot]] à Rennes. L'établissement est depuis 1848 un lieu d'enseignement, d'abord tenu par les {{w|Frères de l'instruction publique de Ploërmel}}, jusqu'en 1903, puis lycée de jeunes filles à partir de 1908.<br />
<br />
<br />
== Historique == <br />
Le 2 octobre 1905, le conseil municipal de Rennes, sous les pressions du rectorat et de la Préfecture, accepte de transformer le cours secondaire de jeunes filles<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. Ce dernier, créé en 1901 au 21 avenue du Mail-Donges, bénéficie jusqu'à cette date de professeurs mises à disposition par le rectorat : [[Berthe Savery]], puis [[Marguerite Ory]].<br />
<br />
En 1908, l'établissement est officiellement installé rue Martenot, dans les anciens locaux de l'école des Frères de l'instruction publique de Ploërmel, fermée en 1903. Le bâtiment est agrandi et réaménagé sous le mandat de [[Jean Janvier]].<br />
<br />
<br />
== Notes et références == <br />
<references/><br />
<br />
== Liens externes ==<br />
* Site Internet du collège : http://www.collegeannedebretagnerennes.ac-rennes.fr<br />
* Notice de l'Inventaire régional : http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35022199</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Berthe_Savery&diff=28200Berthe Savery2013-12-10T17:44:20Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>'''Berthe Savery''' (1862-1921) est une professeur de sciences, agrégée, directrice du cours secondaire de jeunes filles de Rennes de 1901 à 1904.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marguerite Berthe Savry<ref>Acte de naissance, Archives départementales de l'Yonne</ref> est née le 31 août 1862 à {{w|Auxerre}} (Yonne), de Stanislas Savry, charron, et de Marguerite Guyard, couturière.<br />
<br />
Elle fait partie de la première promotion de l'{{w|Ecole normale supérieure de jeunes filles}} de Sèvres, en spécialisation Sciences, de 1881 à 1885. Elle obtient alors l'agrégation de mathématique<ref>Date à préciser. Les premières agrégées datant de 1883, elle figure donc parmi les premières lauréates.</ref>.<br />
<br />
En 1887, elle est nommée maîtresse chargée de cours au lycée de jeunes filles de Moulins, puis professeur l'année suivante<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1887 et 1888, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124315x/f85.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243169/f90.image</ref>. Elle y reste jusqu'en 1895, date à laquelle elle est nommée au lycée de jeunes filles de Niort<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1895, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f225.image</ref>. <br />
De 1896 à 1901, elle enseigne au lycée de jeunes filles d'Auxerre<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1896 à 1901 consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f233.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243402/f100.image</ref>. <br />
<br />
C'est en octobre 1901 qu'elle arrive à Rennes, mise à disposition de la ville de Rennes par le rectorat pour diriger le premier cours secondaire de jeunes filles de l'enseignement public<ref>P. Harismendy (dir.), ''Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909'', 2008, p. 389.</ref>. Ce cours secondaire, situé au 21 [[avenue du Mail-Donges]], est l'ancêtre de ce qui sera le [[lycée de jeunes filles]], créé en 1905 après de nombreuses demandes du rectorat et de la préfecture<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. [[Louise Bodin]] rendra hommage en 1921 à Berthe Savery pour son rôle dans la création de l'établissement<ref>C. Cosnier, Dominique Irvoas-Dantec, ''Parcours de femmes à Rennes'', 2001.</ref>. Le 10 juillet 1904, elle se voit décerner le titre d'officier de l'instruction publique<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1904, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6447720m/f9.image</ref>. <br />
<br />
Elle quitte Rennes à la rentrée 1904 pour prendre la direction du lycée de jeunes filles de Reims, où elle reste au moins jusqu'en 1910. Marguerite Ory, agrégée de lettres précédemment en poste à Toulouse, la remplace à Rennes.<br />
Berthe Savery est présente à la journée des élèves organisée le 18 mai 1907 l'Ecole normale supérieure de jeunes filles<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1907, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124354x/f329.image . ''Le Jubilé des lycées et collèges de jeunes filles et de l'Ecole normale de Sèvres'', 1911, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64583269</ref>.<br />
<br />
En 1916 et 1917, elle enseigne les sciences aux lycées Molière, puis Fénelon (Paris). Mise en congé (maladie), elle est admise à faire valoir ses droits à la retraite<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1918, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124376c/f147.image</ref>.<br />
<br />
Elle se retire semble-t-il au lieu-dit Mocquesouris, à {{w|Perrigny (Yonne)}}, où elle accueille notamment l'une de ses anciennes élèves, l'écrivain et poétesse {{w|Marie Noël}} qu'elle aide dans l'édition de ''Les Chansons et les Heures''. <br />
Berthe Savery s'éteint en 1921 à l'âge de 59 ans, sans doute des suites de la tuberculose<ref>Ecole normale supérieure d'enseignement secondaire pour jeunes filles, Le cinquantenaire de l'École de Sèvres: 1881-1931, 1932</ref>. <br />
<br />
Berthe Savery était membre de sociétés scientifiques, notamment la Société scientifique et médicale de l'Ouest, l'Association française pour l'avancement des sciences, ou encore L'Année biologique<ref><br />
Société scientifique et médicale de l'Ouest, consultable sur <br />
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6568748s/f267.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564295g/f16.image. Association française pour l'avancement des sciences, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5407845g/f33.image. L'Année biologique, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4327745/f6.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k432775j/f678.image.</ref>.<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
== Bibliographie ==<br />
* Camille Sée (dir.), ''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1881-1927, revue consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32767336m/date<br />
* Raymond Escholier, ''La neige qui brûle: Marie Noël'', 1957<br />
* Jo Burr Margadant, ''Madame le professeur: women educators in the Third Republic'', 1990</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Berthe_Savery&diff=28199Berthe Savery2013-12-10T17:42:21Z<p>Daieuxetdailleurs : Complément article</p>
<hr />
<div>'''Berthe Savery''' (1862-1921) est une professeur de sciences, agrégée, directrice du cours secondaire de jeunes filles de Rennes de 1901 à 1904.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marguerite Berthe Savry<ref>Acte de naissance, Archives départementales de l'Yonne</ref> est née le 31 août 1862 à {{w|Auxerre}} (Yonne), de Stanislas Savry, charron, et de Marguerite Guyard, couturière.<br />
<br />
Elle fait partie de la première promotion de l'{{w|Ecole normale supérieure de jeunes filles}} de Sèvres, en spécialisation Sciences, de 1881 à 1885. Elle obtient alors l'agrégation de mathématique<ref>Date à préciser. Les premières agrégées datant de 1883, elle figure donc parmi les premières lauréates.</ref>.<br />
<br />
En 1887, elle est nommée maîtresse chargée de cours au lycée de jeunes filles de Moulins, puis professeur l'année suivante<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1887 et 1888, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124315x/f85.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243169/f90.image</ref>. Elle y reste jusqu'en 1895, date à laquelle elle est nommée au lycée de jeunes filles de Niort<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1895, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f225.image</ref>. <br />
De 1896 à 1901, elle enseigne au lycée de jeunes filles d'Auxerre<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1896 à 1901 consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f233.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243402/f100.image</ref>. <br />
<br />
C'est en octobre 1901 qu'elle arrive à Rennes, mise à disposition de la ville de Rennes par le rectorat pour diriger le premier cours secondaire de jeunes filles de l'enseignement public<ref>P. Harismendy (dir.), ''Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909'', 2008, p. 389.</ref>. Ce cours secondaire, situé au 21 [[avenue du Mail-Donges]], est l'ancêtre de ce qui sera le lycée de jeunes filles, créé en 1905 après de nombreuses demandes du rectorat et de la préfecture<ref>Archives de Rennes, délibération du conseil municipal, 2 octobre 1905, cote 1 D 141, consultable sur http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1d141 (vue 474 et suivantes)</ref>. [[Louise Bodin]] rendra hommage en 1921 à Berthe Savery pour son rôle dans la création de l'établissement<ref>C. Cosnier, Dominique Irvoas-Dantec, ''Parcours de femmes à Rennes'', 2001.</ref>. Le 10 juillet 1904, elle se voit décerner le titre d'officier de l'instruction publique<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1904, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6447720m/f9.image</ref>. <br />
<br />
Elle quitte Rennes à la rentrée 1904 pour prendre la direction du lycée de jeunes filles de Reims, où elle reste au moins jusqu'en 1910. Marguerite Ory, agrégée de lettres précédemment en poste à Toulouse, la remplace à Rennes.<br />
Berthe Savery est présente à la journée des élèves organisée le 18 mai 1907 l'Ecole normale supérieure de jeunes filles<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1907, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124354x/f329.image . ''Le Jubilé des lycées et collèges de jeunes filles et de l'Ecole normale de Sèvres'', 1911, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64583269</ref>.<br />
<br />
En 1916 et 1917, elle enseigne les sciences aux lycées Molière, puis Fénelon (Paris). Mise en congé (maladie), elle est admise à faire valoir ses droits à la retraite<ref>''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1918, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124376c/f147.image</ref>.<br />
<br />
Elle se retire semble-t-il au lieu-dit Mocquesouris, à {{w|Perrigny (Yonne)}}, où elle accueille notamment l'une de ses anciennes élèves, l'écrivain et poétesse {{w|Marie Noël}} qu'elle aide dans l'édition de ''Les Chansons et les Heures''. <br />
Berthe Savery s'éteint en 1921 à l'âge de 59 ans, sans doute des suites de la tuberculose<ref>Ecole normale supérieure d'enseignement secondaire pour jeunes filles, Le cinquantenaire de l'École de Sèvres: 1881-1931, 1932</ref>. <br />
<br />
Berthe Savery était membre de sociétés scientifiques, notamment la Société scientifique et médicale de l'Ouest, l'Association française pour l'avancement des sciences, ou encore L'Année biologique<ref><br />
Société scientifique et médicale de l'Ouest, consultable sur <br />
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6568748s/f267.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6564295g/f16.image. Association française pour l'avancement des sciences, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5407845g/f33.image. L'Année biologique, consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4327745/f6.image et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k432775j/f678.image.</ref>.<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
== Bibliographie ==<br />
* Camille Sée (dir.), ''L'Enseignement secondaire des jeunes filles'', 1881-1927, revue consultable sur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32767336m/date<br />
* Raymond Escholier, ''La neige qui brûle: Marie Noël'', 1957<br />
* Jo Burr Margadant, ''Madame le professeur: women educators in the Third Republic'', 1990</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Berthe_Savery&diff=28198Berthe Savery2013-12-10T17:11:44Z<p>Daieuxetdailleurs : Création de l'article</p>
<hr />
<div>'''Berthe Savery''' (1862-1921) est une professeur de sciences, agrégée, directrice du cours secondaire de jeunes filles de Rennes de 1901 à 1904.<br />
<br />
== Biographie ==<br />
Marguerite Berthe Savry<ref>Acte de naissance, Archives départementales de l'Yonne</ref> est née le 31 août 1862 à {{w|Auxerre}} (Yonne), de Stanislas Savry, charron, et de Marguerite Guyard, couturière.<br />
<br />
Elle fait partie de la première promotion de l'{{w|Ecole normale supérieure de jeunes filles}} de Sèvres, en spécialisation Sciences, de 1881 à 1885. Elle obtient alors l'agrégation de mathématique<ref>Date à préciser. Les premières agrégées datant de 1883, elle figure donc parmi les premières lauréates</ref>.<br />
<br />
En 1887, elle est nommée maîtresse chargée de cours au lycée de jeunes filles de Moulins, puis professeur l'année suivante<ref>L'Enseignement secondaire des jeunes filles, 1887 et 1888, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124315x/f85.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243169/f90.image</ref>. Elle y reste jusqu'en 1895, date à laquelle elle est nommée au lycée de jeunes filles de Niort<ref>L'Enseignement secondaire des jeunes filles, 1895, consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f225.image</ref>. <br />
De 1896 à 1901, elle enseigne au lycée de jeunes filles d'Auxerre<ref>L'Enseignement secondaire des jeunes filles, 1896 à 1901 consultable sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243313/f233.image , http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1243402/f100.image</ref>. <br />
C'est en octobre 1901 qu'elle arrive à Rennes, comme directrice du premier cours secondaire de jeunes filles<ref>P. Harismendy (dir.), ''Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909'', 2008, p. 389.</ref>, ancêtre de ce qui sera le lycée de jeunes filles, créé en 1904. Ce cours est situé au 21 [[avenue du Mail-Donges]]. <br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1926&diff=2730619262013-10-03T15:02:07Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* 4 juillet : inauguration de la [[piscine Saint-Georges]]<ref>Voir Archives de Rennes, 1 M 171</ref><br />
* 4 décembre : naissance de [[Bernard Fournier]], auteur du livre ''[[Les gens de chez nous]]'', notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay.<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Piscine_Saint-Georges&diff=27305Piscine Saint-Georges2013-10-03T15:00:35Z<p>Daieuxetdailleurs : Page créée avec « Piscine construite entre 1923 et 1926, sur les plans de l'architecte Emmanuel Le Ray, avec des mosaïques d'Isidore Odorico. Elle est inaugurée le 4 juillet [1926... »</p>
<hr />
<div>Piscine construite entre 1923 et 1926, sur les plans de l'architecte [[Emmanuel Le Ray]], avec des mosaïques d'[[Isidore Odorico]]. Elle est inaugurée le 4 juillet [1926].<br />
<br />
== Liens ==<br />
* [http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35022392&qid=sdx_q0&n=2&menu=4 GLAD, service de l'inventaire]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1916&diff=2730419162013-10-03T14:52:07Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* 9 avril : organisation de la Journée du poilu sportif, afin d'envoyer des ballons aux soldats mobilisés<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6446865/f3.image Ouest-Eclair, 10 avril 1916]</ref><br />
* 5 août : naissance de [[Rue Jeanne Couplan|Jeanne Couplan]], résistance déportée.<br />
<br />
== Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1922&diff=2730319222013-10-03T14:47:59Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>== Mai ==<br />
* 7 mai : Au stade Pershing, ''le Red Star'' bat en finale de la Coupe de France le [[Stade Rennais]] UC par 2-0.<br />
* 2 juillet : inauguration du [[Panthéon rennais]], à la mémoire des morts de la Première Guerre mondiale.<br />
<br />
== Naissance à Rennes==<br />
*26 août : [[Lucien Musset]], historien.<br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1857&diff=2730218572013-10-03T14:43:22Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* 26-28 avril : [[arrivée du chemin de fer à Rennes]] et inauguration de la ligne.<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1895&diff=2730118952013-10-03T14:42:55Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>*21 février : décès du Docteur [[Alphonse Guérin]]<br />
*Juin : annulation en dernière minute de la visite de {{w|Sadi Carnot (président)}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
* 14 juillet : inauguration de la statue d'[[Edgar Le Bastard]]<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1892&diff=2730018922013-10-03T14:41:40Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* 28 juin : décès d' [[Edgar Le Bastard]], maire de Rennes<br />
* 21 août : naissance de l'acteur et cinéaste [[Charles Vanel]]<br />
* 22 septembre : grande fête pour l'inauguration de la statue de [[Jean Leperdit]]<br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1985&diff=2729919852013-10-03T14:38:17Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* 1er février : visite du Président {{w|François Mitterand}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
* 27 septembre : Danielle Mitterrand pose la première pierre de la [[Maison Verte]] à Villejean, dont son association "Cause commune", devenue France-Libertés, soutient la construction.<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1987&diff=2729819872013-10-03T14:38:02Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* Deux années de fouille [[rue de Saint-Malo]] révèlent un [[habitat gallo-romain|quartier gallo-romain]] <ref>Le Rennais, avril 2000.</ref>.<br />
* 20 mars : inauguration par le Président {{w|François Mitterand}}du réseau câblé local<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
* 15 juin :[[ inauguration de l'hôtel de la CCI de Rennes à Beauregard.]]<br />
<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1985&diff=2729719852013-10-03T14:36:08Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* février : visite du Président {{w|François Mitterand}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
* 27 septembre : Danielle Mitterrand pose la première pierre de la [[Maison Verte]] à Villejean, dont son association "Cause commune", devenue France-Libertés, soutient la construction.<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1914&diff=2729619142013-10-03T14:30:29Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* 30 mai-1er juin : [[le président Poincaré à Rennes]]<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref> : <br />
** inauguration du plafond du théâtre de Rennes, peinture de [[Jean-Julien Lemordant]] sur 132 m2, par le président de la République, <br />
** inauguration de l'[[hôtel de ville]] rénové, <br />
** inauguration de la crèche rue Saint-Hélier,<br />
** inauguration du groupe scolaire [[boulevard de la Liberté]],<br />
** banquet aux Lices,<br />
**grande démonstration gymnique au champ de Mars.<br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1896&diff=2729518962013-10-03T14:24:08Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>*La [[Faculté de médecine]] s'installe [[rue Dupont des Loges]]<br />
* 11-13 août : visite du Président {{w|Félix Faure}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
* 12 août : inauguration, par le président de la République Félix Faure et M. Méline, président du conseil et ministre de l'agriculture, de l'école nationale d'agriculture, avenue de Saint-Brieuc.<br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1879&diff=2729418792013-10-03T14:20:27Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* Janvier : ''Polémiques à l'occasion des élections sénatoriales du 5 janvier 1879 à Rennes''. <ref>''Polémiques'' selon l'inventaire du ''Fonds Berthois'', cote ''1 F 1894'' des Archives départementales.</ref>.<br />
<br />
* 19-20 août : visite du Président {{w|Patrice de Mac Mahon}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
==Transport==<br />
Il faut 7 heures de train pour relier Paris à Rennes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref><br />
<br />
==Insolite==<br />
L'horloge de la gare de Rennes est réglée sur le méridien de Paris pour permettre aux voyageurs de régler leur montre avant le départ. Le décalage horaire entre Paris et Rennes est alors de 17 minutes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref> - décalage horaire qui cessera [[1880|l'année suivante]].<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1895&diff=2729318952013-10-03T14:20:17Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>*21 février : décès du Docteur [[Alphonse Guérin]]<br />
*Juin : annulation en dernière minute de la visite de {{w|Sadi Carnot (président)}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1879&diff=2729018792013-10-03T14:17:40Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* Janvier : ''Polémiques à l'occasion des élections sénatoriales du 5 janvier 1879 à Rennes''. <ref>''Polémiques'' selon l'inventaire du ''Fonds Berthois'', cote ''1 F 1894'' des Archives départementales.</ref>.<br />
<br />
* 19-20 août : visite du Président {{w|Patrice de Mac Mahon}}<ref>Voir notamment le dossier Présidents en visite, [[http://www.archives.rennes.fr/fileadmin/archives/documents/action_culturelle/Rennes_Nantes/Presidents_en_visite.pdf Archives de Rennes]]</ref>.<br />
<br />
==Transport==<br />
Il faut 7 heures de train pour relier Paris à Rennes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref><br />
<br />
==Insolite==<br />
L'horloge de la gare de Rennes est réglée sur le méridien de Paris pour permettre aux voyageurs de régler leur montre avant le départ. Le décalage horaire entre Paris et Rennes est alors de 17 minutes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref> - décalage horaire qui cessera [[1880|l'année suivante]].<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1879&diff=2728918792013-10-03T14:13:27Z<p>Daieuxetdailleurs : /* Insolite */</p>
<hr />
<div>* Janvier : ''Polémiques à l'occasion des élections sénatoriales du 5 janvier 1879 à Rennes''. <ref>''Polémiques'' selon l'inventaire du ''Fonds Berthois'', cote ''1 F 1894'' des Archives départementales.</ref>.<br />
<br />
==Transport==<br />
Il faut 7 heures de train pour relier Paris à Rennes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref><br />
<br />
==Insolite==<br />
L'horloge de la gare de Rennes est réglée sur le méridien de Paris pour permettre aux voyageurs de régler leur montre avant le départ. Le décalage horaire entre Paris et Rennes est alors de 17 minutes<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen - bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVII - 2008</ref> - décalage horaire qui cessera [[1880|l'année suivante]].<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Affiches_de_Rennes&diff=27281Affiches de Rennes2013-10-03T12:39:29Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout des Tablettes rennaises</p>
<hr />
<div>Les '''Affiches de Rennes''' sont un hebdomadaire concernant la Bretagne publié entre [[1784]] et [[1792]], imprimé par la ''[[Veuve François Vatar]]''. Il peut être consulté aux {{W|Archives départementales d'Ille-et-Vilaine}}, ou sur le [http://www.tablettes-rennaises.fr/app/photopro.sk/rennes/detail?docid=23082 site Internet] des [[Tablettes rennaises]].<br />
<br />
<br />
==Sources==<br />
* Répertoire d'[[Henri-François Buffet]], [[1959]].<br />
* [http://c18.net/dp/dp.php?no=59 ''Dictionnaire des journaux'' 1600-1789, sous la direction de Jean Sgard, Paris, Universitas, 1991: notice 59]<br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Périodique imprimé à Rennes]]<br />
[[Catégorie:Histoire de Rennes au XVIIIe siècle]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1917&diff=2727419172013-10-02T16:53:45Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* '''1er février''' : une explosion dans un atelier de [[La Courrouze]] fait plusieurs morts et blessés.<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k644984b/f3.image Ouest-Eclair, 2 février 1917]</ref><br />
*'''12 août''' : naissance de [[Rue Angèle Vannier|Angèle Vannier]]<br />
<br />
== Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1917&diff=2727319172013-10-02T16:53:30Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Éphéméride]]<br />
* 1er février : une explosion dans un atelier de [[La Courrouze]] fait plusieurs morts et blessés.<ref>[[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k644984b/f3.image Ouest-Eclair, 2 février 1917]]</ref><br />
*'''12 août''' : naissance de [[Rue Angèle Vannier|Angèle Vannier]]<br />
<br />
== Notes et références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=1880&diff=2727218802013-10-02T16:45:20Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>* '''1er mai''' : Rennes adopte l'heure de Paris<ref>Arrêté du 1er avril 1880. Archives de Rennes, 9 Fi 1497. [[http://daieuxetdailleurs.tumblr.com/post/62906853593/lheure-cest-lheure Retranscription en ligne.]]</ref><br />
* '''Octobre''' : Rennes subit des inondations<br />
<br />
== Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Éphéméride]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_d%27Antrain&diff=27240Rue d'Antrain2013-10-01T14:56:28Z<p>Daieuxetdailleurs : /* A voir */</p>
<hr />
<div>Cette voie s’appelait jusqu’en 1792 [[rue de la Reverdiais]], du nom d’une maison de plaisance entourée de jardins et de bosquets qui se trouvait sur son parcours.<br />
Le faubourg était nommé "Faubourg Saint-Laurent" ou "Pavé Saint-Laurent" car il menait vers cette paroisse.<br />
<br />
Cette voie est dénommée par délibération du conseil municipal du 24 juillet 1923<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D157 Archives de Rennes]</ref> et prolongée par délibération du conseil municipal le 19 décembre 1923<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D157 Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
La rue d'Antrain relie la [[rue de la Visitation]] au [[boulevard Volney]] et à la [[rue de la Motte Brûlon]]. Elle est prolongée par l'[[avenue Général George S. Patton]].<br />
<br />
==A voir==<br />
*au n°2, une maison à pan de bois du XVIe siècle, dite de la Croix-Verte<ref>Inventaire régional, [[http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35023567&qid=sdx_q1&n=132&menu=4 fiche du GLAD]]</ref>,<br />
*au n°9, l'immeuble de l'ancien [[magasin Valton]], décoré par le mosaïste [[Isidore Odorico]] père en [[1897]]<ref>Inventaire régional, [[http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35023236&qid=sdx_q13&n=174&menu=4 fiche du GLAD]]</ref>,<br />
*au n°10, une maison à pan de bois du XVIe siècle<ref>Inventaire régional, [[http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35023571&qid=sdx_q1&n=95&menu=4 fiche du GLAD]]</ref>,<br />
*au n°29, le cinéma [[L'Arvor (Saint-Hélier)]], construit en 1949<ref>Inventaire régional, [[http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35026834&qid=sdx_q1&n=140&menu=4 du GLAD]]</ref>,<br />
*au n°43, la [[Maison Crespel]], construite en 1950-1954, par [[Louis Chouinard]], bâtiment reconnu par le reconnus par le label Patrimoine du XXème siècle<ref>[[Bâtiments de Rennes Métropole reconnus par le label Patrimoine du XXème siècle]]</ref>,<br />
*au 156, l'ancienne auberge Hôtel des Trois-Marches, actuellement Hôtel-restaurant Le Coq-Gadby<ref>Inventaire régional, [[http://patrimoine.region-bretagne.fr/sdx/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA35026347&qid=sdx_q1&n=122&menu=4 fiche du GLAD]]</ref>.<br />
<br />
== Origine d'Antrain <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==<br />
[[Fichier:Pont du Couesnon.JPG|thumb|Le Couesnon à Antrain]]<br />
<br />
Antrain, Chef lieu de Canton d'Ille-et-Vilaine, situé à 11 kms au Sud de Pontorson et dans l'arrondissement de Fougères, au Nord-Ouest de cette ville. Il est situé à la confluence du Couesnon et de la Loysance, ce qui explique son étymologie latine. En effet, Antrain descend de inter amnes, qui signifie entre les rivières.<br />
<br />
Cette particularité topographique explique certainement la puissance économique et commerciale passée de la ville d'Antrain. En effet, son port était, jadis, très actif.<br />
<br />
Cette richesse explique certainement également la richesse de certains bâtiments de la cité. L'on se doit de citer la belle église dont certains éléments sont d'inspiration romane de la fin du XIIème siècle, ainsi que quelques maisons des XVè et XVIè siècles. Enfin, quiconque visite Antrain se doit de visiter le Château de Bonne-Fontaine, qui date du XVIè siècle.<br />
<br />
Du XIè siècle à nos jours, le nom de cette commune a été modifié plusieurs fois, d’Intramnum ou Entrain en passant par Entreacum, Internium, Intraineyum puis Entrain ou Entrein au XVIè, puis Antrin et enfin Antrain. Et en aucun cas Antrain-sur-Couesnon qui est une appellation populaire datant du début du XXè siècle, période où “ la mode ” était aux noms composés et qui était un contre sens puisque Inter amnes veut dire entre les rivières. Bien sûr le Couesnon est plus connu que la Loysance puisqu’il se jette au pied du Mont-Saint-Michel et qu’il est responsable dans sa folie d’avoir mis le Mont en Normandie.<br />
<br />
En 1793, il est à noter que la ville d'Antrain fut le cadre d'une Victoire des Vendéens sur les Républicains, pendant les troubles liés aux agitations chouannes.<br />
<br />
Antrain compte actuellement 1 417 habitants et sont appelés Antrainais et Antrainaises.<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
{{w|Antrain}}<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Antrain]]<br />
[[Catégorie:Quartier 1 : Centre]]<br />
[[Catégorie:Quartier 5 : Maurepas – Bellangerais]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_d%27Antrain&diff=27239Rue d'Antrain2013-10-01T14:44:58Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>Cette voie s’appelait jusqu’en 1792 [[rue de la Reverdiais]], du nom d’une maison de plaisance entourée de jardins et de bosquets qui se trouvait sur son parcours.<br />
Le faubourg était nommé "Faubourg Saint-Laurent" ou "Pavé Saint-Laurent" car il menait vers cette paroisse.<br />
<br />
Cette voie est dénommée par délibération du conseil municipal du 24 juillet 1923<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D157 Archives de Rennes]</ref> et prolongée par délibération du conseil municipal le 19 décembre 1923<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D157 Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
La rue d'Antrain relie la [[rue de la Visitation]] au [[boulevard Volney]] et à la [[rue de la Motte Brûlon]]. Elle est prolongée par l'[[avenue Général George S. Patton]].<br />
<br />
==A voir==<br />
*au n°9, l'immeuble de l'ancien [[magasin Valton]], décoré par le mosaïste [[Isidore Odorico]] père en [[1897]],<br />
*au n°43, la [[Maison Crespel]], construite en 1950-1954, par [[Louis Chouinard]], bâtiment reconnu par le reconnus par le label Patrimoine du XXème siècle<ref>[[Bâtiments de Rennes Métropole reconnus par le label Patrimoine du XXème siècle]]</ref>. <br />
<br />
== Origine d'Antrain <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==<br />
[[Fichier:Pont du Couesnon.JPG|thumb|Le Couesnon à Antrain]]<br />
<br />
Antrain, Chef lieu de Canton d'Ille-et-Vilaine, situé à 11 kms au Sud de Pontorson et dans l'arrondissement de Fougères, au Nord-Ouest de cette ville. Il est situé à la confluence du Couesnon et de la Loysance, ce qui explique son étymologie latine. En effet, Antrain descend de inter amnes, qui signifie entre les rivières.<br />
<br />
Cette particularité topographique explique certainement la puissance économique et commerciale passée de la ville d'Antrain. En effet, son port était, jadis, très actif.<br />
<br />
Cette richesse explique certainement également la richesse de certains bâtiments de la cité. L'on se doit de citer la belle église dont certains éléments sont d'inspiration romane de la fin du XIIème siècle, ainsi que quelques maisons des XVè et XVIè siècles. Enfin, quiconque visite Antrain se doit de visiter le Château de Bonne-Fontaine, qui date du XVIè siècle.<br />
<br />
Du XIè siècle à nos jours, le nom de cette commune a été modifié plusieurs fois, d’Intramnum ou Entrain en passant par Entreacum, Internium, Intraineyum puis Entrain ou Entrein au XVIè, puis Antrin et enfin Antrain. Et en aucun cas Antrain-sur-Couesnon qui est une appellation populaire datant du début du XXè siècle, période où “ la mode ” était aux noms composés et qui était un contre sens puisque Inter amnes veut dire entre les rivières. Bien sûr le Couesnon est plus connu que la Loysance puisqu’il se jette au pied du Mont-Saint-Michel et qu’il est responsable dans sa folie d’avoir mis le Mont en Normandie.<br />
<br />
En 1793, il est à noter que la ville d'Antrain fut le cadre d'une Victoire des Vendéens sur les Républicains, pendant les troubles liés aux agitations chouannes.<br />
<br />
Antrain compte actuellement 1 417 habitants et sont appelés Antrainais et Antrainaises.<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
{{w|Antrain}}<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Antrain]]<br />
[[Catégorie:Quartier 1 : Centre]]<br />
[[Catégorie:Quartier 5 : Maurepas – Bellangerais]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=All%C3%A9e_Ermengarde_d%27Anjou&diff=27238Allée Ermengarde d'Anjou2013-10-01T14:42:48Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout délibération</p>
<hr />
<div>L'allée Ermengarde d'Anjou a été dénommée par délibération du conseil municipal du 10 avril 2000<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D305 Archives de Rennes]</ref>. C'est une voie en impasse qui part de la [[rue Maurice Le Lannou]] dans le [[quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte]].<br />
<br />
== Biographie Ermengarde d'Anjou, Duchesse de Bretagne <ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref><ref>"Ermengarde d'Anjou, l'autre duchesse de Bretagne" par Ph.Carrer et Y.Pouliquen</ref> ==<br />
<br />
Ermengarde d'Anjou est née au château d'Angers vers l'an 1072, fille du Comte Foulque IV, le Réchin, Comte d'Anjou et d'Hildegarde de Beaugency.<br />
<br />
Très jeune, Ermengarde perd sa mère et reçoit une bonne éducation. Elle se montre très pieuse et particulièrement soucieuse de réformes religieuses, en luttant particulièrement contre l'approbation de biens d'église par des laïcs.<br />
<br />
En 1089, son père la marie en première noce au jeune comte et poète, Guillaume IX de Poitiers, surnommé le troubadour. Celui-ci est connu pour son attrait pour les douces compagnies féminines et les tentations volages. Il ne supporte pas la hargne et l'aigreur d'Ermengarde et il la répudie trois ans plus tard.<br />
<br />
En 1093, son père lui trouve un nouveau mari, le duc de Bretagne, Alain IV Fergent, veuf de Constance de Normandie fille de Guillaume le Conquérant. Ce mariage permet de sceller une alliance contre la Normandie, alors dirigée par le fils de Guillaume le Conquérant, Robert II de Normandie, dit de Courteheuse. Le couple aura trois enfants. Deux fils : Conan III dit le Gros, qui deviendra le duc de Bretagne et le Comte de Rennes Geoffroi Le Roux, mort à Jérusalem en 1116 et une fille Havoise (ou Agnès) de Bretagne qui épousera vers 1110 Beaudoin VII de Flandre, mariage qui sera annulé par le Pape pour consanguinité.<br />
<br />
Alain IV Fergent, à l'appel du Pape Urbain II, quitte la Bretagne en compagnie d'autres seigneurs bretons pour aller faire la première croisade en Terre Sainte. Absent durant 5 ans il laisse le duché sous l'autorité de sa femme. Ermengarde assume d'une main ferme la régence du duché jusqu'à son retour en 1101. A son retour Alain IV s'intéresse de plus en plus aux questions religieuses et suit Marborde, l'évêque de Rennes * <ref> [[allée Marbode]]</ref>qui soutient une réforme du clergé séculaire, où le clergé vit au milieu des laïcs. Alain IV, malade, abdique en faveur de son fils Conan et se retire à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon où il meurt en 1119. Ermengarde va s'empresser d'aller témoigner en concile de Reims en défaveur de son premier époux. Elle l'accuse en public de bigamie et décrit sa vie lascive.<br />
<br />
Disciple de Robert d'Arbrissel, lequel venait de fonder en Anjou l'abbaye de Fontevraud, elle s'y retire un moment, puis revient en Bretagne après la mort de son mari pour soutenir son fils, le jeune Conan III.<br />
<br />
Sous l'influence de Saint-Bernard de Clairvaux, Ermengarde d'Anjou dote l'abbaye de [[Saint-Sulpice-la-Forêt]], près de Rennes, puis celle de Buzay à Rouans (44) et fonde un couvent de religieuses cisterciennes aux Sorinières, près de Nantes.<br />
<br />
Retirée au monastère, elle ne supporte pas longtemps la monotonie du cloître, elle va rejoindre son frère, le Comte Foulque, qui vient de monter sur le trône de Jérusalem, devenant roi du Saint-Sépulcre et va y rester plusieurs années.<br />
<br />
Elle est décédée aux environ de 1147 à Jérusalem ou bien à Redon, il n'y a aucune certitude, toujours est-il qu'elle est enterrée à Redon aux côtés de son époux, Alain IV.<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/> <br />
<br />
==Bibliographie==<br />
*''Ermengarde d'Anjou, l'autre duchesse de Bretagne - La couronne ou le voile'' par Philippe Carrer, Yves Pouliquen , 2003, éditeur : Coop Breizh -ISBN : 2-84346-183-9 <br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Anjou]]<br />
[[Catégorie:Voie portant un nom de femme|Anjou]]<br />
[[Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Robert_d%27Arbrissel&diff=27237Rue Robert d'Arbrissel2013-10-01T14:41:40Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout délibération</p>
<hr />
<div>La '''rue Robert d'Arbrissel''' se situe dans le quartier Beauregard, au nord-est de la ville. Elle part de l'[[avenue de Cucillé]] pouur se terminer en impasse.<br />
<br />
Elle est ainsi denommée, lors du conseil municipal du 21 mai 1979<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D224 Archives de Rennes]</ref>, en souvenir du ''Bienheureux'' [[Robert d'Arbrissel]], moine et docteur en théologie né au village d'Arbrissel (auj. Arbresec), vers 1045/1047, mort au prieuré d'Orsan (Berry) le 25 février 1116.<br />
<br />
<br />
<br />
== Sur la carte ==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.12826" lon="-1.691465" zoom="15" width="400" height="325" overview="yes"><br />
48.128248, -1.692063<br />
Rue d'Arbrissel<br />
</googlemap><br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Arbrissel]]<br />
[[Catégorie:Quartier 10 : Villejean - Beauregard]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Victor_Boner&diff=27236Rue Victor Boner2013-10-01T14:40:13Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>La '''rue Victor-Boner''' a été denommée lors du conseil municipal du 13 avril 1953<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D188 Archives de Rennes]</ref> en l'honneur de {{w|Victor Boner}} (Loudéac, 1871 - Loudéac, 1951), peintre français, auteur de marines.<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.129477" lon="-1.689588" zoom="17" width="450" height="325" overview="yes"><br />
48.129539, -1.689694<br />
Rue Victor Broner<br />
</googlemap><br />
<br />
== Liens externes ==<br />
<br />
*{{w|Marine (peinture)}}<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Boner]]<br />
[[Catégorie:Quartier 4 : Saint-Martin]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Victor_Boner&diff=27235Rue Victor Boner2013-10-01T14:38:52Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout délibération</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Boner]]<br />
<br />
La '''rue Victor-Boner''' a été denommée lors du conseil municipal du 13 avril 1953<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D188 Archives de Rennes]</ref> en l'honneur de {{w|Victor Boner}} (Loudéac, 1871 - Loudéac, 1951), peintre français, auteur de marines.<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.129477" lon="-1.689588" zoom="17" width="450" height="325" overview="yes"><br />
48.129539, -1.689694<br />
Rue Victor Broner<br />
</googlemap><br />
<br />
== Liens externes ==<br />
<br />
*{{w|Marine (peinture)}}<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Papu&diff=26580Rue Papu2013-07-19T10:21:43Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
<hr />
<div>La '''rue Papu''' est une rue du quartier [[:Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte|Bourg l'Evesque]] de Rennes. Elle résulte de l'urbanisation du chemin vicinal de Rennes n° 15 au XIXe et XXe siècle.<br />
<br />
Anciennement ruelle de Saint-Cyr, la voie fut dénommée par délibération du conseil municipal du 10 Décembre 1886<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D64 Archives de Rennes]</ref>. .<br />
<br />
<br />
== François Papu, étudiant tué en 1830<ref>à partir de la note biographique rédigée par Joël David, chargé d'odonomye à la ville de Rennes</ref>==<br />
<br />
François Nicolas Papu serait né à Lyon vers 1800, sa mère est dentiste à Rennes. Ce jeune docteur aurait pu rester dans l'anonymat ; mais les évènements de 1830 en ont décidé autrement.<br />
<br />
En juillet 1830, se sont déroulés trois jours de révoltes connus sous le nom des "Trois glorieuses" où des républicains se révoltent contre la monarchie de Charles X qui sera finalement remplacé par la monarchie de Louis-Philippe 1er. On remplace le "Roi de France" par le "Roi des Français".<br />
<br />
François Papu fait partie des insurgés qui se trouve sur la place de l'Hôtel de Ville de Paris. Fait du hasard, il fait partie d'un Association de Patriotes connue sous le nom de ''Conspiration La Fayette'' nom de la rue où exerçait sa mère à Rennes.<br />
<br />
À Rennes, le nom de Papu est associé à celui de Vaneau, un jeune étudiant polytechnicien Rennais tué lui le lendemain : le 29 juillet 1830, alors que les deux personnages ne se connaissaient pas. Dans le Parc du Thabor, à coté de l'église Notre-Dame, existe une colonne, dite "colonne de Juillet", qui fut dressé à l'initiative du poète Hippolyte Lucas qui veut rendre hommage à deux bretons morts pendant cette révolution. Sur cette colonne sculptée par Jean-Baptiste Barré sont inscrits ces mots : Vaneau – Papu morts pour la Liberté en Juillet 1830.<br />
<br />
==Références==<br />
<references/><br />
<br />
==Lien interne==<br />
* [[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 23<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Papu]]<br />
[[:Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Papu&diff=26579Rue Papu2013-07-19T10:19:51Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout Catégorie</p>
<hr />
<div>La '''rue Papu''' est une rue du quartier [[:Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte|Bourg l'Evesque]] de Rennes. Elle résulte de l'urbanisation du chemin vicinal de Rennes n° 15 au XIXe et XXe siècle.<br />
<br />
La voie fut dénommée par délibération du conseil municipal du 10 Décembre 1886.<br />
<br />
<br />
== François Papu, étudiant tué en 1830<ref>à partir de la note biographique rédigée par Joël David, chargé d'odonomye à la ville de Rennes</ref>==<br />
<br />
François Nicolas Papu serait né à Lyon vers 1800, sa mère est dentiste à Rennes. Ce jeune docteur aurait pu rester dans l'anonymat ; mais les évènements de 1830 en ont décidé autrement.<br />
<br />
En juillet 1830, se sont déroulés trois jours de révoltes connus sous le nom des "Trois glorieuses" où des républicains se révoltent contre la monarchie de Charles X qui sera finalement remplacé par la monarchie de Louis-Philippe 1er. On remplace le "Roi de France" par le "Roi des Français".<br />
<br />
François Papu fait partie des insurgés qui se trouve sur la place de l'Hôtel de Ville de Paris. Fait du hasard, il fait partie d'un Association de Patriotes connue sous le nom de ''Conspiration La Fayette'' nom de la rue où exerçait sa mère à Rennes.<br />
<br />
À Rennes, le nom de Papu est associé à celui de Vaneau, un jeune étudiant polytechnicien Rennais tué lui le lendemain : le 29 juillet 1830, alors que les deux personnages ne se connaissaient pas. Dans le Parc du Thabor, à coté de l'église Notre-Dame, existe une colonne, dite "colonne de Juillet", qui fut dressé à l'initiative du poète Hippolyte Lucas qui veut rendre hommage à deux bretons morts pendant cette révolution. Sur cette colonne sculptée par Jean-Baptiste Barré sont inscrits ces mots : Vaneau – Papu morts pour la Liberté en Juillet 1830.<br />
<br />
==références==<br />
<references/><br />
==Lien interne==<br />
* [[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 23<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Papu]]<br />
[[:Catégorie:Quartier 3 : Bourg l'Evesque – La Touche – Moulin du Comte]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Louis_Marie_Anne_Vaneau&diff=26578Louis Marie Anne Vaneau2013-07-19T10:17:01Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout lien vers acte de naissance et date précise</p>
<hr />
<div>'''Louis Marie Anne Vaneau''' (Rennes, 27 mars 1811<ref>Acte de naissance, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=2e19 2 E 19, Archives de Rennes]</ref> - Paris, 29 juillet 1830). Tout jeune polytechnicien (X1829), il est tué, ainsi que son condisciple [[Papu]], lors des trois journées révolutionnaires dites '''les Trois Glorieuses''' , qui entraînent la chute du roi Charles X. (27 au 29 juillet 1830).<br />
<br />
Outre le nom d'une rue ([[rue Vaneau]]), la ville de Rennes décida d'élever un monument patriotique en souvenir des rennais Vaneau et Papu, en érigeant la [[colonne Vaneau/Papu]] dans le [[jardin du Thabor]].<br />
<br />
Louis Vaneau repose au cimetière parisien de Montparnasse.<br />
<br />
== Lien externe ==<br />
* {{w|Louis Vaneau}}<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|V]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (Politique)|V]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Louis_Marie_Anne_Vaneau&diff=26577Louis Marie Anne Vaneau2013-07-19T10:13:07Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout lien WP + lien rue Vaneau</p>
<hr />
<div>'''Louis Marie Anne Vaneau''' (Rennes, 1811 - Paris, 29 juillet 1830). Tout jeune polytechnicien (X1829), il est tué, ainsi que son condisciple [[Papu]], lors des trois journées révolutionnaires dites '''les Trois Glorieuses''' , qui entraînent la chute du roi Charles X. (27 au 29 juillet 1830).<br />
<br />
Outre le nom d'une rue ([[rue Vaneau]]), la ville de Rennes décida d'élever un monument patriotique en souvenir des rennais Vaneau et Papu, en érigeant la [[colonne Vaneau/Papu]] dans le [[jardin du Thabor]].<br />
<br />
Louis Vaneau repose au cimetière parisien de Montparnasse.<br />
<br />
== Lien externe ==<br />
* {{w|http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Vaneau}}<br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|V]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (Politique)|V]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Vaneau&diff=26576Rue Vaneau2013-07-19T10:10:47Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout Catégorie + délib</p>
<hr />
<div>[[Fichier:Rennes Rue Vaneau nord 04 09 2012.jpg|200px|thumb|right|Résidence Saint-Cyr début 2013.]]<br />
[[Fichier:Rennes rue Vaneau Residence Saint Cyr fin mai 2013.JPG|200px|thumb|right|Rue Vaneau, démolition en mai 2013.]]<br />
[[Fichier:Rennes Rue Vaneau residence St Cyr 15 mai 2013.JPG|200px|thumb|right|Rue Vanneau : arrière des Chèques Postaux et début de la démolition de la résidence Saint-Cyr.]]<br />
<br />
La '''rue Vaneau''' est une rue de [[Rennes]] d'orientation nord-sud du quartier [[:Catégorie:quartier Quartier 3 : Bourg l'Évesque – La Touche – Moulin du Comte|Bourg l'Évesque]]. Elle fait communiquer le secteur de la [[rue de Brest]] au nord au [[Mail François Mitterrand]] et aux [[Rue Malakoff|pont et rue Malakoff]] au sud. <br />
<br />
Anciennement [[Boulevard de l'Ouest]], la voie a été dénommée par le conseil municipal le 10 décembre 1886<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D64 Archives de Rennes]</ref>, en mémoire de [[Louis Marie Anne Vaneau]] (1811-1830), tout jeune polytechnicien (promotion X 1829), mort lors des journées révolutionnaires de fin juillet [[1830]] à Paris.<br />
<br />
La résidence Saint-Cyr, créée en [[1956]] et rasée en [[2013]], se composait de trois immeubles pour un total de 98 appartements à loyer modéré<ref>Ouest-France du 23 mai 2013</ref>.<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
== Sur la carte ==<br />
<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.110469" lon="-1.692109" zoom="17" width="450" height="325" overview="yes"><br />
48.11048, -1.692763, Rue Vaneau<br />
</googlemap><br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Vaneau]]<br />
[[Catégorie:Quartier_3_:_Bourg_l'Evesque_–_La_Touche_–_Moulin_du_Comte]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_de_l%27Alma&diff=26575Rue de l'Alma2013-07-19T10:05:41Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout Catégorie</p>
<hr />
<div>La '''rue de l’Alma''' fait la jonction entre le nord et le sud de la ville, elle démarre au nord au niveau de l’[[Esplanade Charles-de-Gaulle|esplanade Charles-de-Gaulle]] et rejoint le [[Boulevard Georges Clémenceau|boulevard Georges Clémenceau]] au sud, où elle est prolongée par l’[[avenue Henri-Fréville|Avenue Henri-Fréville]]. <br />
<br />
Ouverte en [[1861]], la rue longe la [[Prison des femmes]], et traverse la voie ferrée. Elle a donné son nom à la galerie commerciale du [[Centre Alma]] situé plus au sud, proche de la rocade.<br />
<br />
<br />
==Origine du nom==<br />
<br />
[[File:FrenchBattleOfTheAlma.JPG|thumb|right|280px|Troupes françaises - bataille de l'Alma]]<br />
La rue, nommée en souvenir de la {{w|Bataille de l'Alma|victoire des troupes franco-britanniques}}, sur les rives de l'Alma (fleuve côtier de Crimée), face aux Russes, lors de la {{w|guerre de Crimée}} (20 septembre [[1854]]), a fait l'objet de plusieurs délibérations de dénomination : 16 décembre 1862<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D47 Archives de Rennes]</ref>, 10 décembre 1886<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D64 Archives de Rennes]</ref> et 7 octobre 2002<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D328 Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
== Le chemin vicinal n°59 devient la rue de l'Alma<ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref> ==<br />
<br />
Le prolongement de la rue de l’Alma au sud de la[[ rue Ginguené]] est réalisé à l’initiative de Monsieur Poinçon de la Blanchardière, propriétaire de terrains situés au sud de la prison. Entre [[1907]] et [[1911]], il fait plusieurs propositions d’offre ou d’échange de terrains à la Ville de Rennes pour le prolongement de la rue jusqu’au [[boulevard Jacques Cartier]], donnant ainsi un accès direct du boulevard au centre-ville. La proposition « ne présentant pas un caractère d’urgence absolue », comme l’indique le maire dans son rapport au conseil municipal, elle sera rejetée jusqu’au moment où l’on projette la construction d’une caserne, [[boulevard Jacques Cartier]]. Dès lors, « la construction d’un quartier de cavalerie au bord du boulevard […] donne au prolongement de la [[rue de l’Alm]]a jusqu’à ce boulevard, un caractère de nécessité absolue » (Délibération de Conseil Municipal du 29 avril [[1911]]).<br />
<br />
Le prolongement de la rue de l’Alma (chemin vicinal ordinaire n° 59) entre la [[rue Ginguené]] et le [[chemin rural de la Boulais]] avec une largeur de 16 mètres entre son origine et le [[boulevard Jacques-Cartier]] et de 12 mètres entre ce dernier point et le chemin de la Boulais est déclaré d’utilité publique.<br />
<br />
La Ville accepte les propositions de Monsieur de la Blanchardière.<br />
<br />
Montant estimé de l’opération : 18 494 francs.<br />
<br />
<br />
<br />
== La rue de l'Alma sous les bombes en 1944 <ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref>==<br />
<br />
<br />
===8 mars [[1943]]===<br />
La rue de l’Alma compte parmi les quartiers touchés par le [[bombardement du 8 mars 1943]]. Ce jour-là, à 14 h 30, les bombardiers américains larguent plus de 350 bombes sur Rennes. 150 immeubles sont détruits ou incendiés. L’émotion causée par cette tragédie sera exploitée par la propagande allemande pour monter l’opinion contre les « Anglo-Américains ».<br />
<br />
===18 juin [[1944]] à 10 h 00===<br />
Alors qu’au nord, les combats se poursuivent 12 jours après le débarquement, à Rennes, on ne voit que l’afflux des blessés venant de Normandie. Ce jour-là, au petit matin, des avions du 404e groupe de bombardement américain,bombardent la gare et la plaine de Baud. À 10 h 00, une alerte se fait entendre, suivie par l’éclatement des bombes. Le quartier Alma est touché, ainsi que le Pont de Châtillon, rue de Lamotte-Picquet où l’école des filles du Saint-Esprit est détruite.<br />
<br />
== Lien interne ==<br />
[[18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes]]<br />
<br />
== Liens externes ==<br />
*{{w|Bataille de l'Alma}}<br />
<br />
<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<br />
<references/><br />
----<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.099106" lon="-1.673012" zoom="16" width="450" height="275" overview="yes"><br />
48.098475, -1.675458<br />
Rue de l'Alma<br />
</googlemap><br />
<br />
<br />
<br />
[[Category:Voie_de_Rennes|Alma]]<br />
[[Catégorie:Quartier_1_:_Centre]]<br />
[[Catégorie:Quartier_8_:_Sud-Gare]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_de_l%27Alma&diff=26574Rue de l'Alma2013-07-19T10:03:57Z<p>Daieuxetdailleurs : /* Origine du nom */ Ajout dates délib</p>
<hr />
<div>La '''rue de l’Alma''' fait la jonction entre le nord et le sud de la ville, elle démarre au nord au niveau de l’[[Esplanade Charles-de-Gaulle|esplanade Charles-de-Gaulle]] et rejoint le [[Boulevard Georges Clémenceau|boulevard Georges Clémenceau]] au sud, où elle est prolongée par l’[[avenue Henri-Fréville|Avenue Henri-Fréville]]. <br />
<br />
Ouverte en [[1861]], la rue longe la [[Prison des femmes]], et traverse la voie ferrée. Elle a donné son nom à la galerie commerciale du [[Centre Alma]] situé plus au sud, proche de la rocade.<br />
<br />
<br />
==Origine du nom==<br />
<br />
[[File:FrenchBattleOfTheAlma.JPG|thumb|right|280px|Troupes françaises - bataille de l'Alma]]<br />
La rue, nommée en souvenir de la {{w|Bataille de l'Alma|victoire des troupes franco-britanniques}}, sur les rives de l'Alma (fleuve côtier de Crimée), face aux Russes, lors de la {{w|guerre de Crimée}} (20 septembre [[1854]]), a fait l'objet de plusieurs délibérations de dénomination : 16 décembre 1862<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D47 Archives de Rennes]</ref>, 10 décembre 1886<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D64 Archives de Rennes]</ref> et 7 octobre 2002<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D328 Archives de Rennes]</ref>.<br />
<br />
== Le chemin vicinal n°59 devient la rue de l'Alma<ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref> ==<br />
<br />
Le prolongement de la rue de l’Alma au sud de la[[ rue Ginguené]] est réalisé à l’initiative de Monsieur Poinçon de la Blanchardière, propriétaire de terrains situés au sud de la prison. Entre [[1907]] et [[1911]], il fait plusieurs propositions d’offre ou d’échange de terrains à la Ville de Rennes pour le prolongement de la rue jusqu’au [[boulevard Jacques Cartier]], donnant ainsi un accès direct du boulevard au centre-ville. La proposition « ne présentant pas un caractère d’urgence absolue », comme l’indique le maire dans son rapport au conseil municipal, elle sera rejetée jusqu’au moment où l’on projette la construction d’une caserne, [[boulevard Jacques Cartier]]. Dès lors, « la construction d’un quartier de cavalerie au bord du boulevard […] donne au prolongement de la [[rue de l’Alm]]a jusqu’à ce boulevard, un caractère de nécessité absolue » (Délibération de Conseil Municipal du 29 avril [[1911]]).<br />
<br />
Le prolongement de la rue de l’Alma (chemin vicinal ordinaire n° 59) entre la [[rue Ginguené]] et le [[chemin rural de la Boulais]] avec une largeur de 16 mètres entre son origine et le [[boulevard Jacques-Cartier]] et de 12 mètres entre ce dernier point et le chemin de la Boulais est déclaré d’utilité publique.<br />
<br />
La Ville accepte les propositions de Monsieur de la Blanchardière.<br />
<br />
Montant estimé de l’opération : 18 494 francs.<br />
<br />
<br />
<br />
== La rue de l'Alma sous les bombes en 1944 <ref>Réalisé à partir des panneaux de l'exposition ''La rue de l'Alma d'hier à aujourd'hui'', conçue et réalisée par la direction de la communication de la Ville de Rennes, présentée à partir d'octobre [[2010]], rue de l'Alma, face à l'arrêt de [[métro Jacques Cartier]]</ref>==<br />
<br />
<br />
===8 mars [[1943]]===<br />
La rue de l’Alma compte parmi les quartiers touchés par le [[bombardement du 8 mars 1943]]. Ce jour-là, à 14 h 30, les bombardiers américains larguent plus de 350 bombes sur Rennes. 150 immeubles sont détruits ou incendiés. L’émotion causée par cette tragédie sera exploitée par la propagande allemande pour monter l’opinion contre les « Anglo-Américains ».<br />
<br />
===18 juin [[1944]] à 10 h 00===<br />
Alors qu’au nord, les combats se poursuivent 12 jours après le débarquement, à Rennes, on ne voit que l’afflux des blessés venant de Normandie. Ce jour-là, au petit matin, des avions du 404e groupe de bombardement américain,bombardent la gare et la plaine de Baud. À 10 h 00, une alerte se fait entendre, suivie par l’éclatement des bombes. Le quartier Alma est touché, ainsi que le Pont de Châtillon, rue de Lamotte-Picquet où l’école des filles du Saint-Esprit est détruite.<br />
<br />
== Lien interne ==<br />
[[18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes]]<br />
<br />
== Liens externes ==<br />
*{{w|Bataille de l'Alma}}<br />
<br />
<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<br />
<references/><br />
----<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.099106" lon="-1.673012" zoom="16" width="450" height="275" overview="yes"><br />
48.098475, -1.675458<br />
Rue de l'Alma<br />
</googlemap><br />
<br />
<br />
<br />
[[Category:Voie_de_Rennes|Alma]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Saint-Melaine&diff=26573Rue Saint-Melaine2013-07-19T10:00:34Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout Catégorie</p>
<hr />
<div>[[Image:Rue saint melaine.JPG|thumb|right|200px]] <br />
<br />
La '''rue Saint-Melaine''' est une rue de l'est du centre-ville de Rennes, d'orientation est-ouest et reliant la [[rue d'Antrain]] à l'ouest avec le secteur de la [[place Sainte-Anne]], la [[place Hoche]] et la [[place Saint-Melaine]] avec sa rencontre avec la [[rue du général Maurice Guillaudot]], à l'est. Elle doit son nom à l’ancienne [[abbaye Saint-Melaine de Rennes]] qu’elle desservait.<br />
<br />
Repavée "à l'ancienne" avec caniveau médian, elle est principalement empruntée par les piétons, éventuellement clients de ses commerces alimentaires et autres. Du centre-ville, elle donne accès, comme la [[rue des Fossés]] et la [[rue Victor-Hugo]] plus au sud, au [[Thabor]].<br />
<br />
== Saint-Melaine ==<br />
Melaine ou [[saint Melaine]] (en latin Melanius) fut évêque de Rennes à partir de 505. Sa date de naissance se situe vers [[456]].<br />
[[Fichier:Rue_st_melaine_vers_1895.jpeg|200px|right|thumb|La rue Saint-Melaine vers 1895. Peu de changement. photo Etienne Maignen]]<br />
==Événements==<br />
Le 25 septembre [[1851]], vers 7 heures, un incendie prit dans les écuries Lesage au n° 2 et détruisit les maisons des numéros 2 à 9, en bois et en torchis, et les écuries à l'arrière : "Ces événements soulèvent un immense élan de solidarité à l'égard des très nombreux sinistrés" <ref>''Raymont Fillaut, Rennes des combattants du feu aux techniciens du risque'', Rennes, 1999. Page 96 (l'ouvrage donne le 27 sept.)</ref><br />
<br />
=== références===<br />
[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 62<br />
<br />
==Lieux notables==<br />
*[[Le Musée de la Danse]]<br />
<br />
<br />
== Sources ==<br />
<references/><br />
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Melaine Saint-Melaine sur Wikipedia] <br />
*[http://fr.wikisource.org/wiki/Notices_sur_les_rues_de_Rennes_1883 Notices sur les Rues, Ruelles, Boulevards, Quais, Ponts, Places &amp; Promenades de la ville de Rennes, 1883]<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.115053" lon="-1.675394" zoom="17" width="400" height="325" overview="yes"><br />
48.114818, -1.675757<br />
Rue Saint-Melaine<br />
</googlemap><br />
<br />
[[Catégorie:Voie_de_Rennes|Saint-Melaine]]<br />
[[Catégorie:Quartier_1_:_Centre]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Saint-Georges&diff=26572Rue Saint-Georges2013-07-19T09:59:23Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout carte</p>
<hr />
<div>La '''rue Saint-Georges''' se situe dans le [[quartier Centre]]. Elle relie la [[place du Parlement de Bretagne]] à la [[rue Gambetta]].<br />
<br />
== Histoire ==<br />
<small>Source : Lucien Decombes, ''[http://fr.wikisource.org/wiki/Notices_sur_les_rues_de_Rennes_1883 Notices sur les Rues, Ruelles, Boulevards, Quais, Ponts, Places & Promenades de la ville de Rennes]'', Rennes, 1883, p. 62</small><br />
[[Fichier:Rennes Hôtel de la Moussaye-01.jpg|thumb|Façade de l’hôtel de la Moussaye]]<br />
[[Fichier:Rennes 15rueSaintGeorges-01.jpg|thumb|Façade de l’hôtel de Chalain]]<br />
<br />
Cette rue, qui ne fut pas atteinte par l’[[incendie de 1720]], tire son nom de l’antique monastère des Bénédictines de Saint-Georges (actuel [[palais Saint-Georges]]) auquel elle conduisait.<br />
<br />
Aux XVII<sup>e</sup> et XVIII<sup>e</sup> siècles la rue Saint-Georges se composait en grande partie d’hôtels appartenant à des familles parlementaires, notamment les hôtels de Chalain, de Bréquigny, de Coëtlogon, de Fouesnel, de Lasse, etc.<br />
<br />
L’hôtel de Lasse, devenu plus tard hôtel de la Moussaie, a conservé en partie son ancienne physionomie, ainsi que l’on peut s’en convaincre en pénétrant dans la cour du n° 3 où l’on remarque avec intérêt une jolie façade Renaissance en bois sculpté avec pilastres et consoles, touchant une autre façade en granit percée de fenêtres moulurées et flanquée d’une tour carrée en encorbellement.<br />
<br />
Au n° 15 se trouvait au XIX<sup>e</sup> siècle, le presbytère de la [[paroisse Saint-Germain]], établi dans l’ancien hôtel de Christophe Fouquet, seigneur de Chalain, président au [[Parlement de Bretagne]]. Ce fut plus tard l’hôtel de Montluc. En 1793, il reçut le nom d’hôtel de la Montagne et servit de résidence au proconsul Carrier.<br />
<br />
Pendant le séjour de [[Carrier à Rennes]], la rue Saint-Georges porta le nom de ''rue de la Montagne''.<br />
<br />
== Patrimoine ==<br />
<small>Source : [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=35238&DOMAINE=MH Liste des bâtiments protégés de Rennes] sur la base Mérimée du ministère de la Culture.</small><br />
<br />
La rue Saint-Georges est l’une des rues rennaises qui possèdent le plus riche patrimoine architectural : quatorze de ses bâtiments sont inscrits et/ou classés au titre des [[monument historique|monuments historiques]].<br />
<br />
==Ses habitants==<br />
La rue n'avait pas une population particulière, mais la proximité du parlement ne pouvait que favoriser la présence de juristes. Un acte sous seing privé du 19 juin [[1810]] oriente le projecteur sur un « praticien » et ce pour quoi on pouvait le solliciter loin de Rennes :<br />
{{citation|texte=Pouvoir par Marguerite Mehault, femme de Jean Percevaux demeurant à Rennes, demanderesse en séparation de corps et biens à ''Pierre Granger, praticien'' demeurant à Rennes rue St Georges de se transporter à Plélan et de requérir l'apposition des scellés sur tous les meubles, effets et marchandises qui appartiennent à son mari. <br />Reçu un franc.|origine=Cote 3Q 27 238 des Archives d'Ille-et-Vilaine.}}<br />
<br />
==Bibliographie==<br />
*C. Pele, ''La rue Saint-Georges de 1370 à la révolution de 1789'', DES : Arts, Rennes 2, 1964, 77 p. Bibliothèque des Arts, Lettres, Communication.<br />
*Céline Chauvel, ''La Rue Saint-Georges (1750-1850)'', Maîtrise d'histoire, Rennes 2, 1997, 176 p. CERHIO.<br />
*Régis Hamon, ''La Rue Saint-Georges (1850-1900)'', Maîtrise d'histoire, Rennes 2, 2000, 203 p. CERHIO.<br />
<br />
==Sur la carte==<br />
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48.111836111111, -1.6762666666667, Rue Saint-Georges<br />
Rue Saint-Georges<br />
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== Liens utiles ==<br />
{{Commons|lien=Category:Rue Saint-Georges (Rennes)}}<br />
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[[Catégorie:Voie de Rennes|Saint-Georges]]<br />
[[Catégorie:Quartier_1_:_Centre]]</div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_du_Chapitre&diff=26571Rue du Chapitre2013-07-19T09:58:30Z<p>Daieuxetdailleurs : </p>
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<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Chapitre]]<br />
[[Catégorie:Quartier_1_:_Centre]]<br />
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[[File:Rennes, 22 rue du Chapitre Bretagne1986-137.jpg|right|200px|Le n°22 de la rue du Chapitre]]<br />
La '''rue du Chapitre''', axée est-ouest, relie la [[place du Calvaire]] à la [[rue de Montfort]].<br />
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Cette rue ne fut pas attaquée par l’incendie de 1720 et les constructions y sont, pour la plupart, du 17e siècle. Il y existait autrefois un four appartenant au Chapitre de la Cathédrale, d'où son ancien nom de rue ''"du Four-du-Chapitre".'' En 1792 elle fut brièvement appelée rue ''"de l’Union".''<ref> ''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe, Le Roy, éditeur - 1892.</ref><br />
<br />
La rue du Chapitre conserve encore quelques maisons assez curieuses. Au n° 3, l'hôtel particulier dénommé depuis le 18e siècle ''hôtel de Talhouêt'', après avoir été ''hôtel du Faouët'', puis ''hôtel de Villaudon'', avec ses deux étages à pans de bois, déroule une longue façade sur rue. En 1720 son propriétaire aurait payé les voisins pour qu'ils rasâssent un bâtiment voisin pour faire coupe-feu. On peut aussi voir, dans la cour de l'hôtel de l'Escu de Runefaut, au n°5, un joli escalier de bois à balustres tournés. En 1720, le président de Runefaut témoigna qu'il avait distribué des sommes considérables pour arrêter le feu qui avait gagné les maisons voisines de la sienne, empêchant ainsi l'embrasement de l'ensemble de la rue. Au n°6 se trouve le splendide [[hôtel de Blossac]], ancienne résidence du commandant en chef de la province, dont l'entrée est monumentale. Au n° 8 ''l'hôtel de Brie'' ou ''du Bois de la Motte'', daté de 1624, avec sa façade à pilastres, fait corps avec l'hôtel de Blossac <ref> ''Le Vieux Rennes'', par Paul Banéat, Larcher éd. - 1911</ref><br />
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Dans cette rue, les maisons à pans de bois, agrémentées de sculptures, à polychromies restaurées, réjouissent l'oeil attentif.<br />
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==Références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurshttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_du_Chapitre&diff=26570Rue du Chapitre2013-07-19T09:57:53Z<p>Daieuxetdailleurs : Ajout carte</p>
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<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Chapitre]]<br />
[[File:Rennes, 22 rue du Chapitre Bretagne1986-137.jpg|right|200px|Le n°22 de la rue du Chapitre]]<br />
La '''rue du Chapitre''', axée est-ouest, relie la [[place du Calvaire]] à la [[rue de Montfort]].<br />
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Cette rue ne fut pas attaquée par l’incendie de 1720 et les constructions y sont, pour la plupart, du 17e siècle. Il y existait autrefois un four appartenant au Chapitre de la Cathédrale, d'où son ancien nom de rue ''"du Four-du-Chapitre".'' En 1792 elle fut brièvement appelée rue ''"de l’Union".''<ref> ''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe, Le Roy, éditeur - 1892.</ref><br />
<br />
La rue du Chapitre conserve encore quelques maisons assez curieuses. Au n° 3, l'hôtel particulier dénommé depuis le 18e siècle ''hôtel de Talhouêt'', après avoir été ''hôtel du Faouët'', puis ''hôtel de Villaudon'', avec ses deux étages à pans de bois, déroule une longue façade sur rue. En 1720 son propriétaire aurait payé les voisins pour qu'ils rasâssent un bâtiment voisin pour faire coupe-feu. On peut aussi voir, dans la cour de l'hôtel de l'Escu de Runefaut, au n°5, un joli escalier de bois à balustres tournés. En 1720, le président de Runefaut témoigna qu'il avait distribué des sommes considérables pour arrêter le feu qui avait gagné les maisons voisines de la sienne, empêchant ainsi l'embrasement de l'ensemble de la rue. Au n°6 se trouve le splendide [[hôtel de Blossac]], ancienne résidence du commandant en chef de la province, dont l'entrée est monumentale. Au n° 8 ''l'hôtel de Brie'' ou ''du Bois de la Motte'', daté de 1624, avec sa façade à pilastres, fait corps avec l'hôtel de Blossac <ref> ''Le Vieux Rennes'', par Paul Banéat, Larcher éd. - 1911</ref><br />
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Dans cette rue, les maisons à pans de bois, agrémentées de sculptures, à polychromies restaurées, réjouissent l'oeil attentif.<br />
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==Références==<br />
<references/></div>Daieuxetdailleurs