https://www.wiki-rennes.fr/api.php?action=feedcontributions&user=Pgautl&feedformat=atomWikiRennes - Contributions [fr]2024-03-28T13:48:17ZContributionsMediaWiki 1.39.2https://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Les_Juifs_de_Rennes_sous_l%27occupation&diff=39273Les Juifs de Rennes sous l'occupation2016-06-01T16:54:01Z<p>Pgautl : Modification du nombre de Juifs arrêtés en Ille-et-Vilaine et ajout d'un lien externe</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Rennes sous l'occupation|Juifs]]<br />
<br />
[[Fichier:Controle_des_juifs.jpeg|200px|right|thumb|Mise en place du contrôle des Juifs d'Ille-et-Vilaine. <ref> ''Ouest-Eclair'' du 16 octobre 1940</ref>]]<br />
<br />
Des Rennais d'origine étrangère et juifs, réfugiés à Rennes, des Rennais français d'origine juive - le recensement lancé le 20 octobre 1940 n'en trouva que 124 à Rennes et 372 pour l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine - furent arrêtés à Rennes par la police française et y seront détenus peu de temps, leur destination finale, souvent via Drancy, étant Auschwitz ou Sobibor d'où ils ne revinrent pas. Peu échapperont au sort final que les Nazis leur prévoyaient, telle cette jeune femme mariée, mais née Rubinstein, employée aux Nouvelles Galeries, non déclarée au recensement à la préfecture (division 1) et passera à travers les mailles sans la mention rouge sur sa carte d’identité que les Juifs se voyaient apposer mais sur laquelle figure ce patronyme stigmatisant.[[Fichier:Le_juif_suss.jpeg|250px|left|thumb|Publicité de l'Alliance Cinématographique Européenne UFA (film allemand) 1941<ref>Le Tout-Cinéma, annuaire 1942</ref>]] [[Fichier:Juif_suss.jpg|250px|left|thumb|L'Ouest-Eclair vante le film nazi antisémite "le juif Suss" qui sort à Rennes le 22 mai 1941]] Lors d'une distribution de cartes d'alimentation au palais Saint-Georges, une employée lui remettra sa carte en faisant la sourde oreille à l'interrogation d'une collègue " Tu as vu ce nom ? "<ref> ''Rennes 1939-1944'',Le Rennais, supplément au N° 245 - juin 1994</ref><br />
<br />
Trois entreprises juives sont pourvues d’un commissaire-gérant mais vingt-six autres furent fermées.<br />
<br />
A une propagande antijuive participe le film allemand "Le Juif Suss" dont ''l'Ouest-Eclair'' fait l'éloge dans ses numéros des 20 et 21 mai 1941.<br />
<br />
C'est surtout à partir de 1942, avec le port de l'étoile jaune imposé en juin, que les arrestations sont opérées :le 16 juillet, 18 sont embarqués, puis le 9 octobre, une trentaine sont raflés par la police et parqués sur le [[Champ de Mars]] et les arrestations continueront en 1943. Mais ces personnes ne sont pas destinées à séjourner dans quelque prison ou camp rennais, leur destination étant Drancy.<br />
[[Fichier:Verordnungsblatt120.jpg|200px|right|thumb|Journal officiel des ordonnances du gouverneur militaire en France]]<br />
<br />
[[Fichier:Ordonnance_contre_les_juifs.jpeg|200px|center|thumb|Une 9e ordonnance de mesures contre les Juifs<ref>''Ouest-Eclair''du 18 juillet 1942</ref>]]<br />
Sur un total de [http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/ccmr/35-racial.htm#deb 119 juifs] arrêtés (dont 40 femmes et 26 enfants de moins de 15 ans) en Ille-et-Vilaine et déportés, une cinquantaine habitaient Rennes, auxquels il faut ajouter une quinzaine d'autres qui, ayant fui la ville, furent arrêtés ailleurs et subirent le même sort. Ils étaient artisans, commerçants, employé aux Tanneries de France, dentiste, habitaient [[rue Jean-Marie Duhamel]], [[quai Lamennais]], [[avenue Janvier]] et ont disparus un jour et ne sont pas revenus.<br />
<br />
Et des Juifs étaient entrés dans la Résistance, tel Marcel Cordon, 26 ans, né à St-Brieuc, sergent aviateur en 1939, au réseau ''Maho-Praxitèle', agent de liaison entre la Bretagne et Paris, arrêté à Rennes au cours d'une rafle dans un restaurant le 30 avril, emprisonné à la caserne "le Colombier" pendant deux mois, puis de Compiègne déporté le 28 juillet à Neuengamme. A l'approche des Alliés, le camp est évacué et le 15 avril 1945, les prisonniers sont dirigés à pied vers Lübeck où ils furent embarqués sur le Cappacorna et deux autres bateaux que l'aviation britannique coula le 3 mai.<ref> ''Arrestations 1939-1945 : Rennes'' AJPN. org.</ref><br />
===références===<br />
<references/></div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Chronique_vezinoise_sous_l%27occupation_n%C2%B006&diff=39272Chronique vezinoise sous l'occupation n°062016-06-01T16:09:14Z<p>Pgautl : Correction de l'heure</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Vezin-le-Coquet]]<br />
'''Souvenir d’un enfant'''<br />
<br />
<br />
== '''Faits divers à Vezin-le-Coquet''' '''''sous l'Occupation''''' ==<br />
<br />
<br />
<br />
'''''Un réservoir supplémentaire d'avion tombe sur le village'''''<br />
<br />
Tiens ! Un avion allié s’allège de ses réservoirs supplémentaires vides , il les largue sans façon. L’un tombe sur le village, dans un pré à proximité de chez Pinel, un autre dans la lande d’Apigné m’a dit Gaston. Heureusement personne n’est présent à cet endroit au moment de la chute. Les Allemands sont vite arrivés sur les lieux en side-car, pour savoir de quoi il en retourne. <br />
Encore une fois, j’ai de la chance, je suis présent quand survient l’événement. <br />
<br />
Pour l’instant en retrait, j’observe la scène. Un attroupement de gens du village s’est formé près des soldats casqués et vêtus de grands imperméables. Ils tournent autour de la chose, la regardent attentivement, l’inspectent sous toutes les coutures, la tâtent pour comprendre de quelle matière elle est faite, discutent entre eux et repartent. La représentation n’a pas été très longue. Le spectacle est terminé, chacun s’en retourne à ses occupations.<br />
<br />
Le réservoir me paraît très grand. Chouette! On va pouvoir faire une cabane. À présent qu’il n’y a plus personne ou presque, j’entre à l’intérieur pour me rendre compte de la profondeur et juger des possibilité d’aménagement. Très rapidement j’en ressors. L’odeur est insupportable et étouffante, sans doute les émanations des résidus de kérosène. Je crois me souvenir que Jean Pinel m’avait demandé de ne pas demeurer à l’intérieur. Je suis très déçu, j’ai trop rapidement fait plein projets pour l’utilisation de ce cadeau venu du ciel. Qu'est-il, par la suite, devenu ce machin, je ne sais pas.<br />
<br />
'''''Sabotage d'un pylône électrique du chemin vert'''''<br />
<br />
Des lignes haute tension traversent la commune, soutenues par de hauts pylônes. Ils acheminent l’électricité vers le centre de transformation de ''la Belle Epine'' pour, notamment, alimenter les puissants projecteurs du champ de DCA voisin. Il arrive que l’un des pylônes soit dynamité. Par exemple celui qui se trouve en haut du ''chemin vert'', à une très courte distance des canons, et pas loin de chez nous. C’est l’œuvre du groupe du Cdt Louis Pétri, dit Loulou, dit Tanguy. Ce réseau de résistants a payé un lourd tribut dans son combat contre l’occupant pour que la France redevienne libre.<br />
<br />
'''Extrait des mémoires du commandant Pétri responsable régional [https://fr.wikipedia.org/wiki/Francs-tireurs_et_partisans FTPF] '''<br />
<br />
Juillet 1943<br />
<br />
''« Auguste et moi avions passé la nuit du 13 au 14 à Vezin-Ie-Coquet, à préparer et placer nos bombes. Des morceaux de bois calaient, contre le pylône, les explosifs Nous couchions dehors et je vous assure, que malgré la saison, la nuit n'était pas chaude. Nous avons allumé les mèches et nous sommes rentrés à Rennes. Quand le pylône est tombé, le ciel incendié jusqu'aux limites les plus lointaines de l'horizon.<br />
'''" Avenue du Mail, à 5 heures moins 10, des agents nous croisèrent Nous riions très haut comme des ouvriers retour du travail. Mais notre travail n'était pas fini. A 5 heures 05, nous nous séparions rue de la Chalotais. À 5 heures, je posais une bombe au soupirail de la cave du [[https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_fran%C3%A7ais PPF]]. et rejoignais ma "planque" chez Mme Nobilet.»'' <br />
'''<br />
<br />
Quand ce pylône gît, bien à plat sur le sol, les Allemands ne sont sans doute pas heureux, par contre c’est la fête pour certains enfants du Bourg. Voilà tout à coup un formidable terrain de jeu qui s’offre à nous, tombé de sa hauteur. De plus, il s’étale de tout son long sur notre chemin vert, c’est un bonus ! Nous nous régalons d‘escalades sur ce mécano géant affalé en travers du chemin. Avec Alphonse nous passons bien des moments à jouer sur cet immense tas de ferraille. Tout a une fin et, à notre grand regret, il demeure trop peu de temps dans sa positon de repos. Il doit reprendre son activité. Les réparateurs arrivent. Nous suivons le cours de l’érection de notre ex-terrain de jeu, qui reprend, jour après jour, de l’altitude. Nous passons saluer l’ouvrier qui termine le chantier. Une fois la reconstruction complète du pylône et la remise en état des lignes terminées, des barbelés sont installés pour en interdire l’approche immédiate. Une pancarte en rouge est apposée sur laquelle on peut lire dans les deux langues ''MINEN – Miné''. Je prononce MINANT pour Minen. Je ne comprends pas la signification de Minen, peu importe…<br />
<br />
'''''Des pylônes électriques qu'il faudra garder ?'''''<br />
<br />
Après le dynamitage de notre fameux pylône, les autorités allemandes décident de faire garder, la nuit, tous les pylônes par des civils du village. Suite à cette décision une réunion privée, tout à fait informelle réunissant quelques amis de mon père, se tient chez nous pour, sans doute, organiser les tours de veille ou simplement pour en discuter. Pierrot Letort, mon idole, est présent. Après être entré dans la pièce il me hisse et m’assoit sur la garde-robe, pour quelques instants. C’est une coutume quand il vient nous rendre visite. Toujours curieux, mes oreilles sont grandes ouvertes pour écouter les conversations. Je connais le contexte. Je retiens quelques bribes des paroles échangées. Quelqu’un dit '':« Oui, mais moi, si un résistant veut saboter le pylône, je lui demanderai de me ligoter à un arbre »'' Un autre : ''« il faudrait qu'il nous donne un coup sur la tête pour faire vrai ».'' Je n’ai jamais su si le projet des tours de garde du pylône s’est concrétisé ou si les autorités allemandes avaient renoncé à l’application de cette décision. La mairie doit avoir cela dans ses archives.<br />
<br />
<br />
[[Fichier:Pylone dynamité pendant la guerre.JPG]]<br />
''Endroit du Pylône dynamité en haut du Chemin Vert.'' <br />
<br />
'''''Les émissions radio pendant la guerre'''''<br />
<br />
Chez nous, à la maison, nous possédons un poste radio, qui n'est pas caché, il est bien en vue sur une étagère. Pourtant il paraît qu’il faut les remettre à l’administration !? Enfin, il fonctionne très souvent. Trop souvent au gré de mon père qui rappelle que'' « l’électricité coûte cher et ainsi écouter la radio, la journée, est affaire de paresseux »''. Des chansons sont diffusées par Radio Paris, je les retiens facilement et les fredonne encore maintenant, jolies chansons. Elles sont souvent susurrées avec beaucoup de douceur. Je les entends encore, très apaisantes, Rina Ketty, Jean Sablon, Charles Trenet, Berthe Silva avec ses ''Roses Blanches'' et bien d’autres. Quand ma mère me chantait « Les Roses Blanches » chanson qu’elle aimait tant, je ne m’imaginais pas alors qu’elle disparaîtrait aussi comme dans la chanson peu de temps après, en 1946. Beaucoup de ces chansons, qu’on disait « réalistes » me transportent encore aujourd’hui dans ma douce enfance et font naître en moi une douce nostalgie.<br />
<br />
<br />
Le soir, à la radio il y a une émission pour enfants que je ne veux pas manquer. Il semble que cette émission s’intitule DOMINO. Je ne suis par certain. La radio diffuse aussi le soir un feuilleton pour adulte dont le thème musical m’impressionne. Je pense que la musique de présentation du feuilleton est celle de Vincent d'Indy, un extrait de la ''Symphonie Cévenole''. A moins que cela ne soit un extrait de ''l’Amour des trois oranges'' de Stravinsky. L’instant musical est tragique et m’émeut. <br />
<br />
Plus tard dans la soirée ce n’est plus Radio Paris qui est écouté, parce que tout le monde sait que… ''« Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand »''. Je fredonne cette chanson de [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Dac Pierre Dac], sans en comprendre le sens.Cette radio se présente en énonçant la phrase suivante ''« Ici Londres, les Français parlent aux Français ».'' <br />
Toute la famille s’applique à écouter les informations qui nous arrivent d’outre-Manche. Chaque auditeur interprète à sa manière, en fonction de son âge, les propos qui sont dits. Un brouilleur, comme une musique répétitive empêche d’entendre clairement la personnes qui parle. Un speaker débite de courtes phrases prononcées toujours deux fois, qui n’ont ni queue ni tête, c’est paraît-il des messages. Comme à l’école ! <br />
<br />
Non je ne me souviens pas avoir vu affiché la photo du Maréchal Pétain à Vezin-le-Coquet. Elle doit être probablement quelque part mais pas ostensiblement exhibée, peut être affichée à minima. C’est sans doute la raison pour laquelle je n’ai pas de souvenir concernant ce sujet, sauf d’avoir entendu prononcer ''« la milice de Pétain »''. Le panneau public d'affichage est fixé sur le mur extérieur d’un préau de l'école, préau des filles et des petits, côté rue devant chez Letort. Eh bien non ! Pas de souvenir de l'image du Maréchal. Elle doit bien être quelque part. Madeleine Pécoil me disait récemment que la photo pouvait bien être affichée en Mairie…quand même !…<br />
<br />
'''''Le maire de Vezin est un résistant'''''<br />
<br />
Le maire de Vezin, Monsieur Fernand Bons, a des contacts étroits avec des éléments de la Résistance. Il héberge dans sa ferme à proximité du bourg des aviateurs britanniques qu'il cache dans des grands fûts. Chaque jour il leur fait apporter de la nourriture jusqu'à leur prise en charge par un réseau qui les acheminera en zone libre. Il a aussi fait passer des Polonais recherchés par la Gestapo. (les vieilles personnes prononcent Jestapo) Il a été décoré après guerre, notamment pour ces faits, lesquels ne sont pas les seuls. Il ne peut et ne veut donc pas assurer la promotion du Maréchal. J'ai consulté, ce jour, deux anciennes du village qui avaient à l'époque entre 13 et 18 ans. S'agissant du Maréchal l'une est certaine de n'avoir jamais vu sa photo affichée dans la commune. L'autre est certaine aussi de la même chose et certifie en outre que les enfants de la communale ne chantent pas la chanson du Maréchal en question. Par contre les enfants chantent et cela est certain : ''« Le p’tit Prince à dit »'' <br />
<br />
'''''La DCA de la Belle Epine et son PC à la Drouétière'''''<br />
<br />
Le poste de commandement du champ de la DCA allemande de ''la Belle Épine'' est situé au Château de la Drouétiére, sur une éminence, tout près du bourg. Une petite tourelle surmonte le château dont le toit est alors plat. En haut de la tourelle se tient comme un petit belvédère à partir duquel on découvre mieux qu’ailleurs le bassin de Rennes. Endroit idéal, qui convient parfaitement à l’occupant pour mieux observer, sans doute, le passage des avions. Avec d'autres femmes, ma mère aide à la préparation des repas des soldats du château ainsi que de ceux des artilleurs qui cantonnent auprès de leurs pièces à environ un kilomètre plus loin. La soupe des artilleurs est transportée du château de ''la Drouétière'' à ''la Belle Épine'' au moyen d'une charrette tirée par un âne qu’un jeune du village, Roger Fillouze, conduit. Ce jeune habite le Tertre. Il remplace son père qui a été désigné pour cette corvée. La cuisine est préparée dans le sous-sol à l’arrière du château. J’accompagne parfois ma mère. Un de ces jour-là, il fait beau, les femmes épluchent des pommes de terre, dehors, beaucoup de pommes de terre. C’est bien le diable si quelques unes d’entre elles ne se retrouveront pas plus tard dans notre assiette à la maison, surtout si elles sont transformées en frites. J’adore les frites cuites dans de la graisse de bœuf comme on les prépare ''din l’ch’nord''.<br />
<br />
[[Fichier:Sous sol château de la Drouetiere.JPG]]<br />
<br />
''Arrière du château, le sous sol où était préparée la popote des Allemands''<br />
<br />
<br />
<br />
Le travail des civils employés par les Allemands est rémunéré par l’administration française, c’est une réquisition de l’occupant. <br />
J'accompagne aussi quelquefois ma mère au cantonnement près des pièces de DCA, une petite ferme réquisitionnée. C’est une grande pièce que je découvre en y entrant, des tables, des chaises, c’est le réfectoire. Les soldats sont très jeunes, ils ont tous pour moi de gentilles marques d'attention, certains jouent avec moi et me donnent des bonbons. Ils appartiennent probablement au ''RAD Reichsarbeitsdienst'' (Service du travail de l’Etat) de la Luftwaffe, défense antiaérienne.<br />
<br />
<br />
<br />
Un certain jour, pour une raison que j'ignore, ma mère ne s'est pas rendue à son travail, probablement un mot d’ordre de quelque part. Dans la même journée un soldat allemand, fusil en bandoulière, masque à gaz au ceinturon, une grenade à manche dans une botte, dévale à vélo la route de Montfort. Sans descendre de bicyclette il frappe à la fenêtre de notre maison qui donne sur la rue. J’ai encore la chance d’être présent dehors, au niveau de la cour devant chez Tincart. Je vois mais je n’entends pas ce qui est dit, l’Allemand gesticule ma mère répond par des signes de tête. L’évènement est clos. <br />
Le soir ma sœur aînée raconte ''« Il a dit(l'Allemand) que si maman refuse de venir travailler, « ils » viendront la chercher baïonnette au canon »''. Baïonnette au canon !?…baïonnette au canon !?…j’imagine mal. Comment peut-on mettre une baïonnette au bout d'un canon de DCA et venir chercher ma maman avec çà ! ….encore un mystère qui ne m’a pas toutefois tracassé bien longtemps mais qui, plus tard, m’a fait sourire.<br />
<br />
<br />
Albert René Gilmet<br />
<br />
Janvier 2013<br />
<br />
[[Chronique vezinoise sous l'occupation n°05]]<br />
<br />
[[Chronique vezinoise sous l'occupation n°07]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Chronique_vezinoise_sous_l%27occupation_n%C2%B006&diff=39271Chronique vezinoise sous l'occupation n°062016-06-01T15:53:50Z<p>Pgautl : /* Faits divers à Vezin-le-Coquet Sous l'Occupation */ Nombreuses petites corrections d'espaces, de majuscules, du nom de Pétri écrit Pétry. Ajout d'un lien externe sur FTPF, PPF, Pierre Dac</p>
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<div>[[Catégorie:Vezin-le-Coquet]]<br />
'''Souvenir d’un enfant'''<br />
<br />
<br />
== '''Faits divers à Vezin-le-Coquet''' '''''sous l'Occupation''''' ==<br />
<br />
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'''''Un réservoir supplémentaire d'avion tombe sur le village'''''<br />
<br />
Tiens ! Un avion allié s’allège de ses réservoirs supplémentaires vides , il les largue sans façon. L’un tombe sur le village, dans un pré à proximité de chez Pinel, un autre dans la lande d’Apigné m’a dit Gaston. Heureusement personne n’est présent à cet endroit au moment de la chute. Les Allemands sont vite arrivés sur les lieux en side-car, pour savoir de quoi il en retourne. <br />
Encore une fois, j’ai de la chance, je suis présent quand survient l’événement. <br />
<br />
Pour l’instant en retrait, j’observe la scène. Un attroupement de gens du village s’est formé près des soldats casqués et vêtus de grands imperméables. Ils tournent autour de la chose, la regardent attentivement, l’inspectent sous toutes les coutures, la tâtent pour comprendre de quelle matière elle est faite, discutent entre eux et repartent. La représentation n’a pas été très longue. Le spectacle est terminé, chacun s’en retourne à ses occupations.<br />
<br />
Le réservoir me paraît très grand. Chouette! On va pouvoir faire une cabane. À présent qu’il n’y a plus personne ou presque, j’entre à l’intérieur pour me rendre compte de la profondeur et juger des possibilité d’aménagement. Très rapidement j’en ressors. L’odeur est insupportable et étouffante, sans doute les émanations des résidus de kérosène. Je crois me souvenir que Jean Pinel m’avait demandé de ne pas demeurer à l’intérieur. Je suis très déçu, j’ai trop rapidement fait plein projets pour l’utilisation de ce cadeau venu du ciel. Qu'est-il, par la suite, devenu ce machin, je ne sais pas.<br />
<br />
'''''Sabotage d'un pylône électrique du chemin vert'''''<br />
<br />
Des lignes haute tension traversent la commune, soutenues par de hauts pylônes. Ils acheminent l’électricité vers le centre de transformation de ''la Belle Epine'' pour, notamment, alimenter les puissants projecteurs du champ de DCA voisin. Il arrive que l’un des pylônes soit dynamité. Par exemple celui qui se trouve en haut du ''chemin vert'', à une très courte distance des canons, et pas loin de chez nous. C’est l’œuvre du groupe du Cdt Louis Pétri, dit Loulou, dit Tanguy. Ce réseau de résistants a payé un lourd tribut dans son combat contre l’occupant pour que la France redevienne libre.<br />
<br />
'''Extrait des mémoires du commandant Pétri responsable régional [https://fr.wikipedia.org/wiki/Francs-tireurs_et_partisans FTPF] '''<br />
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Juillet 1943<br />
<br />
''« Auguste et moi avions passé la nuit du 13 au 14 à Vezin-Ie-Coquet, à préparer et placer nos bombes. Des morceaux de bois calaient, contre le pylône, les explosifs Nous couchions dehors et je vous assure, que malgré la saison, la nuit n'était pas chaude. Nous avons allumé les mèches et nous sommes rentrés à Rennes. Quand le pylône est tombé, le ciel incendié jusqu'aux limites les plus lointaines de l'horizon.<br />
'''" Avenue du Mail, à 5 heures moins 10, des agents nous croisèrent Nous riions très haut comme des ouvriers retour du travail. Mais notre travail n'était pas fini. A 5 heures, nous nous séparions rue de la Chalotais. À 5 heures, je posais une bombe au soupirail de la cave du [[https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_fran%C3%A7ais PPF]]. et rejoignais ma "planque" chez Mme Nobilet.»'' <br />
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Quand ce pylône gît, bien à plat sur le sol, les Allemands ne sont sans doute pas heureux, par contre c’est la fête pour certains enfants du Bourg. Voilà tout à coup un formidable terrain de jeu qui s’offre à nous, tombé de sa hauteur. De plus, il s’étale de tout son long sur notre chemin vert, c’est un bonus ! Nous nous régalons d‘escalades sur ce mécano géant affalé en travers du chemin. Avec Alphonse nous passons bien des moments à jouer sur cet immense tas de ferraille. Tout a une fin et, à notre grand regret, il demeure trop peu de temps dans sa positon de repos. Il doit reprendre son activité. Les réparateurs arrivent. Nous suivons le cours de l’érection de notre ex-terrain de jeu, qui reprend, jour après jour, de l’altitude. Nous passons saluer l’ouvrier qui termine le chantier. Une fois la reconstruction complète du pylône et la remise en état des lignes terminées, des barbelés sont installés pour en interdire l’approche immédiate. Une pancarte en rouge est apposée sur laquelle on peut lire dans les deux langues ''MINEN – Miné''. Je prononce MINANT pour Minen. Je ne comprends pas la signification de Minen, peu importe…<br />
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'''''Des pylônes électriques qu'il faudra garder ?'''''<br />
<br />
Après le dynamitage de notre fameux pylône, les autorités allemandes décident de faire garder, la nuit, tous les pylônes par des civils du village. Suite à cette décision une réunion privée, tout à fait informelle réunissant quelques amis de mon père, se tient chez nous pour, sans doute, organiser les tours de veille ou simplement pour en discuter. Pierrot Letort, mon idole, est présent. Après être entré dans la pièce il me hisse et m’assoit sur la garde-robe, pour quelques instants. C’est une coutume quand il vient nous rendre visite. Toujours curieux, mes oreilles sont grandes ouvertes pour écouter les conversations. Je connais le contexte. Je retiens quelques bribes des paroles échangées. Quelqu’un dit '':« Oui, mais moi, si un résistant veut saboter le pylône, je lui demanderai de me ligoter à un arbre »'' Un autre : ''« il faudrait qu'il nous donne un coup sur la tête pour faire vrai ».'' Je n’ai jamais su si le projet des tours de garde du pylône s’est concrétisé ou si les autorités allemandes avaient renoncé à l’application de cette décision. La mairie doit avoir cela dans ses archives.<br />
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[[Fichier:Pylone dynamité pendant la guerre.JPG]]<br />
''Endroit du Pylône dynamité en haut du Chemin Vert.'' <br />
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'''''Les émissions radio pendant la guerre'''''<br />
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Chez nous, à la maison, nous possédons un poste radio, qui n'est pas caché, il est bien en vue sur une étagère. Pourtant il paraît qu’il faut les remettre à l’administration !? Enfin, il fonctionne très souvent. Trop souvent au gré de mon père qui rappelle que'' « l’électricité coûte cher et ainsi écouter la radio, la journée, est affaire de paresseux »''. Des chansons sont diffusées par Radio Paris, je les retiens facilement et les fredonne encore maintenant, jolies chansons. Elles sont souvent susurrées avec beaucoup de douceur. Je les entends encore, très apaisantes, Rina Ketty, Jean Sablon, Charles Trenet, Berthe Silva avec ses ''Roses Blanches'' et bien d’autres. Quand ma mère me chantait « Les Roses Blanches » chanson qu’elle aimait tant, je ne m’imaginais pas alors qu’elle disparaîtrait aussi comme dans la chanson peu de temps après, en 1946. Beaucoup de ces chansons, qu’on disait « réalistes » me transportent encore aujourd’hui dans ma douce enfance et font naître en moi une douce nostalgie.<br />
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Le soir, à la radio il y a une émission pour enfants que je ne veux pas manquer. Il semble que cette émission s’intitule DOMINO. Je ne suis par certain. La radio diffuse aussi le soir un feuilleton pour adulte dont le thème musical m’impressionne. Je pense que la musique de présentation du feuilleton est celle de Vincent d'Indy, un extrait de la ''Symphonie Cévenole''. A moins que cela ne soit un extrait de ''l’Amour des trois oranges'' de Stravinsky. L’instant musical est tragique et m’émeut. <br />
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Plus tard dans la soirée ce n’est plus Radio Paris qui est écouté, parce que tout le monde sait que… ''« Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand »''. Je fredonne cette chanson de [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Dac Pierre Dac], sans en comprendre le sens.Cette radio se présente en énonçant la phrase suivante ''« Ici Londres, les Français parlent aux Français ».'' <br />
Toute la famille s’applique à écouter les informations qui nous arrivent d’outre-Manche. Chaque auditeur interprète à sa manière, en fonction de son âge, les propos qui sont dits. Un brouilleur, comme une musique répétitive empêche d’entendre clairement la personnes qui parle. Un speaker débite de courtes phrases prononcées toujours deux fois, qui n’ont ni queue ni tête, c’est paraît-il des messages. Comme à l’école ! <br />
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Non je ne me souviens pas avoir vu affiché la photo du Maréchal Pétain à Vezin-le-Coquet. Elle doit être probablement quelque part mais pas ostensiblement exhibée, peut être affichée à minima. C’est sans doute la raison pour laquelle je n’ai pas de souvenir concernant ce sujet, sauf d’avoir entendu prononcer ''« la milice de Pétain »''. Le panneau public d'affichage est fixé sur le mur extérieur d’un préau de l'école, préau des filles et des petits, côté rue devant chez Letort. Eh bien non ! Pas de souvenir de l'image du Maréchal. Elle doit bien être quelque part. Madeleine Pécoil me disait récemment que la photo pouvait bien être affichée en Mairie…quand même !…<br />
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'''''Le maire de Vezin est un résistant'''''<br />
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Le maire de Vezin, Monsieur Fernand Bons, a des contacts étroits avec des éléments de la Résistance. Il héberge dans sa ferme à proximité du bourg des aviateurs britanniques qu'il cache dans des grands fûts. Chaque jour il leur fait apporter de la nourriture jusqu'à leur prise en charge par un réseau qui les acheminera en zone libre. Il a aussi fait passer des Polonais recherchés par la Gestapo. (les vieilles personnes prononcent Jestapo) Il a été décoré après guerre, notamment pour ces faits, lesquels ne sont pas les seuls. Il ne peut et ne veut donc pas assurer la promotion du Maréchal. J'ai consulté, ce jour, deux anciennes du village qui avaient à l'époque entre 13 et 18 ans. S'agissant du Maréchal l'une est certaine de n'avoir jamais vu sa photo affichée dans la commune. L'autre est certaine aussi de la même chose et certifie en outre que les enfants de la communale ne chantent pas la chanson du Maréchal en question. Par contre les enfants chantent et cela est certain : ''« Le p’tit Prince à dit »'' <br />
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'''''La DCA de la Belle Epine et son PC à la Drouétière'''''<br />
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Le poste de commandement du champ de la DCA allemande de ''la Belle Épine'' est situé au Château de la Drouétiére, sur une éminence, tout près du bourg. Une petite tourelle surmonte le château dont le toit est alors plat. En haut de la tourelle se tient comme un petit belvédère à partir duquel on découvre mieux qu’ailleurs le bassin de Rennes. Endroit idéal, qui convient parfaitement à l’occupant pour mieux observer, sans doute, le passage des avions. Avec d'autres femmes, ma mère aide à la préparation des repas des soldats du château ainsi que de ceux des artilleurs qui cantonnent auprès de leurs pièces à environ un kilomètre plus loin. La soupe des artilleurs est transportée du château de ''la Drouétière'' à ''la Belle Épine'' au moyen d'une charrette tirée par un âne qu’un jeune du village, Roger Fillouze, conduit. Ce jeune habite le Tertre. Il remplace son père qui a été désigné pour cette corvée. La cuisine est préparée dans le sous-sol à l’arrière du château. J’accompagne parfois ma mère. Un de ces jour-là, il fait beau, les femmes épluchent des pommes de terre, dehors, beaucoup de pommes de terre. C’est bien le diable si quelques unes d’entre elles ne se retrouveront pas plus tard dans notre assiette à la maison, surtout si elles sont transformées en frites. J’adore les frites cuites dans de la graisse de bœuf comme on les prépare ''din l’ch’nord''.<br />
<br />
[[Fichier:Sous sol château de la Drouetiere.JPG]]<br />
<br />
''Arrière du château, le sous sol où était préparée la popote des Allemands''<br />
<br />
<br />
<br />
Le travail des civils employés par les Allemands est rémunéré par l’administration française, c’est une réquisition de l’occupant. <br />
J'accompagne aussi quelquefois ma mère au cantonnement près des pièces de DCA, une petite ferme réquisitionnée. C’est une grande pièce que je découvre en y entrant, des tables, des chaises, c’est le réfectoire. Les soldats sont très jeunes, ils ont tous pour moi de gentilles marques d'attention, certains jouent avec moi et me donnent des bonbons. Ils appartiennent probablement au ''RAD Reichsarbeitsdienst'' (Service du travail de l’Etat) de la Luftwaffe, défense antiaérienne.<br />
<br />
<br />
<br />
Un certain jour, pour une raison que j'ignore, ma mère ne s'est pas rendue à son travail, probablement un mot d’ordre de quelque part. Dans la même journée un soldat allemand, fusil en bandoulière, masque à gaz au ceinturon, une grenade à manche dans une botte, dévale à vélo la route de Montfort. Sans descendre de bicyclette il frappe à la fenêtre de notre maison qui donne sur la rue. J’ai encore la chance d’être présent dehors, au niveau de la cour devant chez Tincart. Je vois mais je n’entends pas ce qui est dit, l’Allemand gesticule ma mère répond par des signes de tête. L’évènement est clos. <br />
Le soir ma sœur aînée raconte ''« Il a dit(l'Allemand) que si maman refuse de venir travailler, « ils » viendront la chercher baïonnette au canon »''. Baïonnette au canon !?…baïonnette au canon !?…j’imagine mal. Comment peut-on mettre une baïonnette au bout d'un canon de DCA et venir chercher ma maman avec çà ! ….encore un mystère qui ne m’a pas toutefois tracassé bien longtemps mais qui, plus tard, m’a fait sourire.<br />
<br />
<br />
Albert René Gilmet<br />
<br />
Janvier 2013<br />
<br />
[[Chronique vezinoise sous l'occupation n°05]]<br />
<br />
[[Chronique vezinoise sous l'occupation n°07]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Attentat_contre_Doriot_le_19_avril_1942&diff=39270Attentat contre Doriot le 19 avril 19422016-06-01T15:27:21Z<p>Pgautl : Ajout de 2 liens externes wikipedia sur le PPF et FTPF</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Rennes sous l'occupation|Doriot]]<br />
<br />
===Au théâtre===<br />
<br />
En Ille-et-Vilaine, le [https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_fran%C3%A7ais Parti populaire français] (PPF), parti fasciste et collaborationniste, est surtout présent à Saint-Malo. Très active, la section malouine organise la venue de Jacques Doriot, chef du parti, à Rennes le dimanche 19 avril 1942.[[Fichier:Doriot_a_rennes.jpeg|150px|right|thumb|Jacques Doriot en tribune]] [[Image:Affiche de propagande du PPF.png|thumb|150px|Affiche de propagande du PPF.]]Le lieutenant Doriot, de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, dira ce qu'il a vu en Russie. Le théâtre municipal est rempli et des centaines de Rennais sont présents sur la place de la Mairie afin d'écouter la retransmission par haut-parleur du discours de Doriot qui mène sa croisade anti-bolchevique. Un attentat a été organisé par l'OS (Organisation Spéciale de Combat), dont le responsable pour l'Ille-et-Vilaine et le Morbihan est Edouard Hervé, et les [https://fr.wikipedia.org/wiki/Francs-tireurs_et_partisans FTPF] (Francs-Tireurs et Partisans Français. Le journal du lendemain traite sur 3 pages du discours de Doriot mais ne relate l'attentat qu'en quelques lignes après en avoir fait un sous-titre :<br />
<br />
" ''La conférence était terminée quand une grenade fut lancée des deuxièmes galeries et aurait éclaté entre le premier et le second banc des fauteuils d'orchestre, sans le sang-froid d'une spectatrice qui détourna l'engin. La grenade éclata dans la fosse de l'orchestre. L'explosion arracha les boiseries placées sous la scène, transformant les sphères de bronze des timbales en véritables écumoires. Toute la salle debout a acclamé Jacques Doriot et et a entonné la ''Marseillaise''. Un blessé léger est à déplorer. La police a procédé ensuite au filtrage de la salle. Jusqu'alors l'auteur de cet acte odieux n'a pu être identifié.''" <br />
<br />
Après sa visite, une section est créée à Rennes. Quelques mois plus tard, les membres du PPF d'Ille-et-Vilaine, seulement une soixantaine, continuent, comme ceux des autres départements, à provoquer des arrestations de juifs ou de résistants, faisant ainsi du PPF une sorte de police supplétive.<br />
<br />
L'auteur de l'attentat était '''Maurice Fourrier''', 19 ans, ajusteur et agent technique au dépôt de la SNCF. Il fut arrêté le 11 juillet 1942, jugé avec 28 camarades communistes par le tribunal militaire allemand, notamment pour divers attentats perpétrés à Rennes, avec Maurice Leost de mars à juillet 1942 contre des officines collaborationnistes et contre des Allemands. <ref> ''Rennes pendant la guerre, chroniques de 1939 à 1945'', par Étienne Maignen. Éditions Ouest-France - 2013</ref><br />
<br />
===Références===<br />
<references/></div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Utilisateur:Pgautl&diff=39269Utilisateur:Pgautl2016-06-01T14:54:18Z<p>Pgautl : Compléments d'infos</p>
<hr />
<div>Je m'appelle Jean Paul. Je suis retraité depuis 1997. <br />
<br />
J’administre bénévolement des sites sur les prisonniers de guerre de l’Axe en Bretagne (1945-1948) et memoiredeguerre (La Résistance en Bretagne; -1940-1944 et particulièrement en Ille-et-Vilaine. <br />
<br />
Je travaille également pour la création d'un DVD sur la période 39/45 sur l'Ille-et-Vilaine dans le cadre d'un projet AERI (Fondation de la Résistance). <br />
<br />
Beaucoup d’articles publiés sur ces sites, mériteraient d’être sur Wikipedia, c’est la raison principale qui me conduit à commencer à publier sur Wikipedia et sur Wiki Rennes.</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Darlan,_l%27amiral_collaborateur,_en_visite_%C3%A0_Rennes_le_14_octobre_1941&diff=31001Darlan, l'amiral collaborateur, en visite à Rennes le 14 octobre 19412014-10-17T10:42:49Z<p>Pgautl : Correction du nom du préfet Ripert</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Événement]]<br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]<br />
<br />
[[Catégorie:Rennes sous l'occupation]]<br />
[[Fichier:Darlan.jpeg|150px|right|thumb|Vice-président du Conseil, ministre de l'information et de la propagande]]<br />
L'amiral Darlan, vice-président du conseil du gouvernement du maréchal {{w|Pétain}} est en visite à Rennes le mardi 14 octobre [[1941]]. Nommé par acte constitutionnel n°4 successeur du maréchal Pétain, c'est un partisan actif de la collaboration avec le Reich nazi.<br />
<br />
L'amiral{{w|François Darlan}} est accueilli à la gare de Rennes par le préfet régional Ripert et en sort, entre deux haies de gendarmes au garde-à-vous. Il va recevoir à la préfecture l'ensemble des hautes personnalités départementales.<br />
[[Fichier:Export_(5).jpg|250px|left|thumb|Un amiral bien accueilli par les notables de Rennes]]<br />
Le journal qui rend compte de cette journée le qualifie de porte-parole du maréchal. Il est accueilli à la préfecture par Mgr Roques, archevêque de Rennes, Dol et Saint-Malo, M. le vicaire général Pouet, M. [[François Château]], maire de Rennes, MM.Lemonnier, premier président de la cour d'appel, Peyre, procureur général, Fontanel et Foures, sous-préfets de Fougères et Redon. Le vice-président du conseil est ensuite salué, au premier étage, par M. Bahon-Rault, conseiller national, entouré des membres de la commission administrative, MM. Beauchef, Rupied, de Toulouse-Lautrec, Barentin, de la Bourdonnaye, Jausions, Patay, de Quénétain. Puis le journal cite 3 adjoints au maire de Rennes et 31 maires de communes (''seulement''), les noms des hauts fonctionnaires, des doyens des facultés, des proviseurs et directeurs d'enseignement public et privé, des présidents d'organismes interprofessionnels et syndicaux, de la presse ( L'[[Ouest-Eclair]], [[Le Nouvelliste]], La Bretagne), de chefs de grandes entreprises ([[Brasserie Graff|Graff]], [[Imprimerie Oberthür|Oberthür]], [[l'Economique]]), et ceux d'un groupes d'officiers récemment libérés. Au total 155 noms, pratique de presse au demeurant habituelle jusque dans les années soixante du 20e siècle.<br />
<br />
Il convient de signaler que toutes ces personnes, invitées à écouter la bonne parole du maréchal distillée par l'amiral, ne sont pas des collaborationnistes forcenés mais, pour la plupart, œuvrent, dans les structures de l'époque, pour le bien de leurs concitoyens.<br />
<br />
L'amiral Darlan visitera ensuite l'Ecole d'industrie, [[boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après la lecture de cette longue liste indigeste qui avec, les photos, occupe trois colonnes, le lecteur trouvait, en bas de page, une petite annonce appétissante :<br />
<br />
Le '''Restaurant''' de la '''Friture''', [[Cesson-Sévigné]], sera ouvert le 19 octobre.<ref>''[[Ouest-Eclair]]''-15 octobre 1941</ref><br />
<br />
===références===<br />
<references/></div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29586Lycée Charles Tillon2014-03-25T10:03:33Z<p>Pgautl : ajout de l'appel du 17 juin 1940</p>
<hr />
<div>===De l'école d'Industrie au lycée<ref>Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.</ref>===<br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique (A cette époque il fallait passer un concours pour entrer en 6eme, le nombre de places étant limité à quarante élèves par classe. Dès l'âge de onze ans, les élèves apprenaient, huit heures par semaine, à forger, à limer le fer et à travailler le bois tout au long de l'année scolaire), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat ; quatre industriels : étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
===Période de la Seconde guerre mondiale===<br />
<br />
Un groupe de six collégiens participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur. Début mars 1942, ils sont arrêtés par la Gestapo, internés à la prison Jacques Cartier, puis transférés à la prison du Cherche-midi à Paris et déportés le 4 juin 1942 en application du décret "{{w|Nacht und Nabel}}" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS {{w|Hinzert}} en Rhénanie. Allemagne. Le plus jeune avait quinze ans. Quatre sont morts dans les camps: Pascal Lafaye, Michel Goltais, Yves Lemoigne et Jacques Terrière, les deux autres: Guy Faisant et Gilbert Anquetil reviendront très affaiblis en mai 1945.<br />
Une plaque commémorative se trouve sous le préau de la cour pour honorer leur mémoire. <br />
<br />
== {{w|Charles Tillon}} ==<br />
<br />
<br />
<br />
(Né à Rennes 3 juillet 1897- mort le 13 janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint-Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entraînent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les Français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint- Malo.<br />
<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La-Bouexière.<br />
<br />
En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
<br />
En septembre 2007, le Lycée Professionnel Laënnec-Robidou de Rennes change de nom et devient Lycée professionnel Charles Tillon.<ref>[http://www.lp-charles-tillon-rennes.fr/historique-d36.html|Historique du Lycée]</ref><br />
<br />
<br />
<br />
{| class="wikitable"<br />
|-<br />
|[[Fichier:Tillon-marin.jpg|thumb|100 px|<center> Charles Tillon marin]]||[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|150px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]] ||[[Fichier:Appel-tillon.jpg|thumb|150px|Appel du 17 juin 1940 de Charles Tillon]]|| [[File:Tillon-1989-louvigné-du-desert.jpg|thumb|100 px| Charles Tillon lors de l'inauguration de la rue Louis Petri à Louvigné du-Désert en 1989]]||[[Fichier:Tillon-charles-plaq-406.jpg|thumb|100px| Charles Tillon]] |<br />
|}<br />
----<br />
<br />
===Références===<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
[[Catégorie:Naissance à Rennes]]<br />
[[Catégorie:Personnalité]]<br />
[[Catégorie:Ministre de la Quatrième République]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Appel-tillon.jpg&diff=29585Fichier:Appel-tillon.jpg2014-03-25T09:55:46Z<p>Pgautl : Appel du 17 juin 1940 de Charles Tillon</p>
<hr />
<div>Appel du 17 juin 1940 de Charles Tillon</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29584Lycée Charles Tillon2014-03-25T09:44:56Z<p>Pgautl : correction de quelques fautes</p>
<hr />
<div>===De l'école d'Industrie au lycée<ref>Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.</ref>===<br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
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Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique (A cette époque il fallait passer un concours pour entrer en 6eme, le nombre de places étant limité à quarante élèves par classe. Dès l'âge de onze ans, les élèves apprenaient, huit heures par semaine, à forger, à limer le fer et à travailler le bois tout au long de l'année scolaire), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
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Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
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Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat ; quatre industriels : étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
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===Période de la Seconde guerre mondiale===<br />
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Un groupe de six collégiens participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur. Début mars 1942, ils sont arrêtés par la Gestapo, internés à la prison Jacques Cartier, puis transférés à la prison du Cherche-midi à Paris et déportés le 4 juin 1942 en application du décret "{{w|Nacht und Nabel}}" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS {{w|Hinzert}} en Rhénanie. Allemagne. Le plus jeune avait quinze ans. Quatre sont morts dans les camps: Pascal Lafaye, Michel Goltais, Yves Lemoigne et Jacques Terrière, les deux autres: Guy Faisant et Gilbert Anquetil reviendront très affaiblis en mai 1945.<br />
Une plaque commémorative se trouve sous le préau de la cour pour honorer leur mémoire. <br />
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== {{w|Charles Tillon}} ==<br />
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(Né à Rennes 3 juillet 1897- mort le 13 janvier 1993 à Marseille)<br />
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Il est né [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint-Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entraînent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les Français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint- Malo.<br />
<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La-Bouexière.<br />
<br />
En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
<br />
En septembre 2007, le Lycée Professionnel Laënnec-Robidou de Rennes change de nom et devient Lycée professionnel Charles Tillon.<ref>[http://www.lp-charles-tillon-rennes.fr/historique-d36.html|Historique du Lycée]</ref><br />
<br />
<br />
<br />
{| class="wikitable"<br />
|-<br />
|[[Fichier:Tillon-marin.jpg|thumb|100 px|<center> Charles Tillon marin]]||[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|150px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]] || [[File:Tillon-1989-louvigné-du-desert.jpg|thumb|100 px| Charles Tillon lors de l'inauguration de la rue Louis Petri à Louvigné du-Désert en 1989]]||[[Fichier:Tillon-charles-plaq-406.jpg|thumb|100px| Charles Tillon]] |<br />
|}<br />
----<br />
<br />
===Références===<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
[[Catégorie:Naissance à Rennes]]<br />
[[Catégorie:Personnalité]]<br />
[[Catégorie:Ministre de la Quatrième République]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29583Lycée Charles Tillon2014-03-25T09:36:13Z<p>Pgautl : ajout de vignettes</p>
<hr />
<div>===De l'école d'Industrie au lycée<ref>Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.</ref>===<br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique (A cette époque il fallait passer un concours pour entrer en 6eme, le nombre de places étant limité à quarante élèves par classe. Dès l'âge de onze ans, les élèves apprenaient, huit heures par semaine, à forger, à limer le fer et à travailler le bois tout au long de l'année scolaire), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat ; quatre industriels : étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
===Période de la Seconde guerre mondiale===<br />
<br />
Un groupe de six collégiens participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur. Début mars 1942, ils sont arrêtés par la Gestapo, internés à la prison Jacques Cartier, puis transférés à la prison du Cherche-midi à Paris et déportés le 4 juin 1942 en application du décret "{{w|Nacht und Nabel}}" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS {{w|Hinzert}} en Rhénanie. Allemagne. Le plus jeune avait quinze ans. Quatre sont morts dans les camps: Pascal Lafaye, Michel Goltais, Yves Lemoigne et Jacques Terrière, les deux autres: Guy Faisant et Gilbert Anquetil reviendront très affaiblis en mai 1945.<br />
Une plaque commémorative se trouve sous le préau de la cour pour honorer leur mémoire. <br />
<br />
== {{w|Charles Tillon}} ==<br />
<br />
<br />
<br />
(né à Rennes en 1897- mort le 13 janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né à Rennes [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entraînent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (Juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint Malo.<br />
<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La Bouexière.<br />
<br />
En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
<br />
En septembre 2007, le Lycée Professionnel Laënnec-Robidou de Rennes change de nom et devient Lycée professionnel Charles Tillon.<ref>[http://www.lp-charles-tillon-rennes.fr/historique-d36.html|Historique du Lycée]</ref><br />
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{| class="wikitable"<br />
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|[[Fichier:Tillon-marin.jpg|thumb|100 px|<center> Charles Tillon marin]]||[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|150px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]] || [[File:Tillon-1989-louvigné-du-desert.jpg|thumb|100 px| Charles Tillon lors de l'inauguration de la rue Louis Petri à Louvigné du-Désert en 1989]]||[[Fichier:Tillon-charles-plaq-406.jpg|thumb|100px| Charles Tillon]] |<br />
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===Références===<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
[[Catégorie:Naissance à Rennes]]<br />
[[Catégorie:Personnalité]]<br />
[[Catégorie:Ministre de la Quatrième République]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Tillon-charles-plaq-406.jpg&diff=29582Fichier:Tillon-charles-plaq-406.jpg2014-03-25T09:29:03Z<p>Pgautl : Charles Tillon</p>
<hr />
<div>Charles Tillon</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Tillon-marin.jpg&diff=29580Fichier:Tillon-marin.jpg2014-03-25T09:06:13Z<p>Pgautl : Charles Tillon, marin</p>
<hr />
<div>Charles Tillon, marin</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Avenue_Charles_et_Raymonde_Tillon&diff=29579Avenue Charles et Raymonde Tillon2014-03-25T08:54:26Z<p>Pgautl : ajout d'un plan</p>
<hr />
<div>'''Avenue Charles Tillon''' est le nom actuel (depuis 1994) de ce qui s'appelait primitivement [[Avenue d'Ile-de-France]]. Située dans le quartier 10, cette voie constitue la limite administrative (et électorale) entre le quartier de Villejean et le quartier de Beauregard. Elle part de la [[rocade Nord]] et se poursuit jusqu'à sa rencontre avec la [[rue de Saint-Malo]] au carrefour dit des [[Trois Croix]]. Ce qui explique qu'avant l'ouverture de la rocade, l'avenue (Ile-de-France à l'époque) ait longtemps fait office de pré-rocade avec un trafic de poids lourds permanent. D'où le passage souterrain créé particulièrement pour l'accès au collège de La Harpe (actuel [[Campus La Harpe]] de l[['Université Rennes 2]]). D'où également des arrêtés préfectoraux d'interdiction des poids lourds la nuit, plus ou moins respectés.<br />
<br />
Attention : l'avenue Charles Tillon comporte un lycée, longtemps connu familièrement sous le nom de "Ildeuf" (comme Ile-de-France), qui est devenu le [[Lycée Victor et Hélène Basch]], dit VHB. Il y a bien un [[Lycée Charles Tillon]] mais ailleurs : c'est l'ancien Lycée Robidou. <br />
<br />
Outre le lycée, l'avenue condense dans sa partie ouest une série de services importants non seulement pour la ville mais aussi pour tout le pays de Rennes : l'usine de traitement des eaux et le château d'eau qui alimente une bonne partie de Rennes (gestion Véolia eau), le campus La Harpe de l'Université Rennes 2, la Ferme de La Harpe (centre Léo Lagrange)<ref>Voir : www.laharpe.net</ref>, la déchèterie Nord-Ouest de Rennes, l'usine d'incinération - dite maintenant "unité de valorisation énergétique" - qui traite les ordures résiduelles de tout Rennes-Métropole et de quelques autres communautés de communes (gestion SOBREC-Véolia)<ref>Voir le site : www.uve-rennesmetropole.fr</ref>, la chaufferie qui fournit chauffage et eau chaude à Villejean, Beauregard et Pontchaillou (depuis 2012, gestion Cofely). <br />
<br />
Pour la biographie de Charles Tillon, voir la page [[Lycée Charles Tillon]].<br />
{{#display_points: Avenue Charles Tillon,Rennes|width=450|zoom=14}}<br />
==Notes==<br />
<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Voie_de_Rennes|Charles Tillon]]<br />
[[Catégorie:Quartier 10 : Villejean - Beauregard]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29553Lycée Charles Tillon2014-03-23T09:21:36Z<p>Pgautl : Ajout d'une photo+ la date du changement de nom du lycée+ lien WP sur l'article de Charles Tillon+ nouvelles catégories</p>
<hr />
<div>===De l'école d'Industrie au lycée<ref>Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.</ref>===<br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique (A cette époque il fallait passer un concours pour entrer en 6eme, le nombre de places étant limité à quarante élèves par classe. Dès l'âge de onze ans, les élèves apprenaient, huit heures par semaine, à forger, à limer le fer et à travailler le bois tout au long de l'année scolaire), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat ; quatre industriels : étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
===Période de la Seconde guerre mondiale===<br />
<br />
Un groupe de six collégiens participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur. Début mars 1942, ils sont arrêtés par la Gestapo, internés à la prison Jacques Cartier, puis transférés à la prison du Cherche-midi à Paris et déportés le 4 juin 1942 en application du décret "{{w|Nacht und Nabel}}" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS {{w|Hinzert}} en Rhénanie. Allemagne. Le plus jeune avait quinze ans. Quatre sont morts dans les camps: Pascal Lafaye, Michel Goltais, Yves Lemoigne et Jacques Terrière, les deux autres: Guy Faisant et Gilbert Anquetil reviendront très affaiblis en mai 1945.<br />
Une plaque commémorative se trouve sous le préau de la cour pour honorer leur mémoire. <br />
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== {{w|Charles Tillon}} ==<br />
<br />
[[File:Tillon-1989-louvigné-du-desert.jpg|thumb|Charles Tillon lors de l'inauguration de la rue Louis Petri à Louvigné du-Désert en 1989]]<br />
<br />
(né à Rennes en 1897- mort le 13 janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né à Rennes [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entraînent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (Juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint Malo.<br />
<br />
[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|250px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]]<br />
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De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La Bouexière.<br />
<br />
En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
<br />
En septembre 2007, le Lycée Professionnel Laënnec-Robidou de Rennes change de nom et devient Lycée professionnel Charles Tillon.<ref>[http://www.lp-charles-tillon-rennes.fr/historique-d36.html|Historique du Lycée]</ref><br />
<br />
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===Références===<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
[[Catégorie:Naissance à Rennes]]<br />
[[Catégorie:Personnalité]]<br />
[[Catégorie:Ministre de la Quatrième République]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Prosper_Chubert,_un_grand_patriote&diff=29474Prosper Chubert, un grand patriote2014-03-18T15:52:04Z<p>Pgautl : Ajout d'un plan+vignette sur l'hôpital+ 4 liens WP+ correction d'une faute sur initiative et vice président+ modif de la date de décès</p>
<hr />
<div>''Article paru dans le bulletin municipal d'Acigné en février 2010<ref>''L'Acignolais'', bulletin municipal d'Acigné, numéro de février 2010 [http://www.ville-acigne.fr/templates_fichiers_bulletin/telechargement_file.php?PHPSESSID=&ref=3file575.pdf&ext=pdf&nom=Bulletin%20de%20f%E9vrier%202010](pdf)</ref>, repris avec l'autorisation de son auteur :'' <br />
<br />
[[Fichier:Prosper-Chubert.jpg|right|thumb|200px]]<br />
[[File:Hopital Chubert Vannes.JPG|thumb|right|200px|Hôpital Chubert à Vannes]]<br />
{{citation|texte=<br />
{{w|Prosper Chubert}} est né le 25 septembre 1884 dans l’actuelle rue des Forgerons (n°6) où ses parents, Prosper Chubert et Léonie Galesne, tenaient un commerce de grains et de cidre dans une maison en terre aujourd’hui disparue. Au même endroit, ils avaient aussi un café et un commerce de tissus. Ils firent construire en 1900, l’actuelle maison du n°6.<br />
<br />
<br />
Le jeune Prosper fit son lycée et des études de droit à Rennes et s’installa comme avoué à Vannes. Très actif, il prit de nombreuses responsabilités : vice président du Véloce Vannetais, vice président du Syndicat d’initiatives, président de l’orchestre la Lyre Vannetaise… et vice président de la commission des hospices. À ce titre, l’hôpital de Vannes, achevé en 1934, fut en grande partie l’oeuvre de l’Acignolais. Prosper Chubert se maria sur le tard, à 46 ans, avec Marie-Jeanne Denais, à Nantes. En 1940, grâce à lui, le Syndicat d’initiative servit à faciliter le logement des réfugiés à Vannes. Puis Prosper Chubert entra en Résistance. En 1943, il se mit au service du général {{w|Maurice Guillaudot}}, dit Yodi, chef de l’{{w|Armée secrète}} du Morbihan. Cette organisation permit de sauver 192 aviateurs alliés abattus et de transmettre à Londres toutes les informations sur le dispositif allemand du département. Après l’arrestation de Yodi, fin 1943, c’est Prosper Chubert qui présida en janvier 1944 le premier Comité départemental de Libération.<br />
<br />
<br />
Dénoncé, il est arrêté le 18 février 1944 par la Gestapo, transféré de Rennes à Compiègne le 29 juin 1944, puis déporté le 28 juillet vers le camp de {{w|Neuengamme}} (Matricule 40520), où il décède le 28 novembre 1944.<ref>http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.250.#CHUBERT</ref> <br />
<br />
Pour célébrer la mémoire de cet homme de bien, le nom de Prosper Chubert a été donné au Centre Hospitalier de Vannes (actuellement 1500 places, place du Docteur Grosse. À Acigné, une rue porte son nom (entre l’avenue de l’abbé-Barbedet et la rue Jeanne-Marie Martin).<br />
<br />
<br />
|auteur=Alain Racineux|qualite=Acigné Autrefois|origine=L'Acignolais|collecteur=|date=Février 2010}}<br />
<br />
{{#display_points: rue Prosper Chubert, Acigné|right|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Acigné]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|Chubert]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Discussion_utilisateur:Regis&diff=29472Discussion utilisateur:Regis2014-03-18T15:20:36Z<p>Pgautl : /* Au revoir et merci */ Photo de Prosper Chubert</p>
<hr />
<div>== La bienvenue ==<br />
Bonjour, <br />
<br />
Tout le plaisir est pour moi. J'espère que cette belle aventure ira loin ! :)<br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] <sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup></b> 25 mars 2010 à 11:45 (UTC)<br />
<br />
== Autres catégories ==<br />
<br />
<br />
Merci Régis de ton accueil encourageant ! Oui, il y a au moins deux autres catégories à revoir, mais pour un premier embarquement je ne voulais pas trop en faire, surtout sans m'être présenté au capitaine ou au moins à l'homme de barre.<br />
<br />
Bon je vois qu'il n'y a pas de raison que ça ne se passe pas bien. Je ne sais quand et sur quoi je participerai, surtout que je rentre ces jours-mêmes dans une moindre disponibilité pour au moins six mois. Je sais par expérience que moins je suis disponible, plus les contributions se concentrent sur la maintenance au détriment de la rédaction. Déjà hier ça n'a pas manqué ...<br />
<br />
Dans tous les cas, si j'arrive à participer, n'hésite pas à me faire part de tout problème ou question, que ce soit en général ou concernant telle ou telle de mes initiatives.<br />
<br />
Bon lancement du projet !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 27 mars 2010 à 16:14 (UTC)<br />
<br />
== Boutons de barre d'outils ==<br />
<br />
Salut !<br />
<br />
J'ai fait une petite recherche rapide sur [[commons:MediaWiki edit toolbar|Commons]] pour trouver des icônes pour les modèles. Voilà le résultat de ma chasse : <br />
<br />
* [[File:Button link to Wikipedia.png]] pour {{m|W}}<br />
* [[File:Button comillas latinas.png]] pour {{m|citation}}<br />
* [[File:Button lauriers.png]] pour {{m|source Wikipédia}}<br />
<br />
Je ne pense pas qu'il en faille d'autres.<br />
<br />
Bonne intégration, <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 3 avril 2010 à 12:31 (UTC)<br />
:Salut !<br />
:J'ajoute [[File:Button commons.png]] pour {{m|Commons}}. <br />
:Je vais regarder pour faire l'intégration comme plug-in facultatif. <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 14 avril 2010 à 15:00 (CEST)<br />
:<br />
::Génial !!! <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 10 mai 2010 à 14:29 (CEST)<br />
<br />
== Favicon ==<br />
<br />
Magnifique ! N'hésite surtout pas à me demander si tu as besoin d'un coup de main pour un modèle ou pour autre chose ! <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 7 avril 2010 à 18:30 (CEST)<br />
<br />
== Couleur des liens ==<br />
<br />
Je trouve la couleur des liens vert trop claire et difficile à lire. Mais peut-être est-ce l'effet voulu ? [[Utilisateur:Blue Prawn|Blue Prawn]] 8 octobre 2010 à 23:28 (CEST)<br />
<br />
:Bonjour Blue Prawn, <br />
:Non bien sûr, ce n'est pas l'effet voulu. C'est vrai que selon le réglage de l'écran, le vert est plus ou moins brillant. Dans l'ensemble, les visiteurs n'ont pas de souci pour lire les liens, mais peut-être qu'en mettant une goutte de noir dans le vert, on devrait pouvoir régler ça. <br />
:et bienvenue sur Wiki-Rennes!<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 9 octobre 2010 à 08:58 (CEST)<br />
<br />
== Catégories toujours ==<br />
<br />
Bonjour Régis<br />
<br />
Je viens te demander la suppression de la catégorie que tu as créée hier pour au moins deux raisons : [[:catégorie:Ancien Évêque de Rennes]]. La faute de typo suffit à la condamner (évêque et non Évêque), mais même avec cela, je pense que tu vas convenir que ça ne va pas quant'à l'intérêt du mot ancien même si en première évidence, ce sont bien d'anciens évêques. Je viens de vérifier comme d'hab que Wikipédia dans sa grande sagesse ;) s'abstenait du terme et utilisait [http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:%C3%89v%C3%AAque_de_Rennes Évêque de Rennes]. J'imagine que le raisonnement est qu'il n'y a jamais qu'un actuel évêque pour une foule d'anciens et que l'actuel va rapidement passer dans les anciens, plus vite qu'on ne croit en tout cas. Il faudrait mieux ultérieurement une catégorie pour les religieux toujours en poste, si on peut la tenir à jour...<br />
<br />
Je propose donc le remplacement par [[:Catégorie:Évêque de Rennes]], mais je me demande si on ne devrait pas aller plus loin dans la simplicité et le bon sens à savoir se contenter de [[:Catégorie:Évêque]] sachant qu'on ne parle jamais que de Rennes et que si jamais des évêques d'un autre type apparaissent, il sera toujours temps de les isoler par une catégorie spécifique. Je sais qu'on a déjà [Catégorie:Rue(s) de Rennes], mais là vue son importance sa clarté l'emporte peut-être pour les novices (et des rues de communes voisines pourraient avoir - je ne sais comment - un intérêt pour Wiki-Rennes...).<br />
<br />
Bref la question générale que je me pose porte sur l'intérêt du mot Rennes dans les titres que ce soit de catégories que d'articles (là Wikipédia ne peut rien apprendre...).<br />
<br />
Bon week-end !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 10 avril 2010 à 08:45 (CEST)<br />
<br />
::Bonjour Tigh, <br />
::Me voici à nouveau convaincu par ton argumentation. J'avais d'ailleurs hésité sur l'utilisation de "Ancien". Pour la suppression du terme "Rennes" dans la catégorie. C'est vrai que c'est redondant, hormis un objectif qui consisterait à réunir le plus de fois le mot Rennes sur un même site Internet, cela n'a aucun intérêt ;) <br />
::Pour "Rue(s) de Rennes", ce terme ne me convient pas, pas seulement par le fait qu'il soit au pluriel. Je ne l'ai pas encore modifié, car j'hésite encore. <br />
::"Rues" est trop restrictif, il y a des places, des allées, des chemins, etc.. Il existe un terme exacte : {{w|Odonymie}}. Nous allons donc l'utiliser. Par contre, ce n'est pas parlant, d'où mon hésitation. <br />
<br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 10 avril 2010 à 09:22 (CEST)<br />
:::Je ne suis pas fâché que mon argumentation te convienne :)<br />
:::Concernant les rues, je vais dans le sens de tes incertitudes. D'abord, j'ignorais l'existence même du mot odonymie avant que tu en parles sur ce site. Je suis donc peu enclin à le voir utilisé surtout à ce niveau où le caractère clair et simple est prioritaire pour moi comme je l'ai déjà dit. Je viens à nouveau de me référer à ce que fait Wikipédia et notamment avec la catégorie Voie parisienne qui semble correspondre à ce que tu souhaites. Je trouve cependant Wikipédia incohérent en ce que la catégorie devrait s'appeler ''Voie de Paris'' puisque des sous-catégories n'utilisent pas l'adjectif et que les adjectifs ont tendance à être bannis pour des problèmes de langage, d'accord, etc. La conclusion serait donc pour le moment d'envisager une catégorie [[:catégorie:Voie de Rennes]] ou [[:catégorie:Voie]] (?).<br />
:::[[Utilisateur:TigH|TigH]] 10 avril 2010 à 10:27 (CEST)<br />
<br />
::::Bonjour TigH<br />
::::J'avoue qu'autant "Voie de Rennes" que "Voie" ne me convainquent, même s'ils sont assez précis. Si aucune idée lumineuse ne jaillit. Voie de Rennes reste une bonne option. <br />
::::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 13 avril 2010 à 08:45 (CEST)<br />
<br />
== Une infobox pour les GoogleMap ==<br />
<br />
Salut Régis, <br />
<br />
Effectivement, il serait sage et beaucoup plus esthétique d'intégrer les cartes un peu mieux qu'elle ne le sont. Je vais jeter un œil sur la faisabilité de la chose, et je te tiens au courant.<br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 12 avril 2010 à 14:50 (CEST)<br />
:<br />
:Oui, l'infobox, ça, c'est faisable. Pour la carte en version Google Map dans l'infobox, par contre, j'émets un peu plus de réserves, car je ne vois pas trop comment faire. Mais c'est un challenge intéressant. Je regarde tout ça ! <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 12 avril 2010 à 15:00 (CEST)<br />
::<br />
::Question pratique : y a-t-il un style déjà défini pour les infobox, ainsi que pour réaliser des ''float'' (left & right, surtout right) ? <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 12 avril 2010 à 16:51 (CEST)<br />
::<br />
:::Essais en cours à cette adresse : [[Utilisateur:Trizek/Bac_à_sable]]. N'hésite pas à mettre tes remarques sur la page de discussion associée. Par ailleurs, le meta <nowiki>{{{PAGENAME}}}</nowiki> n'a par l'air de vouloir fonctionner...<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 12 avril 2010 à 17:21 (CEST)<br />
:::<br />
::::Du neuf sur la page de discussion pour l'infobox !<br />
::::Par ailleurs, je t'informe que la Non-Cabale Ouest, rassemblement non-officiel des wikipédiens rennais, se retrouve tous les mardis, et que tu y es amicalement invité. Ce soir, c'est au Haricot Rouge vers 19h30. N'hésite pas ! <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 13 avril 2010 à 14:15 (CEST)<br />
<br />
== Panneau de navigation ==<br />
<br />
Salut !<br />
<br />
Chez moi, c'est bon (FF/PC), à part un petit pépin (arrangé depuis !) sur [[Aide:Accueil]]. Qu'as-tu qui plante ?<br />
<br />
Je prends pas mal de libertés avec le wiki ; j'espère que ça te convient et que ça ne vient pas fouler tes platebandes... :-)<br />
<br />
Si ça te convient, concernant l'aide, pourras-tu mettre la navigation transversale ({{m|Aide:Accueil/Navigation}}) sur la page de la charte ?<br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 20 avril 2010 à 16:19 (CEST)<br />
:<br />
:Le but du panneau de navigation d'aide est double : avoir une navigation transversale vers les pages d'aide (du moins les grandes catégories), et unifier la présentation des pages d'aide (on les voit au premier coup d'œil). Dans mon idée, il est à mettre dans toutes les pages d'aide, pour les identifier et pour faciliter le passage de l'une à l'autre. Exemple : [[Aide:Comment contribuer ?]]. Est-ce que je continue le déploiement ?<br />
:<br />
:Quant au fait que ça fasse doublon avec [[Aide:Accueil]], ça n'est pas tout à fait vrai : le panneau incite les gens à aller se balader en fait, mais depuis une page d'aide seulement ! Une personne en difficulté sur une page de l'espace public (i.e. les pages "intéressantes" du wiki) aura comme ressource le lien ''aide'' présent dans le menu de gauche. Comprends-tu ?<br />
:<br />
:Et pas de souci : la prochaine fois que je pars sur des gros trucs, je t'informe. J'aurai d'ailleurs du le faire avant ; je m'excuse pour ce manque total de politesse !<br />
:<br />
:<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 20 avril 2010 à 16:37 (CEST)<br />
<br />
::Bonne idée que celle du déploiement sur les pages d'Aide. Le panneau a vraiment son intérêt s'il permet d'être l'équivalent d'un "menu de colonne gauche". On fait comme ça. --[[Utilisateur:Regis|Régis]] 20 avril 2010 à 16:40 (CEST)<br />
::<br />
:::OK, je déploie ! :-)<br />
<br />
== NCO ==<br />
Au fait, ce soir, 19h 6e étage des Champs Libres ou 19h30 au Haricot Rouge... <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 20 avril 2010 à 16:47 (CEST)<br />
:<br />
:Les Champs Libres, c'est juste le temps pour nous de prendre et déposer des bouquins ; je tâcherai d'y être. Je t'ai envoyé mon n° de téléphone par mail, au caillou ! A ce soir, j'espère (avec hâte !) <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 20 avril 2010 à 17:24 (CEST)<br />
::<br />
::Oui, j'ai bien reçu ton message, mais pris dans la tempête policière des Champs Libres, je n'ai pas réussi à y répondre. Tu n'as pas râté grand chose, nous étions peu nombreux au final. La semaine prochaine, même heure, même endroit ! <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 21 avril 2010 à 09:11 (CEST)<br />
::<br />
:::Salut !<br />
:::J'ai vu ton mail et ton message : bonne nouvelle! Je suis impatient d'être à demain ! :-)<br />
:::<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 26 avril 2010 à 16:21 (CEST)<br />
:::PS : bravo, tu m'as confondu avec TigH sur sa page de discussion. Deux contributeurs actifs à la lettre T, c'est déjà trop ? =D<br />
::::Ouais désolé pour t'avoir confondu... #LundiMatinInside --[[Utilisateur:Regis|Régis]] 26 avril 2010 à 16:24 (CEST)<br />
<br />
== Merci pour l'accueil ==<br />
<br />
Bonsoir, <br />
<br />
Bien tout est dans l'intitulé de la section. [[Utilisateur:Ollamh|Ollamh]] 23 avril 2010 à 23:10 (CEST)<br />
<br />
== Mille tonnerres de Brest ==<br />
<br />
Bonjour, bonne semaine<br />
<br />
Je ne suis pas de mauvaise humeur, mais je viens pourtant de vider mon sac jusqu'au fond en m'inscrivant sur Wiki-Brest. Je t'invite à lire mon interpellation et questionnement [http://www.wiki-brest.net/index.php/Discussion_utilisateur:TigH].<br />
<br />
Je ne crois pas à une véritable réponse là-bas, alors, comme animateur principal ici, tu auras peut-être une réaction dont tu voudras me faire part. J'avais déjà discuté de cela en quelques mots avec Gildas (si je ne me trompe pas de prénom) et c'est lui qui m'avait répondu au moyen des stats, sans entamer beaucoup mon scepticisme.<br />
<br />
Comme je le dis là-bas, j'aimerais que Wiki-Rennes ressemble à autre chose (quitte à faire preuve quotidiennement d'optimisme).<br />
<br />
Bonne continuation [[Vivre en intelligence|Vivons en intelligence !]]. (PS : je viens d'explorer Wiki-Manche, un régal et par hasard sans doute, c'est ouvert aux IPs...)<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 25 avril 2010 à 17:45 (CEST) [http://www.wiki-brest.net/index.php/Discussion_utilisateur:TigH Message sur Wiki-Brest]<br />
<br />
== Bienvenue ! ==<br />
<br />
On en parlais hier : {{m|bienvenue}}. Qu'en penses-tu ? <br />
<br />
Niveau signature, je mets la tienne par défaut, on chacun signe ? <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 28 avril 2010 à 10:05 (CEST)<br />
<br />
:Il est classe ce modèle. Le mieux est que chacun signe, ce serait bizarre autrement. Tu peux par contre ajouter une ligne avec l'information sur l'existence d'un animateur, et où le joindre. <br />
:Merci!<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 28 avril 2010 à 10:29 (CEST)<br />
:<br />
::Modèle modifié, documenté, [[Discussion utilisateur:BGlitters|apposé]] et tout et tout ! :-)<br />
::Pour passer vous voir, je pense le faire mardi prochain, avant d'aller rejoindre les Wikipédiens. C'est faisable ? Si oui, jusqu'à quelle heure ? <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup> 28 avril 2010 à 10:57 (CEST)<br />
<br />
:::Pour mardi, habituellement, Dweez part vers 18h. T'as moyen d'être là à partir de quelle heure ? <br />
:::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 28 avril 2010 à 13:47 (CEST)<br />
:::<br />
::::Je peux exceptionnellement quitter le boulot à 17h. Le temps d'arriver, 17h15. <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 28 avril 2010 à 14:12 (CEST)<br />
<br />
::::Ok, on fait comme ça. <br />
::::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 28 avril 2010 à 14:27 (CEST)<br />
<br />
== KML ==<br />
<br />
Salut !<br />
<br />
Non, je n'ai pas eu le temps de réfléchir au KML pour le moment. J4ai un peu ralenti mon activité Wiki-Rennes, faute de temps, mais j'ai toujours ça dan un coin de tête ! <br />
<br />
Je te tiens au courant dès qu'il y a du neuf. <br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 28 mai 2010 à 11:29 (CEST)<br />
<br />
== Carte photocopiée ==<br />
<br />
Bonjour<br />
<br />
Je passe te demander quelle est la "politique", la tienne, quand tu constates qu'un article est une copie partielle d'un site comme l'est [[carte subjective]]. C'est un vrai problème ces copies et j'aimerais savoir si je dois m'en soucier ou non, ne serait-ce qu'en vous le signalant des fois que vous seriez distrait.<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 8 juin 2010 à 17:26 (CEST)<br />
<br />
:Bonjour, <br />
:Sur ce cas précis, l'article a été écrit par la personne qui a réalisé la carte subjective à Rennes. Je l'avais sollicitée parce que c'est intéressant d'en avoir une trace sur le wiki. Il n'y a donc a priori pas de souci pour celui là, je vais quand même demander à la personne. <br />
:Sur d'autres cas, oui bien sûr, c'est bien de s'en soucier et de demander à l'auteur si on a un doute sur la paternité, ou l'autorisation d'utilisation du texte. <br />
:A bientôt,<br />
:Régis<br />
::Ah oui je vois.<br />
::Je me dis alors qu'on pourrait envisager de signaler ce genre de situation (celui de carte subjective) quelque part, et je ne vois pas où en dehors de la page de discussion de l'article. Je ne connais pas de personnes acharnées à traquer les copyvio en tout cas ici, mais ce serait plus propre pour le long terme d'indiquer cet aspect de l'article.<br />
::Bon ce n'est qu'une idée, il ne faudrait pas que son application alourdisse encore ces questions déjà bien ennuyeuses.<br />
::[[Utilisateur:TigH|TigH]] 8 juin 2010 à 18:01 (CEST)<br />
<br />
Salut ! Je vois que tu bosses, sans doute un peu en solitaire, alors je viens t'embêter vite fait.<br />
<br />
C'est le même problème que ci-dessus avec [[:Fichier:Couverture-guide-pratique-rennes-1965.jpg]]. Le même problème, à savoir que sur Wikipédia, même en ''fait use'' on ne peut pas utiliser ça et c'est bien regrettable, mais surtout que rien n'indique le statut de l'image et donc la possibilité d'utilisation ici (libre, autorisation exclusive obtenue, etc.) <br />
<br />
Le jour où tu voudras expliquer à quelqu'un que l'image qu'il a importée doit être supprimée tu apprécieras peut-être qu'il ne puisse pas te montrer ce cas-ci ''faute de précision'' pour te demander s'il n'y aurait pas deux poids deux mesures ou plus ample explication.<br />
<br />
Bon, on en est pas là, je te l'ai dit c'est pour t'embêter :)<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 19 juillet 2010 à 17:02 (CEST)<br />
<br />
----<br />
Message reçu - Bonne journée et bonne continuation dans le calme rennais ! [[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 juillet 2010 à 10:22 (CEST)<br />
<br />
== des photos en veux tu en voilà ==<br />
<br />
Salut Régis,<br />
<br />
La rentrée se rapproche ; je devrais être là un peu plus souvent.<br />
<br />
Est-ce réglé pour les photos ? <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 31 août 2010 à 18:47 (CEST)<br />
<br />
::Salut Trizek, <br />
<br />
::Content de te voir par ici ! :)<br />
<br />
::Oui, je pense que c'est réglé. En appliquant une catégorie aux images, on crée des galeries. Ca donne ça : [[:Catégorie:Galerie_photo]]. <br />
<br />
::Ce n'est pas l'idéal, il y a peut-être moyen de faire mieux...<br />
<br />
::A+<br />
<br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 1 septembre 2010 à 08:59 (CEST)<br />
<br />
== Participants à une Gay Pride - images ==<br />
<br />
Bonjour Régis<br />
<br />
Pour ne pas changer, je passe pour une question de droit. En effet, je viens de trouver ceci sur la politique Commons :<br />
<br />
<citation>Les photos de personnes prises dans un lieu public sont tout à fait licites dès lors que la photo représente un groupe personnes. C’est typiquement le cas d’une manifestation. Il faut toutefois éviter de prendre les personnes à leur insu (typiquement au téléobjectif), de cadrer des personnes précisément ou de révéler, par le biais de la photo, des informations sur la vie privée des sujets. Dans ce dernier cas, le corpus est représenté quasi-exclusivement, à ma connaissance, par des photos de personnes défilant dans une Gay Pride, hors premiers rangs. Pour le coup, nous avons un certain nombre de gros plans de la Gay Pride, mais seulement de personnes se signalant d’une manière ou d’une autre (port de pancarte, tenue de type drag queen, etc.).</citation> dans [http://fr.planet.wikimedia.org/] voir le 7 septembre 2010.<br />
<br />
En clair, si quelqu'un s'affiche aux premiers rangs d'une manif, pas de souci, c'est publique ; au contraire si la personne n'apparaît que dans les rangs des anonymes, elle peut s'offusquer de la publication de l'image et protester de son droit à l'image.<br />
<br />
Voilà, je trouve ça intéressant et comme on a quelques photos ici déjà, tu pourras voir au cas par cas l'éventualité de problèmes au moins théoriques.<br />
<br />
Bonne continuation. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 8 septembre 2010 à 21:07 (CEST)<br />
<br />
:Bonjour Tigh<br />
<br />
:C'est vrai que le droit à l'image dans ce genre de cas est assez clair. <br />
:Dans le cas présent, en allant sur la page de la Gay Pride, il faudrait supprimer les deux images de gauche, l'image tout à droite étant sujet à discussion (début de cortège ou non). <br />
:Tu serais donc pour que l'on enlève ces photos ? <br />
:Je vais déjà au préalable contacter directement la personne qui les a mis en ligne, on ne sait jamais, peut-être a t-il eu le réflexe de demander des autorisations. <br />
<br />
:Merci pour ta vigilance, <br />
:Bonne journée<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 9 septembre 2010 à 09:39 (CEST)<br />
::Bonjour Régis<br />
::En fait, je crois que je ne suis pas d'accord avec toi. Les deux photos de gauche ne montrent que des personnes qui assument, qui ont une position publique (elles tiennent un élément de la manifestation ; les femmes avec des poussettes n'ont l'air que de passantes...). Pour la photo de droite, je suis plus hésitant parce que je ne vois qu'une personne indubitablement reconnaissable (en bas à gauche) et donc il faudrait la supprimer rien que pour cette personne (mais d'un autre côté son intérêt est assez mince / ou alors on floute ou coupe l'image...).<br />
::Donc, pour autant que ça me regarde, on peut les garder. <br />
::Par contre et j'ai la flemme de la rechercher, il me semblait avoir vue au moins une photo plus problématique, justement avec des manifestants lambda mais très visibles. Enfin voilà, c'est ou c'était histoire de préciser ces questions sensibles. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 10 septembre 2010 à 13:36 (CEST)<br />
<br />
<br />
:::De l'interprétation du droit.. <br />
:::Quand même envie de creuser un peu le truc (par curiosité plus qu'autre chose), voir lesquelles sont acceptables, lesquelles non. <br />
:::Je te tiens au courant<br />
:::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 10 septembre 2010 à 16:33 (CEST)<br />
<br />
== INA ==<br />
<br />
Apparemment, vous avez trouvé ! Comment donc ? <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 13 janvier 2011 à 00:25 (CET)<br />
<br />
<br />
:Salut Trizek<br />
<br />
:En fait, Dweez s'est lancé sur le sujet, il est parti de l'extension [[Aide:Insérer une vidéo|videoflash]] qu'il a retravaillée et adaptée au code d'embed des vidéos du portail [http://www.ina.fr/fresques/ouest-en-memoire/Html/PrincipaleAccueil.php Ouest en mémoire]. Le boulot n'est pas complètement terminé, mais l'extension Vidéo INA pourra être reversée sur Mediawiki. :)<br />
<br />
== Vidéo de promotion du Wiki Rennes ==<br />
<br />
[[File:Galette saucisse 1.JPG|thumb|Miam, mais avec une certaine modération.]]<br />
Salut Régis,<br />
<br />
Je suis repassé par ici après avoir lu mon Ouest-France du jour ! Du coup, je viens de regarder la vidéo de promotion du Wiki Rennes. Sympa, pêchue, avec de vrais bouts de galette saucisse dedans.<br />
<br />
Par contre, aucune mention des auteurs des photos, comme l'exige la licence Creative Commons en BY-SA, licence mentionnée sur la vidéo ! Là, c'est moins cool. Ça n'est pas Wikimédia Commons qui a pris la photo, [http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Galette_saucisse_1.JPG mais moi]. Une brève apparition de la liste des auteurs dans la vidéo serait donc non seulement bienvenue, mais, de par la licence, indispensable et obligatoire. <br />
<br />
Est-il possible d'y remédier ?<br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 18 janvier 2011 à 16:45 (CET)<br />
<br />
:Hello<br />
<br />
:Pour la vidéo, oui je vais voir s'il est possible de rajouter chaque nom, pas dans la vidéo, mais à la fin. Je me suis posé la question rapport à la présence de nombreuses photos sur un clip aussi court. <br />
:Le truc c'est que l'on est sur une vidéo qui dure 50 secondes, avec de nombreuses photos. Il aurait fallu un générique d'une dizaine de secondes... En attendant, je peux aussi créer un article sur le Wiki reprenant les crédits de chacune de ces images. <br />
<br />
:Qu'en penses-tu ? <br />
<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 18 janvier 2011 à 16:52 (CET)<br />
<br />
::Les noms des photographes sont déjà ajoutés sur la page de Vimeo : http://www.vimeo.com/17757596, en attendant de les mettre dans la vidéo directement. <br />
::++--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 18 janvier 2011 à 17:23 (CET)<br />
<br />
:::Si tu places les auteurs dans l'ordre d'apparition des photos, mais sur une même page, c'est à mon avis bon (cf. Commons : [http://commons.wikimedia.org/wiki/Commons:R%C3%A9utilisation_de_contenu_hors_de_Wikimedia#CC-BY-SA Lors de la réutilisation ou de la distribution des œuvres, vous devez attribuer la paternité de l'œuvre à son ou à ses auteurs et vous devez mentionner les termes de la licence ou fournir un lien vers ceux-ci. Vous devez également placer votre version sous la même licence CC-BY-SA.]). L'essentiel, c'est que cela soit incorporé dans la vidéo : une ligne de plus avec les noms, entre Commons et la licence ira. Sachant comment cela se fait pour une vidéo, c'est assez rapide : le plus long sera l'export. <b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 18 janvier 2011 à 18:01 (CET)<br />
<br />
::::Ok, le truc c'est que je ne suis pas l'auteur de la vidéo. Il faut que j'arrive à voir avec lui. D'ici là, j'ai "ptêt" une idée. <br />
::::Merci<br />
::::Régis<br />
<br />
== sortie wikipédia sur rennes ==<br />
<br />
salut régis, une sortie de wipédia BRZH se prépare sur rennes :<br />
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Rencontres/Ouest/Rencontre_rennaise_26_mars_2011#Visite_de_Rennes<br />
<br />
cela pourrait être aussi une rencontre inter wiki non?<br />
--[[Utilisateur:Jonathaneo|Jonathaneo]] 1 mars 2011 à 09:47 (CET)<br />
<br />
:Salut Jonathaneo, <br />
<br />
:Oui tout à fait, nous rencontrons régulièrement avec quelques wikipédiens membres de Wikipedia France, dont certains sont actifs sur le Wiki-Rennes. <br />
:Cette sortie peut effectivement être l'occasion d'une rencontre. <br />
<br />
:Ce sera avec qui à l'Office de Tourisme et pour Wikipedia ? <br />
<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 1 mars 2011 à 09:50 (CET)<br />
<br />
::edit : en lisant un plus la page, je vois que connais déjà pas mal de monde. Je suis moi même inscrit à Wikimedia, et donc à la NCO, sa mail-list, etc.. ;)<br />
<br />
== Saint sauveur ==<br />
<br />
Non cherche pas trop le rapport... C'est pour te dire merci pour ton intervention sur la rue Marcel Callo. Ne comprenant rien et craignant un dérapage involontaire, j'ai préféré solliciter ma patience en comptant sur toi. Je n'ai pas eu à te solliciter, donc c'est tout bon. D'autant que je viens de me faire un peu mal au dos et que je préfère d'autant plus les trucs positifs et gratifiants.<br />
<br />
Bonne journée. <br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 28 mars 2011 à 12:31 (CEST)<br />
<br />
== Invitation ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
A l'occasion du [[Roger Blond|1000 ème article]], publié le mercredi 1er juin, nous vous invitons à la réception offerte à le mercredi 15 juin 2011, 12 heures, à La Cantine Numérique Rennaise<br />
(Les Champs Libres / entrée boulevard Magenta). <br />
<br />
Vous trouverez l'invitation en cliquant sur ce [http://www.wiki-rennes.fr/wikidocs/invitation_1000articles.pdf lien].<br />
<br />
Bien cordialement, <br />
<br />
Régis<br />
:Ben tu as raison de t'inviter ! Tu prendras un verre pour tous les messages que tu te coltines !.<br />
:Sérieux maintenant, j'espère te voir à la Cantine demain mercredi si je ne traîne pas trop aux AD35 et toi un peu ... En guise d'avant-goût, je remarque qu'il faudrait mieux parler des mille premiers articles et non comme dans l'invitation ci-dessus du ''millième article''. Le résultat est certes le même, mais moi qui évite de donner dans la culture du chiffre sur Wikipédia, je suis tombé dedans ici et je n'en suis pas vraiment fier maintenant. J'aurais préféré que ça tombe naturellement sur le WikiRennais "pur et dur" que nous avons vu aux 10 ans.<br />
:[[Utilisateur:TigH|TigH]] 7 juin 2011 à 19:22 (CEST) [NB : AD35 = Archives départementales d'I&V.]<br />
::Bonjour Régis,<br />
je suis désolé mais je ne pourrais pas aller à la réception car j'habite trop loin et il m'est impossible de se déplacer ce jour là. A bientôt, [[Utilisateur:Jereemy|Jereemy]] 8 juin 2011 à 15:44 (CEST)<br />
<br />
----<br />
<br />
Bonjour régis - tu vois que je suis encore là : je prends mon courage à deux mains et j'essaye d'arriver jusqu'à la Cantine. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 15 juin 2011 à 11:10 (CEST)<br />
<br />
== Encyclopédie ? ==<br />
<br />
Bonjour Régis<br />
<br />
Veux-tu passer sur ma page, pour un désaccord de fond ?<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 9 juin 2011 à 23:01 (CEST)<br />
<br />
== test ==<br />
<br />
hello<br />
<br />
== 100 pour 100 wiki ==<br />
<br />
{{sourire}}<br />
Bonnes nouvelles alors !<br />
<br />
Au cas où..., je viens répondre ici pour le point suivant : si on considère que les contributeurs-rédacteurs habitués sont (ou doivent être) les premiers régulateurs-encadreurs des contributions de ceux qui font le choix de rester comme IP, il importe que ceux-ci soient assez nombreux devant leur ordinateur, au moins pour signaler les "soucis". Ils sont aussi là pour passionner éventuellement le nouveau (IP ou pas) et l'amener à un peu plus d'investissement, même s'il ne faut pas en faire trop ni en attendre davantage. Ton rôle selon moi est de superviser ces interactions, et seulement en deuxième temps ou deuxième plan tu dois toi-même faire ce que les habitués n'ont pu faire comme par un blanc dans la vigilance (tu devras par exemple passer toutes tes nuits devant ton écran, c'est rien :) ). Il faut imaginer une intense activité et une ou deux personnes ne peuvent avoir l'oeil à tout sans épuisement très rapide. D'ailleurs, parenthèse, le vandalisme a déjà marqué ''son premier point'' ici par un blanchiment inaperçu de 10 jours de l'article [[Rennes]], pas le moindre. La mesure d'un vandalisme c'est sa durée, non son ampleur en termes de contributions négatives (donc en termes d'heures payées à les annuler).<br />
<br />
Voilà un petit préalable personnel en rapport avec le test que tu évoques. J'aimerais en être et il faudrait que Stephanus en soit (même passivement). Donc parlant de moi, mon calendrier est très perturbé cette année, mais quand même sans savoir ce que vous envisagez, je préfère t'indiquer que je prévois un gros mois de septembre hors ligne. L'automne avec le raccourcissement des jours me semblerait d'ailleurs une bonne époque pour passer cette (légère) montée en puissance du wiki dans les conditions de participation optimales (le beau temps éloigne des ordis, le froid crispe les réactions et calme les passions...).<br />
<br />
Je suis content de cette possible ouverture qui sans apporter d'avantages patents mettrait le projet en accord avec les profonds ressorts d'un wiki de création de contenu et surtout avec la volonté de transparence (ouvertures des données publiques) et le courage affiché/démontré par la Ville de Rennes depuis des mois.<br />
<br />
Bonne nouvelle. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 27 juin 2011 à 16:51 (CEST)<br />
<br />
<br />
:Tu touches le point crucial, la modération Versus la fameuse masse critique. <br />
<br />
:Ouvrir aux Ips veut dire ne plus lâcher le site plus de quelques heures. J'étais ravi de voir que le gentil vandale du vendredi 18 juin avait attaqué à 20h10, quand le même jour à 21h00 je partais en vacances, loin de toute connection Internet. <br />
<br />
:Avec un accroissement du nombre de contributeurs régulier, les données du problème changent, on est d'accord. <br />
<br />
:L'automne me semble une bonne période pour ce test en tout cas. <br />
<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 27 juin 2011 à 17:36 (CEST)<br />
::Bien reçu. Vu ainsi je comprends ton appréhension. Je crois pour ma part que ce changement des droits bouge "toutes les lignes"... Toutes ! Pour te dire à quel point, il faut penser qu'un vandale devienne ensuite contributeur (ne me demande pas pourquoi ou comment). Ce serait donc plus une ''alchimie'' qu'un problème de forces, plus d'intérêt à participer que de police. Le jour où tu fais l'annonce de l'ouverture tu as les vandales qui arrivent ok mais ceux qui ont mis du contenu aussi ; le truc c'est que les premiers soient dégoutés (réactivité) ou déçu (apathie du site) et que les seconds aient une motivation plus riche, ne plus se soucier uniquement de son petit contenu perso mais de la tenue en ligne de l'ensemble... Et pareil dans d'autres circonstances.<br />
::Je bavarde, je bavarde... [[Utilisateur:TigH|TigH]] 27 juin 2011 à 17:59 (CEST)<br />
<br />
== Welcome back ! ==<br />
<br />
Merci ! Je suis à nouveau rennais et pour un moment, car j'ai le plaisir de travailler à partir de la fin du mois à l'espace des sciences. <br />
<br />
J'en profite : fait-on une réclame aux rennais à propos de Wiki loves Monuments ? 84 à chasser en ville...<br />
<br />
<b>[[Utilisateur:Trizek|Trizek]] </b><sup><small>[[Discussion Utilisateur:Trizek|bla]]</small></sup>&nbsp; 16 septembre 2011 à 21:53 (CEST)<br />
<br />
== question pour toi ==<br />
<br />
Hello, <br />
<br />
Je te laisse répondre et/ou modifier ? <br />
[[Discussion:Braderie des Sacrés-Cœurs 2010]]<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 24 novembre 2011 à 11:13 (CET)<br />
:C'est corrigé. Merci de me l'avoir signalé. [[Utilisateur:Pymouss|Pymouss]] <small>|[[Discussion Utilisateur:Pymouss|Parlons-en]]|</small> 24 novembre 2011 à 18:01 (CET)<br />
<br />
==Nouveau==<br />
Il est peu probable que je passe ici souvent, je viens de m'inscrire sur plusieurs wikis de territoire (Manche et pasdeCalais). Je visite Rennes de temps en temps. A plus tard.--[[Utilisateur:Macassar|Macassar]] 1 décembre 2011 à 13:47 (CET)<br />
:Je viens de corriger un lien vers wp. Les villes s'écrivent avec trait d'union, genre Sainte-Ménéaulde-les-pins.--[[Utilisateur:Macassar|Macassar]] 9 décembre 2011 à 14:57 (CET)<br />
::entre temps j'ai vu d'autres dessins. Pour les categ il n'y a qu'une catégorie de personnalités pour les Rennais. Une personna Coureur cycliste ne descend pas actuellement de personnalités, c'est dommage il me semble.--[[Utilisateur:Macassar|Macassar]] 9 décembre 2011 à 15:20 (CET)<br />
<br />
<br />
==Bloavezh mat==<br />
<br />
Merci pour les vœux. Et donc, pour changer un peu, '''''Bloavezh Mat''''' pour le'' webmaster'', tous les collègues et le Wiki.<br />
<br />
Vous l'avez vu, j'ai en gros terminé (quitte à fignoler quelques détails) ce que je m'estimais capable de faire sur Villejean : je laisse la partie Beauregard aux petits camarades de là-bas, en espérant qu'ils décident de s'y mettre. Reste la question des images, sur laquelle je suis nigaud : il faudra qu'on en reparle (ou que je passe un mercredi)…<br />
<br />
[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 5 janvier 2012 à 16:51 (CET)<br />
<br />
== Deux remarques ==<br />
<br />
Salut,<br />
<br />
Encore une contribution aujourd'hui (pour un peu, je deviendrais un contributeur régulier :D ), qui m'amène à deux remarques :<br />
* est-ce moi ou bien les liens disparaissent quand ils sont utilisés dans la balise ''ref'' ? Dans le doute, j'ai retiré les liens des refs de [[Parc de Maurepas]] (les liens étant soit déjà présent dans l'article, soit rouge ; mais c'est pas vraiment pérenne comme solution).<br />
* Vu que j'ajoute régulièrement des liens, je tombe tout aussi régulièrement sur [[MediaWiki:Captcha-addurl]]. Ne serait-il pas possible de ''whitelister'' certains sites ? (en l'occurrence, j'ajoute quasiment toujours les mêmes : le site des archives et celui de Gallica pour le Ouest-Éclair).<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 20 février 2012 à 18:20 (CET)<br />
:* Bizarre, moi je ne vois pas les liens [http://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Parc_de_Maurepas&oldid=17345 exemple] (ni sur Firefox, ni sur Opera, ni sur Chromium, le tout sous Ubuntu 10.10 ; et ce que je sois connecté ou non). Pour la référence numéro 5, je lis : « Rapport de Monsieur Le Maire, , 31 juillet 1936 ».<br />
:* Je ne suis pas spécialiste de Mediawiki, mais il se peut que cela se passe là : MediaWiki:Captcha-addurl-whitelist. Je demanderais confirmation aux autres ce soir.<br />
:Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 21 février 2012 à 12:47 (CET)<br />
<br />
<br />
Encore à propos de l'église de l'Hermitage (je viens ici parce que c'est plus discret)… Il y aurait besoin d'une petite toilette typo-orthographique, mais j'hésite vu que c'est le texte de Mâme l'Adjointe… Dites-moi c'que faire, comme on dit en pays de Rennes. [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 9 mai 2012 à 17:53 (CEST)<br />
<br />
Suite : j'ai fait mon petit ménage… On n'attend plus que des images, dès que ce sera possible… [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 10 mai 2012 à 12:06 (CEST)<br />
<br />
==A propos de "Palm"==<br />
<br />
L'article [[Palm]] me suggère le petit texte ci-dessous, que je ne sais pas trop comment articuler avec l'autre : faut-il ouvrir une page d'homonymie ou peut-on faire autrement ? Régis, je vous confie le bébé…[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 6 septembre 2012 à 16:49 (CEST)<br />
<br />
'''Palm''' est un nom de famille rare mais connu à Rennes, notamment à travers''' André Palm''' (décédé en 1984) qui fut président de l'Association des Résidents de Villejean puis conseiller municipal socialiste au cours du premier mandat d'Edmond Hervé (1977-1983) ainsi que par sa femme '''Janine Palm''', également présidente de l'Association des Résidents de Villejean et également conseillère municipale (au titre du PSU) de 1983 à 1989.<br />
<br />
:Effectivement, ce serait intéressant de créer un article. Le mieux serait de créer un article titré ainsi : [[Famille Palm]]. <br />
:Qu'en pensez-vous ? <br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 6 septembre 2012 à 17:11 (CEST)<br />
::[[André Palm]] parce que ce n'est pas un nom du secteur.<br />
::Bonjour Régis, j'ai bien ramé ce matin pour importer deux malheureuses photos (il y a un bug). Tu peux supprimer ce qui est en double et non lié que je recommence ? Merci. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 6 septembre 2012 à 19:06 (CEST)<br />
:::Salut TigH, <br />
:::Un problème d'accent ou de caractères spéciaux dans le nom de l'image. Ce n'est pas normal, mais effectivement il y a un bug dont ne nous connaissons pas la provenance..<br />
:::Je m'occupe du ménage. <br />
:::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 6 septembre 2012 à 21:43 (CEST)<br />
:::::Non bien sûr - je parle parle d'un autre bug, mais je vais réessayer. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 7 septembre 2012 à 13:45 (CEST)<br />
::::Ce serait sans doute mieux un titre comme "[[Palm (nom de famille)]]" ; car ce serait dommage de mettre seulement "André Palm", Janine étant au moins aussi connue…[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 6 septembre 2012 à 22:48 (CEST)<br />
:::::Je ne suis pas d'accord : quand je proposais [[André Palm]] c'était aussi pour parler de sa femme, mais en relisant votre message, je vois qu'il fallait préférer [[André et Janine Palm]]. C'est sans importance, mais les personnalités ont droit à un titre propre et non un fourre-tout comme cela pourrait être nécessaire pour quantité d'autres noms.<br />
:::::Bonne continuation, bonne rentrée. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 7 septembre 2012 à 13:45 (CEST)<br />
<br />
== MediaWiki:Sidebar ==<br />
<br />
Salut,<br />
<br />
Il faudrait ajouter Laillé dans le liste des communes de [[MediaWiki:Sidebar]].<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 8 septembre 2012 à 18:34 (CEST)<br />
<br />
:ah oui c'est vrai, je m'en charge.<br />
:Merci<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 10 septembre 2012 à 09:01 (CEST)<br />
<br />
== Whitelist ==<br />
<br />
Salut,<br />
<br />
Idée de liens à ajouter sur [[MediaWiki:Captcha-addurl-whitelist]]; tous les sites wikimedias :<br />
<br />
<pre><br />
wikimedia\.org #dont commons.wikimedia.org<br />
wikisource\.org<br />
wiktionary\.org<br />
wikibooks\.org<br />
wikinews\.org<br />
wikiquote\.org<br />
wikiversity\.org<br />
</pre><br />
<br />
(bon les derniers ne seront pas forcément utile mais il n'y a pas non plus de raisons de demander un captcha pour ces sites)<br />
<br />
Il faudrait aussi remplacer :<br />
<br />
<pre><br />
archives.rennes\.fr<br />
</pre><br />
<br />
par<br />
<br />
<pre><br />
rennes\.fr #dont archives.rennes.fr ou metropole.rennes.fr<br />
</pre><br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 22 octobre 2012 à 16:55 (CEST)<br />
<br />
:Hello, <br />
:De biens bonnes idées que voilà, d'ailleurs je pourrais également mettre le Glad en passant. <br />
:Merci<br />
:++Régis<br />
::Merci beaucoup, maintenant je pourrais utiliser le [[modèle:Commons]] sans avoir à répondre à une question bizarre. Glad y était déjà.<br />
::[[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 23 octobre 2012 à 17:56 (CEST)<br />
<br />
== Téléverser mon fichier ==<br />
<br />
Bonjour Régis, ça va ?<br />
<br />
Pourrais-tu regarder ce qui peut m'empêcher de verser une image ?<br />
<br />
ça fait au moins cinq fois que j'essaie en laissant plusieurs semaines entre le premier et le dernier aujourd'hui. Une fois ou deux, "il" m'a dit qu'il était déjà présent mais la c'est possible que j'ai fait une erreur de nom, mais autrement après le dernier clic, ça semble aller puis au bout de qqs minutes (bas débit), je reviens à la page vierge de téléversement.<br />
<br />
Il est possible que la taille du fichier joue mais je n'ai pas de message d'erreur (case ignorer non cochée). 2,6 Mo.<br />
<br />
Je pourrais tenter avec un autre, mais ça commence à me gonfler sérieux :)<br />
<br />
Bonne semaine !<br />
<br />
Hervé<br />
<br />
:Bonjour Hervé,<br />
<br />
:Ca va bien oui, ça fait plaisir de te revoir par ici. <br />
:Pour ton image, je dirais à première vue : la taille de l'image. Avec 2,6mo, ça ne passe pas. Il faut théoriquement mettre l'image dans un format <200 ko, jusque 500ko ça passe (en cochant la case "ignorer les avertissement), plus lourd ça ne fonctionne pas. <br />
:Je vais faire le test de mon côté avec un fichier plus lourd, voir ce qui se passe : rapport à l'absence de message d'erreur. <br />
<br />
:Bonne semaine <br />
<br />
:--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 29 octobre 2012 à 11:48 (CET)<br />
::Entendu, mais il me semble avoir passé des images largement supérieure à un méga : là je ne voulais pas descendre trop bas parce qu'il y a des tags sur la façade...<br />
::Oui merci d'examiner ça parce que ce n'est pas normal de revenir à la page de départ sans rien y comprendre. <br />
::Crois bien que je regrette de ne pouvoir participer bien davantage (étant déjà à peine assez disponible déjà sur Wikipédia...) [[Utilisateur:TigH|TigH]] 29 octobre 2012 à 18:28 (CET)<br />
<br />
==Au revoir et merci==<br />
<br />
Je découvre ce matin, un peu par hasard, le message de prise de congé de fin novembre…<br />
Alors, Bloavezh mat quand même de toutes les manières ! Bonne continuation et merci pour le travail fait ! [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] 1 janvier 2013 à 11:20 (CET)<br />
<br />
<br />
----<br />
Bah moi aussi ! Quelle (mauvaise) surprise !<br />
<br />
C'est intrigué et ennuyé par la durée de ton absence que j'ai fini par creuser la question puis par trouver ton annonce du 22/11 ! Ce n'est pas la peine de passer vingt fois la semaine sur les modifs récentes pour rater celui-là !<br />
<br />
Et ça fait déjà trois ans donc ! Je savais dès le départ que rien n'est certain dans ce genre de projet, mais passé la première année, je t'avais positivement identifié au Wiki. Je suis donc carrément triste de cette rupture que j'apprends brutalement. Nous nous sommes entraperçus aux Lices il y a peu : si j'avais su, j'aurais aimé te parler, te remercier d'un mot et te souhaiter bon vent !<br />
<br />
Je crois que Wiki-Rennes a eu une grande chance de commencer avec toi. Il y a ce que j'ai pu voir derrière mon écran et que j'ai pleinement apprécié tant au plan des compétences qu'au plan des échanges. Je cherche vainement ce qu'il aurait été possible de faire mieux et crois-moi, ou demande aux Wikipédiens, ''c'est vraiment très rare'' que je ne sois pas fermement critique.<br />
<br />
Il y a aussi tout ce que je ne peux qu'imaginer, principalement en termes d'animation et de relations avec les Rennais. Tu n'as pas chômé je crois et tu as réussi à attirer sur le projet des contributeurs de diverses origines et ce n'est sûrement pas facile. Il y a juste, cela me revient maintenant, l'histoire des contributions anonymes que tu n'as pas fait aboutir, à tort je le penserai toujours. Tu n'es pas décideur de ce point de vue et on fera sans malheureusement ...<br />
<br />
Tu comprends que je regrette que tu ne sois pas au moins encore resté un an ou deux. Il suffit de penser aux nombreuses communes de Rennes Métropole, pour voir que tu aurais pu trouver à donner encore beaucoup de poids au Wiki.<br />
<br />
Bon, d'un autre côté, si c'est vrai que ça fait déjà trois ans, il est peut-être mieux pour toi de ne pas t'installer dans la routine et en même temps pour le projet de bénéficier d'un nouveau souffle. Il faut positiver !<br />
<br />
Voilà, la période s'y prête, je te souhaite de continuer à t'exprimer aussi bien dans tes investissements à venir ; que la chance et la grâce que tu as eu de mettre au monde ce site t'accompagne.<br />
<br />
Merci ! {{sourire}}<br />
<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 22 janvier 2013 à 16:59 (CET)<br />
--[[Utilisateur:Pgautl|JPL]] ([[Discussion utilisateur:Pgautl|discussion]]) 18 mars 2014 à 16:20 (CET)<br />
Bonjour<br />
J'administre le site memoiredeguerre et je contribue avec un groupe de personnes à la réalisation d'un DVD sur la Résistance en Ille-et-Vilaine. Je viens de découvrir la la photo de Prosper Chubert que vous avez mise en copyright. Pouvez-vous m'autoriser à la mettre sur nos deux bases? <br />
je vous remercie</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Herminie_Prod%27homme&diff=29452Rue Herminie Prod'homme2014-03-14T18:39:34Z<p>Pgautl : Ajout d'une vignette et corrections de quelques erreurs sur les majuscules+ corrections sur le SOE+ liens WP+ plan de quartier</p>
<hr />
<div><br />
La rue Herminie Prod'homme a été dénommée par la délibération du conseil municipal du 2 mai 1995. Cette rue se situe dans le quartier 9 : Cleunay - Arsenal - Redon.<br />
<br />
== Biographie de Herminie Prod'homme, résistante déportée<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==<br />
[[Fichier:Prodomme-herminie.jpg| right]]<br />
<br />
Herminie, Joséphine, Eugénie Prod'homme est née le 11 avril 1887, à Servon-sur-Vilaine, dans une famille de meuniers.<br />
<br />
Herminie Prod'homme fait ses études au pensionnat de l’Institution Religieuse de La Sagesse.<br />
<br />
Le 8 janvier 1907, elle épouse, Ludovic Hirbec, lui aussi minotier à Carfantan près de Dol-de-Bretagne et ont bientôt trois enfants. Après son divorce, elle reste seule avec deux enfants à charge (le troisième étant décédé) et reprend son nom de jeune fille. Elle créée une bonneterie, rue Nationale à Rennes et achète un appartement au 1, boulevard Magenta.<br />
<br />
Dès le début 1941, quand elle s'engage dans la clandestinité, sous le pseudo "Herminie", elle crée les bases d'une organisation aux côtés, entre autres, des frères Normand et d'André Ménard, avec plusieurs objectifs : récupération d'armes et de munitions abandonnées pendant la débâcle, la diffusion de la propagande gaulliste, ainsi que la formation de groupes d'actions et surtout chercher un contact avec Londres. C'est en novembre 1941 qu'elle rentre en contact avec le Réseau Overcloud.<br />
<br />
Membre avec Pierre Morel, Robert Tiercery et Bernard Dubois, du réseau de renseignements "Marathon", elle transforme son domicile du 1, boulevard Magenta en poste avancé de la France de Londres en territoire occupé, et participe à de nombreuses opérations périlleuses. Malgré la perte de nombreux camarades, elle continue la lutte.<br />
<br />
Pour mettre en place des groupes de sabotage, de guérilla et parachuter du matériel de destruction, dans les pays occupés proches du Royaume-Unis, il est décidé en 1940, à Londres, de créer la S.O.E., {{w|Special Operations Executive}}. La section "France" est confiée au Major {{w|Maurice Buckmaster}} et en juin 1943, le capitaine {{w|François Vallée}}, sous le pseudonyme d'"Oscar", devenu chef du réseau "Oscar-Buckmaster", pour la Bretagne, est parachuté en France et entre en contact avec "Herminie".<br />
<br />
D'un commun accord, toutes les activités sont dirigées par François Vallée : équipement en armement et matériel de sabotage des groupes de résistance du département, instruction de ces groupes, transmission de renseignements à Londres, aide aux réfractaires au S.T.O., {{w|Service du Travail Obligatoire}}, évacuation vers l'Angleterre d'aviateurs tombés sur le sol Français…<br />
<br />
Entre novembre 1943 et Janvier 1944, les arrestations se succèdent décimant presque entièrement le Réseau : la famille Nobilet, Louis Moine, Famille Blanchet et Veillard, etc.<br />
<br />
C'est en novembre 43 qu'Herminie Prod'homme est arrêtée, elle réussit par son courage et son abnégation, à prévenir et permettre l'évasion de {{w|François Vallée]], le chef du réseau, ainsi que celle de son secrétaire, Yves Hamon.<br />
<br />
Torturée, en dépit de tout respect des droits de l'homme, elle n'avoue rien. Consciente de la dangerosité extrême de son engagement elle avait pris ses dispositions en cas de malheur, ce qui explique en partie pourquoi elle officiait en qualité d'agent P2, ce qui correspond au grade de chef. Ainsi, lors de son arrestation, elle trouve le moyen de faire disparaître tous les documents compromettant en sa possession, sans que la Gestapo ne puisse s'en emparer. <br />
<br />
Après d'atroces souffrances, elle est déportée au camp de {{w|Ravensbrück}}, en Allemagne, où elle décède le 24 Février 1945.<br />
<br />
Elle est honorée d'une citation à l'ordre de la division, à titre posthume. Le 11 janvier 1946, à Rennes, le général Allard, commandant de la XIe Région Militaire, déclare qu'un tel hommage lui est rendu "pour avoir fait de son domicile le poste de commandement et pour avoir assuré de sa personne les liaisons avec l'extérieur. Lors de l'arrivée nocturne de la Gestapo, a laissé enfoncer sa porte pour avoir le temps de brûler les archives. Malgré les tortures n'a livré aucun secret." <br />
<br />
Elle est, par ailleurs, citée dans l'ordre de la Légion d'Honneur par décret du 25 septembre 1946.<br />
{{#display_points: rue Herminie Prod'homme,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|P]]<br />
<br />
[[Catégorie:Voie portant un nom de femme|P]]<br />
<br />
== Note et références == <br />
<br />
<references/></div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Prodomme-herminie.jpg&diff=29449Fichier:Prodomme-herminie.jpg2014-03-14T18:04:58Z<p>Pgautl : Connue sous le surnom d'"Anne de Bretagne". Membre du réseau Buckmaster, elle hébergeait à son domicile des agents du réseau et des parachutistes anglais et américains envoyés en mission dans l'Ouest de la France pour le compte de la Résistance,...</p>
<hr />
<div>== Description ==<br />
Connue sous le surnom d'"Anne de Bretagne". Membre du réseau Buckmaster, elle hébergeait à son domicile des agents du réseau et des parachutistes anglais et américains envoyés en mission dans l'Ouest de la France pour le compte de la Résistance, elle est arrêtée le 29 août 1943 1 boulevard Magenta à Rennes par la Gestapo, elle a été déportée de Paris, gare de l’Est vers Sarrebruck (camp de Neue Bremm) le 12 juin 1944. (Matricule 43157). Elle décède 24 février 1945 à Ravensbrück. Chevalier de la Légion d'Honneur<br />
== Conditions d'utilisation ==<br />
{{CC-BY-NC-SA}}</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29041Lycée Charles Tillon2014-02-11T13:35:24Z<p>Pgautl : compléments sur les collégiens arrêtés pendant l'Occupation</p>
<hr />
<div> <br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique (A cette époque il fallait passer un concours pour entrer en 6eme, le nombre de places étant limité à quarante élèves par classe. Dès l'âge de onze ans, les élèves apprenaient, huit heures par semaine, à forger, à limer le fer et à travailler le bois tout au long de l'année scolaire), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial. (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat; quatre industriels: étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
===Période de la Seconde guerre mondiale===<br />
<br />
Un groupe de six collégiens participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur. Début mars 1942, ils sont arrêtés par la Gestapo, internés à la prison Jacques Cartier, puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté le 4 juin 1942 en application du décret "{{w|Nacht und Nabel}}" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS {{w|Hinzert}} en Rhénanie. Allemagne. Le plus jeune avait quinze ans. Quatre sont morts dans les camps: Pascal Lafaye, Michel Goltais, Yves Lemoigne et Jacques Terrière, les deux autres: Guy Faisant et Gilbert Anquetil reviendront très affaiblis en mai 1945.<br />
Une plaque commémorative se trouve sous le préau de la cour pour honorer leur mémoire. <br />
<br />
== Charles Tillon ==<br />
<br />
(né à Rennes en 1897- mort le 13 Janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né à Rennes [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entraînent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (Juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint Malo.<br />
<br />
[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|250px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]]<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 Janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La Bouexière.<br />
<br />
En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
<br />
<br />
----<br />
<br />
===Référence===<br />
<references><br />
Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29040Lycée Charles Tillon2014-02-11T12:52:57Z<p>Pgautl : correction de petites fautes de frappe et ajout d'une catégorie</p>
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<div> <br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire général de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique( A cette époque il fallait passer un concours pour y entrer), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
<br />
<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial. (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient au CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat; quatre industriels: étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
<br />
== Charles Tillon ==<br />
<br />
(né à Rennes en 1897- mort le 13 Janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né à Rennes [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entrainent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 Juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (Juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 Janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint Malo.<br />
<br />
[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|250px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]]<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 Janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La Bouexière.<br />
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En 1994, le conseil municipal de Rennes décide de renommer l'avenue d'Ile-de-France en [[Avenue Charles Tillon]].<br />
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===Référence===<br />
<references><br />
Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]<br />
[[Catégorie:Enseignement secondaire]]<br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Lyc%C3%A9e_Charles_Tillon&diff=29035Lycée Charles Tillon2014-02-11T09:44:04Z<p>Pgautl : Compléments d'informations</p>
<hr />
<div> <br />
Avant la construction de cette école, une école d'apprentissage est créée par décision du conseil municipal le 20 octobre 1882 avec un cours supérieur et une école manuelle d'apprentissage annexés à l'école primaire de la rue d'Échange, près de la place Sainte-Anne. Ouverte en septembre 1885 avec dix spécialités (forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, tours sur bois, découpage, modelage), la scolarité était de trois ans avec quinze jours de vacances par an..<ref>AMR R 30</ref> <ref>Rennes sous la IIIe République; Cahiers d'Édmond Vadot secrétaire génral de la ville de 1885 à 1909. Presses Universitaires de Rennes</REF><br />
<br />
En 1891 l'école de Rennes devient École pratique de l'enseignement général. En 1894, elle avait 43 élèves, 71 en 1897. Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1898, les bâtiments furent détruits par un incendie.<ref>AMR 1 D 74</ref>.<br />
On décida d'en profiter pour la reconstruire sur un terrain plus accessible et plus vaste <br />
à l'angle de l'actuelle [[Avenue Sergent Maginot]], alors rue du Gué de Baud, et du [[Boulevard Laënnec]].<br />
<br />
Après un avant-projet de 1898 les travaux furent réalisés de 1900 à 1904 par l'architecte de la ville [[Emmanuel Le Ray]].<br />
Malgré la simplicité des moyens employés, la composition des façades sur le boulevard, avec les deux pavillons encadrant le bâtiment central, témoigne d'un réel souci d'élégance. <br />
C'est un bel emploi du schiste violet de Pont-Réan, très décoratif, avec des décors de briques rouges, l'ensemble complété par des rehauts de pierre blanche.<br />
Sur quatre médaillons encadrés de cabochons on peut lire : "Menuiserie – serrurerie – ajustage – mécanique".<br />
<br />
Au centre un médaillon aux armes de la ville de Rennes.<br />
Vite devenue trop petite, « l'Indus » (ainsi appelait-on l'établissement réputé) a été agrandie, les travaux étant terminés en décembre 1937.<br />
<br />
Après 1945 l'école connaît un grand développement comme tous les établissements scolaires. Première nouveauté, vers 1948, trois filles entrent à l'école d'Industrie pour y préparer un CAP comptabilité<br />
<br />
Quelques années plus tard, l'école eut d'autres appellations: Collège technique( A cette époque il fallait passer un concours pour y entrer), puis Lycée technique dans les années 1956. <br />
<br />
Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie, électricité et secrétariat commercial et comptabilité. (Années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à des CAP, au brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique.<br />
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<br />
Cette école a eu plusieurs appellations: École d'Industrie, Collège technique, puis Lycée technique dans les années 1956. Plusieurs spécialités étaient enseignées: forge, serrurerie, ajustage, tours sur métaux, mécanique, menuiserie, ébénisterie et électricité et commercial. (années 1945 à 1960). Les différentes sections préparaient à un CAP, un brevet industriel et au baccalauréat mathématique et technique<br />
<br />
Dans les années 1954, il y a eu une extension : un site boulevard Laënnec, l'autre rue Bertrand Robidou. L'enseignement se divise en six secteurs : deux tertiaires : comptabilité et secrétariat; quatre industriels: étude des définitions de la production industrielle (ex: dessin technique), les systèmes électroniques numériques avec deux options (audiovisuel, electro industrielle embarquée), micro technique : fabrication de pièces miniaturisées et techniques d'usinage.<br />
<br />
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== Charles Tillon ==<br />
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(né à Rennes en 1897- mort le 13 Janvier 1993 à Marseille)<br />
<br />
Il est né à Rennes [[rue de Saint Malo]] où ses parents tenaient un débit de boissons. C'était l'époque où il y avait en France un bistrot pour 80 habitants. Les faubourgs de Saint Malo, de Brest et Rennes respectaient largement ce nombre.<br />
<br />
A Rennes il a été élève à l'école primaire de la [[Rue d'Echange]] puis de l'Ecole d'Industrie du Boulevard Laënnec. Il se plaisait à dire qu'il devait tout à la formation reçue dans ces deux écoles.<br />
<br />
Vient l'époque de l'insurrection communiste en Russie. Il était matelot dans la marine nationale et en 1919 son bateau est envoyé en Mer Noire pour venir en aide aux « Blancs » et chasser les « Rouges ». Il est alors le meneur d'une mutinerie qui lui vaut une condamnation à cinq ans de bagne (Toulon puis le Maroc). Les terribles conditions de sa détention entrainent son rapatriement en France.<br />
<br />
En 1920 à la suite de son action en Mer Noire, sur décision de Lénine, il est considéré comme membre de la IIIème Internationale communiste.<br />
Il adhère au P.C.F en 1921. Permanent régional des syndicats CGTU à partir de 1924, il anime notamment en 1925 la grande grève des sardinières du Sud-Finistère. De cette date à 1940 il gravit les échelons du Parti communiste, devient député d'Aubervilliers. A plusieurs reprises il est condamné à la prison pour organisation de grèves et rébellions aux forces de l'ordre. <br />
<br />
De 1940 à 1944 c'est la Résistance. Le 17 Juin 1940 il est à Bordeaux quand Pétain dut cesser le combat. Ce même jour, Charles Tillon lance son appel « Le peuple français ne veut pas de l'esclavage, de la misère, du fascisme, pas plus qu'il n'a voulu la guerre des capitalistes. » Et il invite tous les français à « s'unir dans l'action ». Il est à la base de la création des F.T.P (Francs Tireurs et Partisans).<br />
<br />
De 1944 à 1947 il est ministre : de l'Air, de l'Armement (novembre 1945), de la Reconstruction (Juin 1946). Il est l'auteur de la nationalisation de la SNECMA d'Air France et lance le projet de la Caravelle.<br />
Le 26 Janvier 1947 il pose la première pierre de la Reconstruction de Saint Malo.<br />
<br />
[[File:Secretariat clandestin PCF 1943.jpg|right|250px|thumb|Réunion clandestine du Parti Communiste Français à Longjumeau en 1943, Charles Tillon à droite]]<br />
<br />
<br />
De 1950 à 1952 il devient suspect aux yeux du Parti. Une enquête est instruite sur son compte et en 1951 il est écarté de la direction du PCF et « renvoyé à la base ».<br />
En 1957 quand le Parti veut le rétablir dans les « droits et devoirs » attachés à la qualité de membre du Parti, il refuse.<br />
<br />
La {{w|normalisation en Tchécoslovaquie}} envenime ses relations avec le PCF. Avec d'autres « écartés » en 1970 il écrit le manifeste ''Il n'est plus possible de se taire''. Ils dénoncent la politique stalinienne qui continue à sévir au PC. Il est exclu du parti.<br />
<br />
En 1975 il se retire à La Bouexière en Ille-et-Vilaine. Le 13 Janvier 1993 il décède à Marseille où il est honoré par des obsèques nationales. Il est enterré à La Bouexière.<br />
<br />
<br />
----<br />
<br />
===Référence===<br />
<references><br />
Transcription du document ''Quartier Alphonse Guérin, histoire du quartier, des noms de rues, des établissements scolaires et l'Histoire'' réalisé par Mr Besselas, habitant du quartier Alphonse Guérin.<br />
[[Catégorie:Enseignement et recherche]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Parc_des_Hautes-Ourmes&diff=28966Parc des Hautes-Ourmes2014-02-06T20:26:56Z<p>Pgautl : + lien externe</p>
<hr />
<div>Le '''parc des Hautes-Ourmes''' est un parc municipal situé à [[Rennes]] crée entre 1971 et 1976. Il est surnommé le « bois des Allemands » par les rennais depuis l’Occupation.<br />
<br />
On y trouve 1250 arbres sur 10100m² autour d’une grande clairière sur un terrain de 4,5 hectares.<br />
<br />
Le parc est situé entre le [[boulevard Léon Grimault]] et la [[rue de Vern]], une allée de chênes s’étend le long du groupe scolaire Léon Grimault jusqu’à l’entrée ouest [[avenue de Pologne]].<br />
<br />
Il est desservi par le métro, station [[La Poterie]] et les bus numéro 2 et 5, arrêts Lycée Descartes / [[rue de Vern]] et la Poterie.<br />
<br />
==Histoire==<br />
[[Fichier:Bois-allemands-665px.jpg|thumb|right|Plan allemand du cimetière]]<br />
<br />
Ce parc tient son nom d'une propriété privée, dite Hautes-Ourmes, qui lui préexistait. Mais en 1944, les Allemands réquisitionnent la propriété Hautes-Ourmes pour en faire un cimetière régional pour leurs soldats. Il était prévu pour 380 tombes et il devait pouvoir recevoir des transferts notamment du [[cimetière de l'Est]] (de Rennes). A la fin de la guerre, les tombes (plus de 1000 entre celles des Hautes-Ourmes et le [[cimetière de l'Est]]) ont continué à être maintenues par la ville.<br />
<br />
<br />
Mais le cimetière des Hautes-Ourmes était difficile à entretenir, il semble que certains corps aient été ramenés à la demande de leurs familles en Allemagne et d'autres transférés au cimetière allemand du {{w|Mont-d'Huisnes}} (Deutscher Soldatenfriedhof qui est tout près du Mont Saint-Michel) en 1961. Le terrain est ensuite racheté par la ville pour y construire un collège et y aménager un parc.<br />
== Notes et références ==<br />
<br />
*''Jardins en Bretagne'', Marie-Christine Biet, éditions connaissances des Jardins, 2000<br />
*''[http://pharouest.ac-rennes.fr/e350963G/bois.htm Un peu d'histoire sur le Collège des Hautes-Ourmes à Rennes]<br />
*[http://bastas.pagesperso-orange.fr/pga/photos-documents/bois-allemands.htm Le Bois des Allemands]<br />
<br />
[[Catégorie:Parc/jardin public]]<br />
[[Catégorie:Quartier 11 : Le Blosne]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Parc_des_Hautes-Ourmes&diff=28965Parc des Hautes-Ourmes2014-02-06T20:23:04Z<p>Pgautl : lien WP</p>
<hr />
<div>Le '''parc des Hautes-Ourmes''' est un parc municipal situé à [[Rennes]] crée entre 1971 et 1976. Il est surnommé le « bois des Allemands » par les rennais depuis l’Occupation.<br />
<br />
On y trouve 1250 arbres sur 10100m² autour d’une grande clairière sur un terrain de 4,5 hectares.<br />
<br />
Le parc est situé entre le [[boulevard Léon Grimault]] et la [[rue de Vern]], une allée de chênes s’étend le long du groupe scolaire Léon Grimault jusqu’à l’entrée ouest [[avenue de Pologne]].<br />
<br />
Il est desservi par le métro, station [[La Poterie]] et les bus numéro 2 et 5, arrêts Lycée Descartes / [[rue de Vern]] et la Poterie.<br />
<br />
==Histoire==<br />
[[Fichier:Bois-allemands-665px.jpg|thumb|right|Plan allemand du cimetière]]<br />
<br />
Ce parc tient son nom d'une propriété privée, dite Hautes-Ourmes, qui lui préexistait. Mais en 1944, les Allemands réquisitionnent la propriété Hautes-Ourmes pour en faire un cimetière régional pour leurs soldats. Il était prévu pour 380 tombes et il devait pouvoir recevoir des transferts notamment du [[cimetière de l'Est]] (de Rennes). A la fin de la guerre, les tombes (plus de 1000 entre celles des Hautes-Ourmes et le [[cimetière de l'Est]]) ont continué à être maintenues par la ville.<br />
<br />
<br />
Mais le cimetière des Hautes-Ourmes était difficile à entretenir, il semble que certains corps aient été ramenés à la demande de leurs familles en Allemagne et d'autres transférés au cimetière allemand du {{w|Mont-d'Huisnes}} (Deutscher Soldatenfriedhof qui est tout près du Mont Saint-Michel) en 1961. Le terrain est ensuite racheté par la ville pour y construire un collège et y aménager un parc.<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
*''Jardins en Bretagne'', Marie-Christine Biet, éditions connaissances des Jardins, 2000<br />
*''[http://pharouest.ac-rennes.fr/e350963G/bois.htm Un peu d'histoire sur le Collège des Hautes-Ourmes à Rennes]<br />
<br />
[[Catégorie:Parc/jardin public]]<br />
[[Catégorie:Quartier 11 : Le Blosne]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Eug%C3%A8ne_Allanic&diff=28961Eugène Allanic2014-02-06T18:00:29Z<p>Pgautl : reprise complète des informations</p>
<hr />
<div><br />
'''Eugène Allanic''', (1891- 1945). Résistant déporté. <br />
<br />
<br />
Fils d'un agent voyer (ancien nom des ingénieurs du service vicinal), Eugène Allanic est né au Bourg de Plouaret, où résidaient ses parents, le 13 juin 1891 à {{w|Plouaret}} dans les C^tes d'Armor.<br />
<br />
Le 6 janvier 1921, il épouse en secondes noces Marie de Raucourt à Bordeaux.<br />
A la fin de l'année 1936, il devient directeur de la laiterie de l'Hermitage qui appartient à l'époque à la Société Nantaise de biscuiterie Lefevre Utile. Rapidement, il donne une impulsion nouvelle à l'entreprise et modernise la collecte du lait ; les voitures à chevaux sont remplacées par des camions.<br />
<br />
En 1941, Eugène Allanic, qui n'a pas été mobilisé en raison de son âge, est contraint au retour aux voitures à chevaux, tout en conservant quelques camions équipés de gazogènes.<br />
Comme tout le monde, il doit se plier aux exigences des occupants, qui réquisitionnent l'usine pour assurer le ravitaillement de l'armée allemande. Les contrôles sont stricts et nombreux.<br />
<br />
Malgré cela, à partir du printemps de l'année 1943, la laiterie devient le refuge de nombreux réfractaires au travail obligatoire.<br />
C'est vraisemblablement à cette époque que M. Allanic entre dans la Résistance aux côtés du Docteur Dordain de Mordelles, qui appartenait au réseau «{{ w|Confrérie Notre-Dame Castille}}».<br />
Un groupe de résistance est créé à l'Hermitage, dont les activités sont diverses et nombreuses :<br />
<br />
- aide aux aviateurs alliés dont les appareils ont été abattus,<br />
- évasion vers la zone libre de prisonniers africains noirs employés comme manutentionnaires dans des entrepôts allemands à la Chevrie et à Rougeul,<br />
- fournitures de fausses cartes d'identité.<br />
<br />
Au fil du temps, la situation se précarisait. Le Docteur Dordain fut arrêté au début du mois de décembre 1943 par la Gestapo et mourut quelques jours plus tard dans sa cellule.<br />
<br />
Les activités du groupe de l'Hermitage furent alors suspendues et les choses se calmèrent, mais Eugène Allanic faisait également partie d'un groupe de résistants rennais, dont la majorité des membres fut arrêtée en février 1944 ; Eugène Allanic, qui n'était pas prévenu, fut « cueilli » le lendemain matin à son bureau, le 2 février 1944.<br />
<br />
Interné à la prison Jacques Cartier, il est déporté de Compiègne vers {{w|Neuengamme}} le 28 juillet 1944. Il décède à Ravensbrück le 14 mai 1945. {{w|Ravensbrück}}.<ref>http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.250.#ALLANIC</ref>.<ref>Source Mémoire de granit. Commission d'information historique pour la paix du département d'Ille-et-Vilaine p197<br />
C</ref><br />
<br />
<br />
Un monument a été érigé à sa mémoire, par souscription publique, à l'entrée du cimetilère de [[L'Hermitage]]. Une rue et une école élémentaire publique portent son nom à l'Hermitage.<br />
[[L'Hermitage]].<br />
<br />
==Lien externe==<br />
*Eugène Allanic sur [http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/biogr/allanic-eugene.htm Mémoiredeguerre]<br />
<br />
==Références==<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté|A]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Eug%C3%A8ne_Allanic&diff=28960Eugène Allanic2014-02-06T16:44:41Z<p>Pgautl : + 2 liens WP + modification des informations</p>
<hr />
<div><br />
'''Eugène Allanic''', né le 13 juin 1891 à Plouaret (22), fut directeur de la [[laiterie de L'Hermitage]] de 1935 à 1944. <br />
<br />
Il entre dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Arrêté le 2 février 1944 par la Gestapo, il est déporté de Compiègne vers {{w|Neuengamme}} le 28 juillet 1944. Il décède le 14 mai 1945 à {{w|Ravensbrück}}.<ref>http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.250.#ALLANIC</ref><br />
<br />
<br />
Une rue honore sa mémoire à [[L'Hermitage]].<br />
<br />
==Lien externe==<br />
*Eugène Allanic sur [http://www.memoiresdeguerre.com/article-allanic-eugene-49550878.html Mémoiredeguerre]<br />
<br />
==Références==<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté|A]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Marcel_Callo&diff=28954Rue Marcel Callo2014-02-06T16:30:15Z<p>Pgautl : + plan</p>
<hr />
<div>La [[rue Marcel Callo]] se situe dans le quartier Francisco Ferrer, elle relie la [[rue Langevin]] à l'ouest à la [[rue Francisco Ferrer]] à l'est.<br />
<br />
La rue, qui honore la mémoire du jeune Rennais, membre de la J.O.C. parti au S.T.O et mort au camp de concentration de Mauthausen, longe l'[[école Paul Langevin]] sur toute sa longueur. De son côté, l'[[école Marcel Callo]] se trouve [[rue de Dinan]] près de la [[rue Legraverend]].<br />
<br />
==Articles liés==<br />
<br />
*[[Marcel Callo]] <br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.093965" lon="-1.657128" zoom="18" width="525" height="325" overview="yes"><br />
48.094, -1.657546, Rue Marcel Callo<br />
</googlemap><br />
<br />
{{#display_points: rue Marcel callo,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Callo]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Marcel_Callo&diff=28952Marcel Callo2014-02-06T16:29:03Z<p>Pgautl : + 2 liens WP</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Personnalité (Histoire)]]<br />
<br />
[[Fichier:Marcel_callo.jpg|150px|right|thumb|Jociste convaincu, mort au S.T.0 à 24 ans]]<br />
<br />
'''Marcel Callo''' (6 décembre [[1921]] - 19 avril [[1945]]) est né à [[Rennes]], dans une famille nombreuse, ouvrière et catholique. Entré apprenti à l'imprimerie Simon, il devient ouvrier typographe. <br />
<br />
Il adhère en 1935 à la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) après avoir été scout. Il se fiance. Il est réquisitionné au titre du STO (Service du travail obligatoire) le 19 mars [[1943]]. Il est envoyé à {{w|Zella-Mehlis}}, en Thuringe où il continue l'action jociste. Il est arrêté le 19 avril [[1944]], emprisonné et déporté à {{w|Mauthausen}} le 24 octobre 1944 où il meurt d'épuisement le 19 avril [[1945]]. Il est béatifié en 1987 par le pape Jean-Paul II.<br />
<br />
Une [[rue Marcel Callo|rue]] et une [[École maternelle et primaire Marcel Callo|école]], [[rue de Dinan]], portent son nom à Rennes : la plaque gravée de l'entrée indique qu'il y a été élève de [[1927]] à [[1934]].<br />
<br />
== Lien externe==<br />
{{w|Marcel Callo}}</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Jules_Lallemand&diff=28949Rue Jules Lallemand2014-02-06T16:20:29Z<p>Pgautl : + 1 catégorie + plan + 2 références + 3 liens WP +compléments 'informations</p>
<hr />
<div>La '''rue Jules Lallemand''' est située dans le quartier de [[Cleunay]], entre le [[Boulevard de Cleunay|boulevard de Cleunay]] et le [[Boulevard de la Guérinais|boulevard de la Guérinais]].<br />
<br />
Ancien chemin rural n°77, cette artère a été dénommée le 13 avril 1953 puis le 16 juin 1984 pour sa partie ouest, au delà de la [[Rue André Trasbot|rue André Trasbot]].<br />
<br />
<br />
== Jules Lallemand ==<br />
[[Fichier:IMGP0144.JPG|200px|thumb|right|rue Jules Lallemand]]<br />
[[Fichier:lallemand.JPG|200px|thumb|right|rue Jules Lallemand]]<br />
Jules Lallemand résistant déporté, né le 3 mars 1898 à {{w|Francheval}} (Ardennes) et décédé à Saint-Blasien le 23 juin 1945 après la libération des camps.<br />
<br />
Pendant la guerre 1914 – 1918, il est dans l'infanterie à l'âge de 19 ans. Gazé en 1918, il est réformé 2 ans après. Entre les deux guerres, il part habiter à Dijon où il fut dessinateur. Il est ensuite nommé inspecteur du travail à Rennes à l'âge de 36 ans. <br />
<br />
Durant la guerre 1939-1945, il n'est pas mobilisé (car réformé).<br />
<br />
Membre de la Résistance intérieure, il est arrêté le 14 mars 1943 à Rennes, 10 rue de la Palestine, puis est déporté « NN » ({{w|Nuit et brouillard}}en allemand Nacht und Nebel) de Compiègne le 8 novembre 1943 vers Sarrebruck (Camp de {{w|Neue Bremm}}). (Matricule 28376). Autres lieux de déportation: Buchenwald et Natzweiler. Libéré des camps de concentration, il ne peut survivre aux terribles épreuves subies. Il est décède à l'âge de 47 ans.<ref>http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.151.#LALLEMAND</ref> <ref>mémoire de granit. Commission d'information historique pour la paix du département d'Ille-et-Vilaine page 78</ref><br />
<br />
À titre posthume, il reçoit une citation à l'ordre de la nation et la croix de chevalier de la Légion d'Honneur.<ref>Sources : ''[[Les gens de chez nous]] : notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay'', [[Bernard Fournier]],[http://sbib.si.leschampslibres.fr/search~S1*frf/?searchtype=t&searcharg=les+gens+de+chez+nous&searchscope=1&SORT=D&extended=0&SUBMIT=Chercher&searchlimits=&searchorigarg=aBernard+Fournier]</ref><br />
<br />
<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<br />
<references/><br />
<br />
==Sur la carte==<br />
<googlemap version="0.9" lat="48.100066" lon="-1.706014" zoom="15" width="450" height="325" overview="yes"><br />
48.100054, -1.707727<br />
Rue Jules Lallemand<br />
</googlemap><br />
<br />
<br />
{{#display_points: Rue Jules Lallemand,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
[[Catégorie: Voie de Rennes|L]]<br />
[[Résistant-déporté|L]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Honor%C3%A9_Commeurec&diff=28941Honoré Commeurec2014-02-06T15:51:18Z<p>Pgautl : ajout d'un plan</p>
<hr />
<div>'''Honoré François Commeurec'''<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> est né à Rennes le 12 décembre 1878. Il fonda une importante imprimerie coopérative ouvrière, [[rue de Nemours]], à Rennes ( ''Les Imprimeries Réunies''). Militant syndicaliste actif, il devint président de la chambre syndicale des ouvriers du Livre de Rennes et, à ce titre, protesta en [[1907]] contre l'application de la journée de 9 heures. Il fut conseiller municipal de 1908 à 1935. La guerre venue, non mobilisable, dirigeant au parti socialiste de Rennes, il entre dès [[1941]] au mouvement de résistance Libération-Nord et, dans son imprimerie, fabrique journaux, tracts et faux papiers.<br />
[[Fichier:Commeurec.jpg|150px|right|thumb|Honoré Commeurec, syndicaliste, ancien conseiller municipal et résistant]]<br />
Arrêté le 8 février 1944, il est transféré de la [[prison Jacques Cartier]] le 29 juin vers Compiègne d'où il est déporté au camp de concentration de Neuengamme et il meurt d'épuisement le 13 février [[1945]].<br />
<br />
[[Rue de Nemours]], une plaque est apposée à sa mémoire à l'emplacement des Imprimeries Réunies.<br />
<br />
En son honneur, la place des Halles Centrales fut renommée, par délibération du conseil municipal du 29 juillet 1949, '''''[[place Honoré Commeurec]]''''' (et non Commeureuc comme on la voit souvent orthographiée). Débouchant sur le [[boulevard Jean Mermoz]], la [[rue Honoré Commeurec]] est une des rues de la partie de la commune de [[Saint-Jacques-de-la-Lande]] qui "pénètre" dans le secteur sud-ouest de Rennes.<br />
<br />
<br />
{{#display_points: Place Honoré Commeurec,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/> <br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)]]<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Passage_Ren%C3%A9_Le_Herpeux&diff=28940Passage René Le Herpeux2014-02-06T15:46:43Z<p>Pgautl : Complément d'informations + références + lien WP</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|René Le Herpeux]]<br />
<br />
Le passage René le Herpeux est une voie piétonne couverte, axée nord-sud, sous un immeuble en barre courbe "résidence Saint-Hélier", construite en 1968, reliant la [[rue Saint-Hélier]], à hauteur du n° 76, à l'[[avenue des Français Libres]].<br />
<br />
Cette dénomination est en honneur de :<br />
<br />
<br />
===René, Alfred, Mary Le Herpeux né le 3 novembre 1919 à Brielles (ou Etrelles en Ille-et-Vilaine===<br />
<br />
Étudiant résistant déporté (1919 - 1945)<br />
<br />
<br />
Avec Jean Courcier et [[Louis Coquillet]], cheminots, et Henri Bannetel, étudiant en médecine comme lui, sur le stencil qu'il s'est procuré il imprime en décembre 1940 le premier tract anti-allemand, "La Relève", qui sera distribué aux étudiants et aux cheminots.<br />
Arrêté, il est transféré de Rennes à Compiègne le 29 juin 1944, puis est déporté le 28 juillet 1944 de Compiègne vers le {{w|KL Neuengamme}}. (Matricule 39597). Il décède le 3 mai 1945 dans la baie de Lübeck-Neustadt. <ref>JO: 142-21 juin 1994</ref><ref>http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.250.#LEHERPEUX</ref><br />
==Références==<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté|L]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Louis_Coquillet&diff=28939Louis Coquillet2014-02-06T15:00:28Z<p>Pgautl : </p>
<hr />
<div>(6 mars 1921, Saint-Méen-le-Grand - 17 avril 1942, Mont-Valérien, Paris) <br />
<br />
Le père de Louis, Albert,Jean était cheminot et sa mère travaillait aussi à la S.N.C.F.. <br />
[[Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG|thumb|150px|right|Louis Coquillet]]<br />
<br />
Avec un certificat d'études, mention bien, à 12 ans, il va à l'École Primaire Supérieure, puis à l'École d'Industrie et à l'École des Chemins de Fer de Rennes et devient lui aussi cheminot. Comme son père, il devient Sapeur Pompier volontaire de la Ville de Rennes et habite avec sa famille au Palais Saint-Georges. <br />
<br />
Dès l'entrée des troupes allemandes, le 18 juin 1940, à Rennes, <ref> [[18 juin 1940 : les troupes allemandes à rennes, ville traumatisée]]</ref>, il organise la ''Jeunesse Communiste'', appelle par tracts à lutter contre l'occupant et le gouvernement. Très tôt il entre en contact avec Henri Bannetel, étudiant en Médecine et René Le Herpeux, <ref>[[ passage René Le Herpeux]]</ref> étudiant en Médecine, dirigeant des étudiants communistes, et côtoie d'autres résistants rennais : Robert Barbier, Jean Courcier, Jean Rolland, André Rouault, Maurice Hay, Léost et Fourrier (ces deux-ci fusillés le 30 décembre 1942, à la butte de la Maltière, à Saint-Jacques-de-la-Lande). Il est l'un des premiers F.T.P. ( Franc-tireur Partisan), et assure des liaisons Paris-Bretagne, transportant armes et tracts. <br />
<br />
Fin 1940, il est secrétaire régional des Jeunesses Communistes. En août 1941, la police spéciale de Vichy se présente au domicile des Coquillet au [[Palais Saint-Georges]], dont il est absent. A son arrivée, il est ceinturé et fouillé, et l'on trouve une clef que le commissaire pense être celle du local de fabrication de tracts et de cache d'armes. Louis dit que c'est la clef de l'appartement et va le prouver : il l'introduit dans la serrure, ferme violemment la porte, enfermant tout le monde à l'intérieur. Il court chez des camarades, et avec sa fiancée part se réfugier à Paris. <br />
<br />
Aux "Bataillons de la Jeunesse" de Paris, sous les ordres du Colonel Fabien, il participe à de nombreuses opérations, telles l'attaque d'une centrale électrique ou celle de la Feldgendarmerie, boulevard des Batignolles à Paris, où un autre officier allemand est tué. <br />
<br />
Il est arrêté dans un restaurant au cours d'un contrôle d'identité de la police allemande. A la prison de la Santé il est torturé. Un procès, dont le film a été retrouvé sans bande son, eut lieu à la Maison de la Chimie, transformée en tribunal militaire, et 23 hommes dont Louis Coquillet furent condamnés à mort et fusillés, le 17 avril 1942, au Mont-Valérien à Paris. <br />
<br />
Lui furent décernées à titre posthume la Croix de guerre avec l'étoile d'argent et la Légion d'honneur.<ref> notice biographique par Joël David</ref> <br />
<br />
<br />
En [[1949]], la municipalité de Rennes devait honorer sa mémoire en baptisant une "[[rue Louis Coquillet]]". <br />
<br />
Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne du [[Palais Saint-Georges]] <ref>Source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010</ref>.<br />
<br />
{{#display_points: rue Louis Coquillet,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references><br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|C]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)|C]]<br />
[[Categorie:Résistant français|C]]<br />
[[Catégorie:Fusillé|C]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Louis_Coquillet&diff=28938Louis Coquillet2014-02-06T14:58:34Z<p>Pgautl : Ajout de catégorie + vignette</p>
<hr />
<div>( 6 mars 1921, Saint-Méen-le-Grand - 17 avril 1942, Mont-Valérien, Paris) <br />
<br />
Le père de Louis, Albert,Jean était cheminot et sa mère travaillait aussi à la S.N.C.F.. <br />
[[Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG|thumb|150px|right|Louis Coquillet]]<br />
<br />
Avec un certificat d'études, mention bien, à 12 ans, il va à l'École Primaire Supérieure, puis à l'École d'Industrie et à l'École des Chemins de Fer de Rennes et devient lui aussi cheminot. Comme son père, il devient Sapeur Pompier volontaire de la Ville de Rennes et habite avec sa famille au Palais Saint-Georges. <br />
<br />
Dès l'entrée des troupes allemandes, le 18 juin 1940, à Rennes, <ref> [[18 juin 1940 : les troupes allemandes à rennes, ville traumatisée]]</ref>, il organise la ''Jeunesse Communiste'', appelle par tracts à lutter contre l'occupant et le gouvernement. Très tôt il entre en contact avec Henri Bannetel, étudiant en Médecine et René Le Herpeux, <ref>[[ passage René Le Herpeux]]</ref> étudiant en Médecine, dirigeant des étudiants communistes, et côtoie d'autres résistants rennais : Robert Barbier, Jean Courcier, Jean Rolland, André Rouault, Maurice Hay, Léost et Fourrier (ces deux-ci fusillés le 30 décembre 1942, à la butte de la Maltière, à Saint-Jacques-de-la-Lande). Il est l'un des premiers F.T.P. ( Franc-tireur Partisan), et assure des liaisons Paris-Bretagne, transportant armes et tracts. <br />
<br />
Fin 1940, il est secrétaire régional des Jeunesses Communistes. En août 1941, la police spéciale de Vichy se présente au domicile des Coquillet au [[Palais Saint-Georges]], dont il est absent. A son arrivée, il est ceinturé et fouillé, et l'on trouve une clef que le commissaire pense être celle du local de fabrication de tracts et de cache d'armes. Louis dit que c'est la clef de l'appartement et va le prouver : il l'introduit dans la serrure, ferme violemment la porte, enfermant tout le monde à l'intérieur. Il court chez des camarades, et avec sa fiancée part se réfugier à Paris. <br />
<br />
Aux "Bataillons de la Jeunesse" de Paris, sous les ordres du Colonel Fabien, il participe à de nombreuses opérations, telles l'attaque d'une centrale électrique ou celle de la Feldgendarmerie, boulevard des Batignolles à Paris, où un autre officier allemand est tué. <br />
<br />
Il est arrêté dans un restaurant au cours d'un contrôle d'identité de la police allemande. A la prison de la Santé il est torturé. Un procès, dont le film a été retrouvé sans bande son, eut lieu à la Maison de la Chimie, transformée en tribunal militaire, et 23 hommes dont Louis Coquillet furent condamnés à mort et fusillés, le 17 avril 1942, au Mont-Valérien à Paris. <br />
<br />
Lui furent décernées à titre posthume la Croix de guerre avec l'étoile d'argent et la Légion d'honneur.<ref> notice biographique par Joël David</ref> <br />
<br />
<br />
En [[1949]], la municipalité de Rennes devait honorer sa mémoire en baptisant une "[[rue Louis Coquillet]]". <br />
<br />
Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne du [[Palais Saint-Georges]] <ref>Source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010</ref>.<br />
<br />
{{#display_points: rue Louis Coquillet,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|C]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)|C]]<br />
[[Categorie:Résistant français|C]]<br />
[[Catégorie:Fusillé|C]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG&diff=28937Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG2014-02-06T14:53:55Z<p>Pgautl : Pgautl a importé une nouvelle version de « Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG » : Nettoyage des taches sur le document</p>
<hr />
<div>Louis Coquillet. Résistant fusillé par les Allemands.(1921 – 1942)</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG&diff=28936Fichier:Coquillet-louis400px02.JPG2014-02-06T14:50:44Z<p>Pgautl : Louis Coquillet. Résistant fusillé par les Allemands.(1921 – 1942)</p>
<hr />
<div>Louis Coquillet. Résistant fusillé par les Allemands.(1921 – 1942)</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Maurice_Prestaut&diff=28934Maurice Prestaut2014-02-06T14:38:44Z<p>Pgautl : Ajout de 2 photos du mémorial</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Victime de la Seconde Guerre mondiale|Prestaut]]<br />
[[Catégorie:Résistant|Prestaut]]<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|Prestaut]] <br />
[[Catégorie:Victime de la Seconde Guerre mondiale|Prestaut]]<br />
[[Catégorie:Fusillé|Prestaut]]<br />
<br />
'''Maurice Prestaut''', chef du mouvement Libé Nord en Ille-et-Vilaine.<br />
[[Fichier:Prestaut-280.jpg|thumb|Maurice Prestaut]]<br />
<br />
Issu d’une famille aisée — son père était cadre à la Société des Huiles Lesieur — Maurice Prestaut est né le 22 juin 1921 à Rueil-Malmaison dans la Seine-et-Oise,<br />
<br />
Officier marinier, il se trouve à Dakar lors des malheureux événements de septembre 1940 il est blessé à Toulon au moment du sabordage de la flotte française et interné par le Gouvernement de Vichy le il novembre 1942.<br />
<br />
Connu sous les pseudonymes de Thermidor, puis '''Lebras''' et plus couramment de '''Patro''', Maurice Prestaut est, après sa libération, chargé par Philippe Vianney (lndomitus)<ref> Philippe Vianney est l’un des créateurs de Mouvement Défense de la France</ref> d’organiser le Mouvement Défense de la France en Bretagne.<br />
<br />
Nommé Délégué régional, il œuvre pour réaliser l’unification de la Résistance non communiste. Il occupe le bureau de l'assistance médicale scolaire de la ville de Rennes Mme Martin (Pierrette dans la Résistance).<br />
<br />
Il crée, dans toute la Bretagne, des réseaux de renseignements et de liaison et notamment dans les secteurs de Rennes, de Saint-Brieuc et du nord Finistère.<br />
<br />
Patro a recruté un jeune agent de liaison de 17 ans qui a donné le réseau. <br />
Tombé dans une souricière tendue par la Milice, il est arrêté le 10 mai 1944 au n° 12 de la [[rue de Châteaudun]] à Rennes. Avant d’être neutralisé, il réussit à abattre un milicien et à en blesser grièvement un autre.<br />
<br />
Incarcéré à la [[prison Jacques-Cartier]], il parvient à garder le silence sur les activités de son réseau malgré d’odieuses tortures, ce qui permet à ses camarades de poursuivre le travail entrepris jusqu'à la Libération.<br />
<br />
Maurice Prestaut a été fusillé le 8 juin 1944. Son cadavre sera retrouvé et reconnu par Pierrette parmi les cadavres du Colombier, puis par M. Prestaut père. Son nom figure sur la stèle élevée [[place du Maréchal Juin]], à la mémoire des Français et Espagnols exécutés le même jour.<br />
<br />
Il est titulaire, à titre posthume, de la Médaille Coloniale, de la Croix de la Libération et d’une citation portant attribution de la Croix de Guerre.<br />
<br />
<br />
<br />
<gallery><br />
Fichier:Memorial-fusillés-colombier1.JPG| Mémorial <br />
Fichier:Memorial-fusil-colombier1500px.jpg| Cérémonie du 8 juin 2010<br />
</gallery><br />
== Sur la carte ==<br />
<br />
Une rue porte son nom dans le quartier de Cleunay, perpendiculaire à la [[rue Champion de Cicé]] et au [[boulevard de Cleunay]].<br />
<br />
{{#display_points: Rue maurice Prestaut, Rennes|width=650|zoom=16}}<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
* Mémoire de Granit, 1939 - 1945, Commission d'information historique pour la paix du département d'Ille-et-Vilaine, 1991, p. 129.<br />
* Kristian HAMON, Les nationalistes bretons sous l'Occupation, éditions L'Voici <br />
* memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/fusilles/fusilles-colombier.htm</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Memorial-fusil-colombier1500px.jpg&diff=28933Fichier:Memorial-fusil-colombier1500px.jpg2014-02-06T14:31:31Z<p>Pgautl : Monument des 32 fusillés du 8 juin 1944 au Colombier. Le 4 août, la ville vient d'être libérée par les Américains. Des soldats pénètrent dans la caserne du Colombier. Ils découvrent de nombreuses petites croix blanches plantées en désordre c...</p>
<hr />
<div>== Description ==<br />
Monument des 32 fusillés du 8 juin 1944 au Colombier. Le 4 août, la ville vient d'être libérée par les Américains. Des soldats pénètrent dans la caserne du Colombier. Ils découvrent de nombreuses petites croix blanches plantées en désordre contre un mur, là où se trouvaient les écuries. A proximité, se trouve une petite baraque grillagée dans laquelle les suppliciés ont ont probablement été enfermés en attendant le moment de leur exécution. Certains ont vu ainsi leurs camarades fusillés. Le 8 juin 1944, 32 résistants dont 9 espagnols avaient été sortis des geôles de la prison Jacques Cartier pour être exécutés.<br />
== Conditions d'utilisation ==<br />
{{CC-BY-SA}}</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Memorial-fusill%C3%A9s-colombier1.JPG&diff=28932Fichier:Memorial-fusillés-colombier1.JPG2014-02-06T14:23:34Z<p>Pgautl : Monument des 32 fusillés du 8 juin 1944 au Colombier.
Le 4 août, la ville vient d'être libérée par les Américains. Des soldats pénètrent dans la caserne du Colombier. Ils découvrent de nombreuses petites croix blanches plantées en désordre c...</p>
<hr />
<div>== Description ==<br />
Monument des 32 fusillés du 8 juin 1944 au Colombier.<br />
Le 4 août, la ville vient d'être libérée par les Américains. Des soldats pénètrent dans la caserne du Colombier. Ils découvrent de nombreuses petites croix blanches plantées en désordre contre un mur, là où se trouvaient les écuries. A proximité, se trouve une petite baraque grillagée dans laquelle les suppliciés ont ont probablement été enfermés en attendant le moment de leur exécution. Certains ont vu ainsi leurs camarades fusillés.<br />
Le 8 juin 1944, 32 résistants dont 9 espagnols avaient été sortis des geôles de la prison Jacques Cartier pour être exécutés. <br />
<br />
== Conditions d'utilisation ==<br />
{{CC-BY-SA}}</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Louis_Coquillet&diff=28929Louis Coquillet2014-02-06T13:43:19Z<p>Pgautl : Ajout d'une catégorie et d'un plan</p>
<hr />
<div>( 6 mars 1921, Saint-Méen-le-Grand - 17 avril 1942, Mont-Valérien, Paris) <br />
<br />
Le père de Louis, Albert,Jean était cheminot et sa mère travaillait aussi à la S.N.C.F.. <br />
<br />
Avec un certificat d'études, mention bien, à 12 ans, il va à l'École Primaire Supérieure, puis à l'École d'Industrie et à l'École des Chemins de Fer de Rennes et devient lui aussi cheminot. Comme son père, il devient Sapeur Pompier volontaire de la Ville de Rennes et habite avec sa famille au Palais Saint-Georges. <br />
<br />
Dès l'entrée des troupes allemandes, le 18 juin 1940, à Rennes, <ref> [[18 juin 1940 : les troupes allemandes à rennes, ville traumatisée]]</ref>, il organise la ''Jeunesse Communiste'', appelle par tracts à lutter contre l'occupant et le gouvernement. Très tôt il entre en contact avec Henri Bannetel, étudiant en Médecine et René Le Herpeux, <ref>[[ passage René Le Herpeux]]</ref> étudiant en Médecine, dirigeant des étudiants communistes, et côtoie d'autres résistants rennais : Robert Barbier, Jean Courcier, Jean Rolland, André Rouault, Maurice Hay, Léost et Fourrier (ces deux-ci fusillés le 30 décembre 1942, à la butte de la Maltière, à Saint-Jacques-de-la-Lande). Il est l'un des premiers F.T.P. ( Franc-tireur Partisan), et assure des liaisons Paris-Bretagne, transportant armes et tracts. <br />
<br />
Fin 1940, il est secrétaire régional des Jeunesses Communistes. En août 1941, la police spéciale de Vichy se présente au domicile des Coquillet au [[Palais Saint-Georges]], dont il est absent. A son arrivée, il est ceinturé et fouillé, et l'on trouve une clef que le commissaire pense être celle du local de fabrication de tracts et de cache d'armes. Louis dit que c'est la clef de l'appartement et va le prouver : il l'introduit dans la serrure, ferme violemment la porte, enfermant tout le monde à l'intérieur. Il court chez des camarades, et avec sa fiancée part se réfugier à Paris. <br />
<br />
Aux "Bataillons de la Jeunesse" de Paris, sous les ordres du Colonel Fabien, il participe à de nombreuses opérations, telles l'attaque d'une centrale électrique ou celle de la Feldgendarmerie, boulevard des Batignolles à Paris, où un autre officier allemand est tué. <br />
<br />
Il est arrêté dans un restaurant au cours d'un contrôle d'identité de la police allemande. A la prison de la Santé il est torturé. Un procès, dont le film a été retrouvé sans bande son, eut lieu à la Maison de la Chimie, transformée en tribunal militaire, et 23 hommes dont Louis Coquillet furent condamnés à mort et fusillés, le 17 avril 1942, au Mont-Valérien à Paris. <br />
<br />
Lui furent décernées à titre posthume la Croix de guerre avec l'étoile d'argent et la Légion d'honneur.<ref> notice biographique par Joël David</ref> <br />
<br />
<br />
En [[1949]], la municipalité de Rennes devait honorer sa mémoire en baptisant une "[[rue Louis Coquillet]]". <br />
<br />
Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne du [[Palais Saint-Georges]] <ref>Source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010</ref>.<br />
<br />
{{#display_points: rue Louis Coquillet,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|C]]<br />
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)|C]]<br />
[[Categorie:Résistant français]]<br />
[[Catégorie:Fusillé]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Jacques_Tarri%C3%A8re&diff=28928Rue Jacques Tarrière2014-02-06T13:36:55Z<p>Pgautl : ajout 'une vignette, d'un plan et de deux catégories</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Tarrière]]<br />
La '''rue Jacques Tarrière''' est une petite voie, axée ouest-est, prenant naissance [[rue Paul Bourget]], dans le quartier du [[Le Blosne|Blosne]]. Elle rappelle à la mémoire:<br />
<br />
<br />
===Jacques Tarrière===<br />
<br />
Uun des plus jeunes résistants déportés d'Ille-et-Vilaine.<br />
[[Fichier:Tarriere-150px.jpg|thumb|right|Jacques Terrière]]<br />
<br />
Né le 9 juin 1926 à Avranches (Manche) - Décédé le 1er mars 1945 à Mittelbau<br />
<br />
En 1931, ses parents s'installent à Rennes au 21 de la [[rue de Paris]], non loin des [[imprimeries Oberthur]] où son père est employé.<br />
<br />
Après sa scolarité à l'Ecole Notre-Dame, il entre à l'Ecole d'Industrie du [[boulevard Laënnec]] puis fait son apprentissage chez un boulanger de la [[rue de Paris]].<br />
<br />
Dès 1941, à 15 ans, il appartient au groupe de résistance de l'Ecole d'Industrie. Le 5 mars 1942, il est arrêté avec un groupe de camarades. Après interrogatoire au siège du SD, 10 [[rue de Robien]], il est incarcéré à la [[prison Jacques Cartier]] puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté, le 4 juin 1942, en application du décret "Nacht und Nabel" ( Nuit et Brouillard) au Sonderlager SS Hinzert, près de Trèves en Rhénanie. <br />
<br />
Il est condamné à une peine de travaux forcés. Envoyé travailler en commando, il tente de s'évader. Repris, il est transféré au camp de Grossrosen puis envoyé, le 12 février 1945, au camp Mittelbau, au commando Nordhausen, où il meurt, épuisé.<br />
<br />
<br />
{{#display_points: rue Jacques Terrière,Rennes|width=450|zoom=17}}<br />
<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Tarriere-150px.jpg&diff=28925Fichier:Tarriere-150px.jpg2014-02-06T13:17:52Z<p>Pgautl : TARRIERE Jacques, né le 9 juillet 1926 à Avranches(50. Arrêté le 27 février 1942 à Rennes, il est déporté "NN" le 4 juin 1942 de Paris, gare de l'Est vers le camp d' Hinzert. Il décède le 1er mars 1945 à Nordhausen en Allemagne.</p>
<hr />
<div>TARRIERE Jacques, né le 9 juillet 1926 à Avranches(50. Arrêté le 27 février 1942 à Rennes, il est déporté "NN" le 4 juin 1942 de Paris, gare de l'Est vers le camp d' Hinzert. Il décède le 1er mars 1945 à Nordhausen en Allemagne.</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Jacques_Tarri%C3%A8re&diff=28922Rue Jacques Tarrière2014-02-06T13:08:34Z<p>Pgautl : ajout de 2 catégories</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Tarrière]]<br />
La '''rue Jacques Tarrière''' est une petite voie, axée ouest-est, prenant naissance [[rue Paul Bourget]], dans le quartier du [[Le Blosne|Blosne]]. Elle rappelle à la mémoire:<br />
<br />
<br />
===Jacques Tarrière===<br />
<br />
déporté de la Résistance<br />
<br />
(9 juin 1926, Avranches - 1er mars 1945, Mittelbau)<br />
<br />
En 1931, ses parents s'installent à Rennes au 21 de la [[rue de Paris]], non loin des [[imprimeries Oberthur]] où son père est employé.<br />
<br />
Après sa scolarité à l'Ecole Notre-Dame, il entre à l'Ecole d'Industrie du [[boulevard Laënnec]] puis fait son apprentissage chez un boulanger de la [[rue de Paris]].<br />
<br />
Dès 1941, à 15 ans, il appartient au groupe de résistance de l'Ecole d'Industrie. Le 5 mars 1942, il est arrêté avec un groupe de camarades. Après interrogatoire au siège du SD, 10 [[rue de Robien]], il est incarcéré à la [[prison Jacques Cartier]] puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté, le 4 juin 1942, en application du décret "Nacht und Nabel" ( Nuit et Brouillard) au Sonderlager SS Hinzert, près de Trèves en Rhénanie. Il est un des plus jeunes résistants déportés d'Ille-et-Vilaine.<br />
<br />
Il est condamné à une peine de travaux forcés. Envoyé travailler en commando, il tente de s'évader. Repris, il est transféré au camp de Grossrosen puis envoyé, le 12 février 1945, au camp Mittelbau, au commando Nordhausenet, où il meurt, épuisé.<br />
<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_Gaston_Tardif&diff=28920Rue Gaston Tardif2014-02-06T13:07:43Z<p>Pgautl : Ajout de 2 catégories</p>
<hr />
<div>La '''rue Gaston Tardif''' est une voie de [[Rennes]], orientée est-ouest, située entre la [[rue de Dinan]] et la [[ruelle aux Chapeliers]] en prolongement. Cette voie fût dénommée par délibération du conseil municipal du 13 avril [[1953]].<br />
<br />
== Biographie de Gaston Tardif - Résistant déporté<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==<br />
<br />
Gaston Tardif est né à Rennes, le 5 août 1913, fils unique d'un ouvrier menuisier de l'[[Arsenal de Rennes|Arsenal]] et d'une mère exécutant des travaux de crochet à domicile.<br />
<br />
Après des études primaires et secondaires dans des établissements scolaires rennais, il entre à l'Ecole Normale en 1929 et, à la fin de sa formation pédagogique, est nommé instituteur.<br />
<br />
En 1932-1933, il est adjoint d'école à Saint-Georges-de-Reintembault (35) et en 1934-1935, est chargé d'école de Saint-Georges-de-Chesné (35). Gaston Tardif se marie le 5 septembre 1934, mais demeure veuf l'année suivante avec deux jeunes enfants. En 1935, il est adjoint d'école au Grand-Fougeray, avant de devenir chargé de la même école à partir de 1937, année de son remariage en Juillet, avec une institutrice, dont il aura un enfant.<br />
<br />
Accidenté de la route en 1936, il est réformé et n'est donc pas mobilisé en septembre 1939, il doit assurer le remplacement du directeur de l'école de Bain-de- Bretagne, alors qu'il exerce au Grand-Fougeray.<br />
<br />
Gaston Tardif entre dans le groupe de Résistants de Redon en avril 1943 et est chargé de l'organisation de plusieurs groupes du Front National au Grand-Fougeray, Saint-Sulpice-des-Landes ou Teillay. Il participe à la diffusion de journaux clandestins et héberge à son domicile plusieurs responsables de la Résistance. Il intervient avec le groupe du Grand-Fougeray contre les transports ennemis par voie ferrée à Langon et Avessac et les locaux de la felgendarmerie de Redon en Février 1944.<br />
<br />
Il apporte son aide aux réfractaires et maquisards en leur établissant de fausses cartes d'identité et de faux tickets alimentaires et héberge plusieurs parachutistes américains, dont un lieutenant, après le bombardement de Nantes. Il assure le transport de cet officier dans le Morbihan, afin de lui permettre de trouver une filière pour rejoindre Londres.<br />
<br />
Arrêté par la Gestapo et la Milice Geslin le 30 mai 1944 au Grand-Fougeray, il subit des sévices avant son internement à la [[prison Jacques Cartier]] le 31 mai 1944.<br />
<br />
Il fait partie du dernier convoi de déportés à destination de l'Allemagne le 3 août 1944, alors que les Américains sont au portes de Rennes depuis le 1er et que dans la matinée du 4 août, ils défilent [[place de la Mairie]].<br />
<br />
Le 6 août 1944, le convoi en partance pour les camps de concentration en Allemagne est bombardé lors d'un arrêt à Langeais, il est tué de trois balles de mitrailleuse. Son dernier souffle a été recueilli par Bernard Bougeard, de Guipry. Gaston Tardif fait partie des 19 morts que compte le convoi. <br />
<br />
Gaston Tardif a été nommé lieutenant à titre posthume. Il est titulaire de la Médaille de la Résistance.<br />
<br />
====Voir aussi====<br />
*[[Le dernier train de résistants déportés quitte Rennes juste avant la libération]]<br />
<br />
== Note et références == <br />
<references/><br />
<br />
[[Catégorie:Voie de Rennes|T]] <br />
[[Catégorie:Quartier 1 : Centre|T]]<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Honor%C3%A9_Commeurec&diff=28919Honoré Commeurec2014-02-06T13:05:15Z<p>Pgautl : Ajout de 2 catégories</p>
<hr />
<div>'''Honoré François Commeurec'''<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> est né à Rennes le 12 décembre 1878. Il fonda une importante imprimerie coopérative ouvrière, [[rue de Nemours]], à Rennes ( ''Les Imprimeries Réunies''). Militant syndicaliste actif, il devint président de la chambre syndicale des ouvriers du Livre de Rennes et, à ce titre, protesta en [[1907]] contre l'application de la journée de 9 heures. Il fut conseiller municipal de 1908 à 1935. La guerre venue, non mobilisable, dirigeant au parti socialiste de Rennes, il entre dès [[1941]] au mouvement de résistance Libération-Nord et, dans son imprimerie, fabrique journaux, tracts et faux papiers.<br />
[[Fichier:Commeurec.jpg|150px|right|thumb|Honoré Commeurec, syndicaliste, ancien conseiller municipal et résistant]]<br />
Arrêté le 8 février 1944, il est transféré de la [[prison Jacques Cartier]] le 29 juin vers Compiègne d'où il est déporté au camp de concentration de Neuengamme et il meurt d'épuisement le 13 février [[1945]].<br />
<br />
[[Rue de Nemours]], une plaque est apposée à sa mémoire à l'emplacement des Imprimeries Réunies.<br />
<br />
En son honneur, la place des Halles Centrales fut renommée, par délibération du conseil municipal du 29 juillet 1949, '''''[[place Honoré Commeurec]]''''' (et non Commeureuc comme on la voit souvent orthographiée). Débouchant sur le [[boulevard Jean Mermoz]], la [[rue Honoré Commeurec]] est une des rues de la partie de la commune de [[Saint-Jacques-de-la-Lande]] qui "pénètre" dans le secteur sud-ouest de Rennes.<br />
<br />
==Notes et références==<br />
<references/> <br />
<br />
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)]]<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Résistant-déporté]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Benoist&diff=28918Frédéric Benoist2014-02-06T13:02:58Z<p>Pgautl : Ajout d'une catégorie</p>
<hr />
<div>'''Frédéric BENOIST''', résistant déporté. (1914- 1945)[[Fichier:Benoist-christian.jpeg|150px|thumb|left]]<br />
<br />
Frédéric Benoist est né à Châtillon-sur-Seiche le 3 octobre 1914, (Ille-et-Vilaine). Ses parents habitent à la Reuzeraie, [[Saint-Jacques-de-la-Lande]] (Ille-et-Vilaine). En 1944 Frédéric termine ses études à l'École de Notariat de Rennes. Il fait son dernier stage chez Maître Meslin, notaire à Guignen à qui il doit succéder.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
==La rafle de Guignen==<br />
<br />
Le 28 juillet 1944, les Allemands encerclèrent le bourg de Guignen. La veille, [[Fichier:Camp-margueritte-plan-660.jpg|180px|thumb|right|Plan du [[camp Margueritte]] en décembre 1944]]deux soldats allemands avaient été blessés dans un attentat à {{w|Guignen}}". Les occupants rassemblent sur la place 60 à 70 hommes qu’ils ont sortis de leurs domiciles. Après 2 ou 3 heures d’attente, ils choisissent 20 otages parmi les plus jeunes, dont Frédéric Benoist. Ils resteront au [[camp Margueritte]] à Rennes jusqu’au 3 août 1944, veille de la [[libération de Rennes]], et ils seront embarqués dans un train à destination de l’Allemagne (c’est "le train dit de {{w|Langeais}}")<br />
==La déportation==<br />
<br />
Il est déporté du fort Hatry de Belfort le 29 août 1945 vers le camp de concentration de {{w|Neuengamme}}(Matricule 43917) où il meurt d’épuisement le 1er avril 1945 à Wilhelmshaven (Situé au nord-ouest de Brême, sur la Mer du Nord. Ce kommando, créé en septembre 1944, faisait travailler ses 1000 détenus sur les chantiers navals de la ville, pour la Kriegsmarine. Ils réalisaient également des tâches de déblaiement), quelques jours avant l’arrivée de l’armée américaine.<br />
<br />
==Liens externes==<br />
<br />
* [http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.267.#BENOIST]Livre-mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945. Fondation pour la Mémoire de la Déportation<br />
* [http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/lieux-dep/lieux-deport.htm#w]Lieux de déportation<br />
* [http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/convoi44/index.htm]Le dernier convoi du 3 août 1944.<br />
*[http://www.guignen.fr/module-pagesetter-viewpub-tid-2-pid-26.html][http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/ccmr/rafle-guignen.htm#deb]La rafle de Guignen[[File:Le wagon souvenir de Langeais.jpg|thumb|Le wagon souvenir de Langeais]]<br />
<br />
<br />
== Notes et références ==<br />
<references/><br />
- Mémoires de Saint-Jacques-de-la-Lande. 60e anniversaire de la Libération<br />
<br />
- Fondation pour la Mémoire de la Déportation<br />
<br />
- Mémoire de Granit<br />
<br />
- Souvenirs et recherches de sa nièce Mme Coutel.<br />
<br />
- ''La guerre et la Résistance dans le sud de l'Ille-et-Vilaine'', par René Chesnais <br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]<br />
[[Catégorie:Déporté de la Seconde Guerre mondiale]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Bois-allemands-665px.jpg&diff=28903Fichier:Bois-allemands-665px.jpg2014-02-05T18:23:58Z<p>Pgautl : Pgautl a importé une nouvelle version de « Fichier:Bois-allemands-665px.jpg » : Le bois des Allemands aux Hautes-Ourmes. Cimetière régional allemand</p>
<hr />
<div>Un plan allemand du cimetière régional des Hautes-Ourmes</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Fichier:Bois-allemands-665px.jpg&diff=28902Fichier:Bois-allemands-665px.jpg2014-02-05T18:22:28Z<p>Pgautl : Un plan allemand du cimetière régional des Hautes-Ourmes</p>
<hr />
<div>Un plan allemand du cimetière régional des Hautes-Ourmes</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=18_juin_1940_:_les_troupes_allemandes_%C3%A0_Rennes,_ville_traumatis%C3%A9e&diff=2888618 juin 1940 : les troupes allemandes à Rennes, ville traumatisée2014-02-04T15:34:57Z<p>Pgautl : corrections de petites fautes et complément d'informations sur le lieu d'installation de la Kommandantur</p>
<hr />
<div>{{citation |texte= <br />
Deux témoins se sont exprimés par écrit détaillé sur le 18 juin [[1940]] à Rennes : Mme Valentine Ladam dans ''Les Heures douloureuses de Rennes'' et le docteur [[René Patay]] dans ses ''Mémoires d’un Français moyen''. Ce document polycopié méconnu comporte un récit saisissant de l’arrivée des troupes allemandes à Rennes, traumatisée par le bombardement allemand, la veille sur la plaine de Baud et le triage Saint-Hélier, où des trains de militaires français et britanniques, et de réfugiés aux côtés de deux trains de munitions ont sauté, occasionnant près d’un millier de victimes. Rennes était déclarée ville ouverte.( '''* 1''' )<ref> ''Rennes pendant la guerre, chroniques de 1939 à 1945'', par Étienne Maignen. Éditions Ouest-France - 2013</ref><br />
<br />
===Au petit matin, par la rue de Fougères===<br />
<br />
<br />
Les Rennais qui auront lu ''L'Ouest-Eclair'' ce matin du 18 juin, une feuille recto-verso, n'auront trouvé sur l'épouvantable bombardement de la veille rien d'autre qu'un entrefilet en première page :<br />
<br />
"''Quelque part dans l'Ouest, hier matin lundi, des bombardiers allemands ont survolé une des grandes villes de la région de l'Ouest. On compte des victimes pour la plupart civiles, quelques morts et de nombreux blessés''".<br />
<br />
Le quotidien subit, pour la dernière fois, la censure française qui occulte le nom de Rennes et la quantité effroyable de morts. Les avis de décès à Rennes sous la rubrique "état civil" sont huit dont ceux de trois "soldats aux armées". A la "chronique des réfugiés" on lit :" nous avons des nouvelles de": suivent 33 noms. Et l'on apprend que le personnel des établisements Malvy Dame, de Valenciennes, est prié de rejoindre d'urgence les établissements Fouga, à Béziers (Hérault) et que M. Toulemonde, agriculteur dans l'Oise, recherche son tracteur et son conducteur... Tous les examens secondaires et supérieurs sont suspendus.Un étrange article concernant le ravitaillement fait allusion à "ce qui s'est passé hier à Rennes" et renvoie aux mesures prises dans d'autres villes obligeant à maintenir ouverts les magasins de produits alimentaires,les hôtels et restaurants, les garages et stations-service. Un vieil homme s'est pendu ''avenue du cimetière de l'est ''...<br />
<br />
Au petit matin du mardi 18 juin, des chars arrivent par la [[rue de Fougères]], écoutilles ouvertes, chef de char debout dans la tourelle, encadrés de fantassins, fusils braqués, et suivis de motocyclistes ; ils descendent les rues du centre et passent la Vilaine au [[pont de Nemours]]. Vers 10 heures, une colonne allemande arrive par la route de Paris et se scinde au carrefour avec le [[boulevard de Metz]], un tronçon prenant la [[rue de Paris]] et passant devant la préfecture pendant des heures, avec des bus parisiens bondés de prisonniers, l’autre descendant le [[boulevard de Strasbourg]] et empruntant les quais. Alors qu’un dernier train à vapeur des T.I.V. ( '''* 2''' ) achève l’évacuation des 4000 ou 5000 réfugiés affolés qui restaient encore en ville, le docteur Patay voit arriver, un peu après 10 heures, des motocyclistes allemands à l’[[Hôtel Moderne]], [[quai Lamennais]], et passer [[quai Duguay-Trouin]] des chars, capots ouverts dont les chefs saluent des officiers français « errant sur le trottoir et quelque peu médusés ».<br />
<br />
Il y a, semble-t-il, peu d'observations comme celle de Marc Bloch :<br />
<br />
"''Quand j’aperçus, dans Rennes, la colonne allemande, qui, composée, pour une très large part, de motocyclistes, défilait paisiblement sur le boulevard Sévigné, je sentis se réveiller en moi de vieux réflexes de fantassin : bien inutilement, car nous n’avions sous la main que nos secrétaires ou les hommes du Parc d’Essence, les uns comme les autres, dès le début de la campagne, absurdement démunis d’armes. Il eût été pourtant bien tentant de l’attendre, la maudite colonne, au coin de quelques boqueteaux, dans ce pays breton, si favorable aux embûches ; fût-ce seulement avec le modeste matériel d’une compagnie d’engins. Puis, une fois le premier effet de désarroi obtenu, on aurait vite regagné le « bled » pour recommencer plus loin. Je suis bien sûr que les trois quarts de nos soldats se seraient promptement passionnés au jeu''".<ref>''L'étrange Défaite'', par Marc Bloch - 1946</ref><br />
<br />
===vers 16 heures, à la mairie===<br />
<br />
Vers 13 heures, René Patay répond à l’appel téléphonique du maire [[François Château]] qui souhaite l’avoir à ses côtés, en sa qualité de président de l’Union des Combattants, car il attend l’arrivée des Allemands à l’hôtel de ville d’un moment à l’autre. Vers 16 heures, le maire, les adjoints MM. Bourgot et Bourdin, M. Loiseleux, conseiller, et le docteur Patay voient arriver « un capitaine allemand flanqué de deux motocyclistes vêtus de longs manteaux de cuir, mitraillette en travers de la poitrine. » Le capitaine, après s’être présenté en français, va droit vers un petit tableau représentant le monument de la niche de l’hôtel de ville détruit par les autonomistes en [[1932]], figurant l’union de la Bretagne à la France. Puis, ayant demandé une machine à écrire, il dicte des consignes à un motocycliste transformé en dactylo : livraison d’armes, couvre-feu etc.<br />
<br />
L’après-midi, des soldats prisonniers sont requis pour creuser au [[cimetière de l’Est]] deux longues tranchées dans la 18e section, au sud du carré militaire 1914-18, dans lesquelles on aligne 269 corps de victimes du bombardement de la veille,transportés avec la seule voiture des pompiers et des brancards, mais ce mode de transport est insuffisant et on enterre d'autres corps dans la prairie du général Lefort, près du balast.<ref> ''Les Heures douloureuses de Rennes'', par Valentine Ladam, imp. Les Nouvelles</ref> Radio-Bretagne, les imprimeries de l’[[Ouest-Éclair]] et du [[Le Nouvelliste|Nouvelliste]] sont occupées en priorité. Dès 17 heures à la caserne du Colombier sont faits prisonniers tous les officiers d’active et de réserves et les soldats qui n’avaient pas fui. Le feldkommandant major Kruger tient une première réunion à la mairie à 18 heures. « À ce moment, on voit du cabinet du maire, d’assez nombreux badauds fraternisant avec des détachements allemands » observe le docteur Patay. Le maire envoie des agents faire circuler ces Rennais. En revanche, Mme Ladam observe des Rennais atterrés aux visages crispés, certains les larmes aux yeux.<br />
<br />
===dans la soirée, au Thabor, un général et ses officiers désemparés===<br />
<br />
Vers 20 heures 30, un sous-officier remet un billet du préfet Jouany demandant au docteur Patay de se rendre d’urgence au 61 [[boulevard de Sévigné]]. Le docteur y va à vélo pour ne pas risquer de se faire confisquer son auto. Il y trouve, avec Me Bourrut-Lacouture, le général René Altmayer, encore chargé il y a quelques jours de l’aménagement d’un impossible « réduit breton ». Celui-ci ne veut pas se rendre, mais refuse de mettre des vêtements civils et veut partir avec son état-major, ce qui paraît difficile car des colonnes allemandes passent sans arrêt. S’étant posté au coin du [[boulevard de la Duchesse Anne]], guettant en vain une interruption, le docteur Patay voit le général et ses officiers, en uniformes mais képis à la main, couper une colonne allemande pour gagner la [[rue Saint-Alphonse]], mais les chauffeurs ont disparu et les voitures ont été sabotées. Les officiers et le général font les cent pas dans la roseraie du[[Thabor]], attendant le docteur Patay parti chercher sa Panhard mais quand il revient, il n’y a plus personne. Malgré les Allemands gardant les ponts, ils avaient pu gagner, dans la voiture de Me Bourrut-Lacouture, le château de la Prévalaye où existait un parc militaire français.<br />
<br />
Alors que, la veille à 12 heures 30, bon nombre de Rennais ont pu entendre sur leur poste de T.S.F la voix chevrotante du maréchal Pétain annoncer qu’il faut cesser le combat, ce soir du 18 juin, rares sont ceux qui entendront à la BBC celle d’un général de Gaulle affirmant d’une voix décidée que « quoi qu’il arrive la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas ». ( '''*'''''voir témoignage'') Les horloges sont avancées d'une heure pour être à l'heure allemande.<br />
<br />
Le seul communiqué (n°577) du 18 juin de l'Etat-Major de l'armée française, transmis par la T.S.F, se borne à indiquer que les détachements de l'ennemi ont atteint Cherbourg et Rennes.<br />
<br />
Le lendemain et les jours suivants, le journal ne paraît plus. A part un ''Bulletin d'information d'Ille-et-Vilaine'' paru les 28,29 et 30 juin, il faudra attendre le 5 juillet pour retrouver ''L'Ouest-Éclair'' désormais soumis à la censure allemande. Dès le 9, le journal annoncera que par ordre de la Kommandantur de Rennes, installée à la Faculté des Lettres, place Hoche, en raison de manifestations de quelques uns lors de la projection des actualités allemandes, la population civile est interdite de cinéma du 8 au 14 juillet...<br />
<br />
|auteur=[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] |qualite= |origine= |collecteur=[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]]|date= }}<br />
<br />
===témoignages===<br />
<br />
'''*''' Julien Loton, 18 ans en 1940, raconte : " Le 18 juin 1940, j'ai entendu par hasard le général de Gaulle de Londres sur mon poste à galène à 18h00. Je suis certain de l'heure car je me suis dit alors en entendant cet appel : on est le 18 juin, il est 18h00 et j'ai 18 ans. Je suis devenu "gaulliste". Je devais partir avec un capitaine qui avait été sous les ordres du colonel de Gaulle et m'avait proposé de l'accompagner en Angleterre. Malheureusement il fut mis aux arrêts par son général, ce qui mit fin au projet. J'étais copain depuis 1935 avec [[Louis Coquillet]] qui me traitait de "gaulliste". En décembre 1940, je sabotai des câbles reliant le camp d'aviation à des hôtels des Allemands, puis j'ai participé à des attentats contre des locaux." <ref> entretien de Julien Noton, 90 ans, avec Etienne Maignen le 21 juin 2012</ref><br />
<br />
===références===<br />
<references/><br />
===liens internes===<br />
<br />
<br />
* 1 [[bombardement du 17 juin 1940]]<br />
<br />
* 2 [[T.I.V.]]<br />
<br />
* 3 [[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 49<br />
<br />
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale|Troupes]]<br />
[[Catégorie:Rennes sous l'occupation|Troupes]]</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rue_d%27Estr%C3%A9es&diff=28878Rue d'Estrées2014-02-03T10:20:13Z<p>Pgautl : Ajout d'un plan</p>
<hr />
<div>[[Catégorie:Voie de Rennes|Estrées]]<br />
La '''rue d'Estrées''' est le prolongement sud de la [[rue Le Bastard]], sans qu'on puisse l'en distinguer, commençant à partir du carrefour des [[rue Nationale]] et [[rue Lafayette]] avec cette dernière et aboutit à la [[place de la Mairie]]. Elle fut sous la Révolution, en 1792 ''rue Franklin'', puis ''rue Napoléon''.<br />
Elle fut ainsi nommée, lors du nouveau maillage de Rennes après l' [[incendie de 1720]], en l'honneur de :<br />
<br />
===Victor-Marie, duc d'Estrées===<br />
[[File:Estrées, Victor Marie, marquis de Coeuvres, duc d' - 1710 (.jpg|right|thumb|Portrait de Victor Marie d'Estrées (1660-1737), par {{w|Nicolas de Largillierre}}]] <br />
(30 novembre 1660, Paris - 27 décembre 1737, Paris )<br />
<br />
Victor Marie d'Estrées commence sa carrière au régiment de Picardie, fait campagne en Flandre en 1677. Il passe dans la Marine royale et participe avec son père à la guerre de Hollande (1672-1678). Il prend part à la bataille de Tabago (3 mars 1677) comme commandant de vaisseau avant d'être chargé d'opérations en Méditerranée.<br />
<br />
En 1683, il participe aux bombardements d'Alger sous les ordres de Duquesne, en 1684 au siège de Luxembourg et reçoit la charge de vice-amiral à la mort de son père. Au début de la guerre de la ligue d'Augsbourg, il s'engage comme volontaire dans l'armée de terre et il est blessé pendant le Siège de Philippsburg en 1688. Il retourne alors dans la Royale. En 1690, il commande le vaisseau ''Le Grand'' et l'arrière-garde à la bataille du cap Béveziers, composée de vingt navires. Il s'y distingue ainsi qu'au débarquement de Teignmouth où il détruit des navires anglais. Chargé par Louis XIV de la flotte du Levant, il commande à nouveau en Méditerranée où, en mars 1691, il participa à la prise de la ville et du comté de Nice, bombarda Oneglia, puis Barcelone et Alicante en juillet 1691. En mai 1693, il coopèra au siège de Rosas puis rallia Tourville au cap Saint-Vincent et l'aida à s'emparer à Lagos du convoi anglo-hollandais venant de Smyrne. En 1697, il contribua au blocus et à la prise de Barcelone.<br />
<br />
Au début de la guerre de Succession d'Espagne, il est chargé de conduire Philippe V à Naples pour qu'il s'y fasse reconnaître comme roi des Deux-Siciles. Il rallie Cadix où il commande un moment une imposante flotte franco-espagnole. En 1703, il est nommé maréchal de France. Il devient duc d'Estrées et pair de France en 1723. <br />
<br />
Il est à la bataille de Velez-Malaga le 24 août 1704, ce qui lui vaut d'être fait chevalier de la Toison d'or et le titre de « général des mers d'Espagne ». Sous la Régence, il devient président du conseil de la marine puis membre du conseil de Régence. Il est nommé ministre d'État en 1727. Mais les fonctions de gouvernement ne lui réussissent guère et il ne sait pas expliquer simplement une affaire.<br />
<br />
À la mort de son père, il devient gouverneur de Nantes, lieutenant général de Bretagne et vice-roi de la Nouvelle-France. Louis XV lui donne en toute propriété l'île de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Il est également co-directeur de la Compagnie des Indes, fonction qui lui permet d'amasser une très grande fortune qu'il consacre à acquérir d'importantes collections d'objets d'art et de livres, qu'il accumule dans son Hôtel de Noailles et dans son château de Nanteuil-le-Haudouin. Il possède également le château de Bagatelle, dans le Bois de Boulogne. En 1707, à l'occasion de son voyage à Paris, le tsar Pierre le Grand vient lui rendre visite. Il est élu membre de l'Académie des sciences en août 1707, de l'Académie française en mars 1715 et de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1726.<br />
== Sur la carte ==<br />
{{#display_points: rue d'Estrées, Rennes|width=450|zoom=17}}</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Discussion_utilisateur:Stephanus&diff=28870Discussion utilisateur:Stephanus2014-02-02T09:49:44Z<p>Pgautl : /* Photo Place de la mairie: Obseques des victimes le 15 mars 1943.jpeg */ nouvelle section</p>
<hr />
<div>== Bienvenue ==<br />
<br />
{{Bienvenue|--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 19 janvier 2011 à 11:20 (CET)}}<br />
<br />
== Rennes de mes souvenirs ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
Merci pour toutes ces contributions. Je me pose une question sur le poème de Etienne Maignen : est-ce que vous avez l'autorisation de l'auteur pour le mettre sur le Wiki ? <br />
Ce serait dommage de se passer de ce poème, tant il correspond à l'esprit du Wiki, mais sans l'autorisation de l'auteur, on ne peut pas. <br />
<br />
Cordialement, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 24 janvier 2011 à 14:02 (CET)<br />
<br />
== Rennes sous l'occupation allemande ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
Merci pour ces précieux témoignages. <br />
<br />
J'ai une proposition : nous pourrions diviser l'article Rennes sous l'occupation allemande en trois articles distincts : <br />
* 18 JUIN 1940 : LES TROUPES ALLEMANDES À RENNES, VILLE TRAUMATISÉE<br />
* VOYEZ CES BONS AMIS…<br />
* NOTES D’UN VIEUX RENNAIS PENDANT LES JOURS PRECEDANT LA LIBERATION DE RENNES<br />
<br />
Tous ces articles pouvant ensuite être rassemblés dans la catégorie : "Rennes sous l'occupation allemande". <br />
Cela donnera plus de visibilité à tous ces témoignages je pense. <br />
<br />
(je m'en occuperai, en insérant votre signature comme je l'ai fait sur cet article : [[Bombardement_du_8_mars_1943#T.C3.A9moignages]] )<br />
<br />
Qu'en pensez vous ? <br />
<br />
Cordialement, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 27 janvier 2011 à 11:57 (CET)<br />
<br />
D'accord,<br />
<br />
Cordialement,<br />
Stephanus<br />
<br />
<br />
<br />
::Voilà qui est fait : <br />
::[[Notes d'un vieux rennais pendant les jours précédant la libération de Rennes]]<br />
::[[18 juin 1940 : les troupes allemandes à Rennes, ville traumatisée]]<br />
::[[Voyez ces bons amis...]]<br />
<br />
::Tous ces articles se retrouvent dans la [[:Catégorie:Rennes sous l'occupation]]<br />
<br />
::N'hésitez pas à me faire un retour, s'il y a des points à revoir dans la mise en forme ou autre chose.<br />
::À bientôt,<br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 27 janvier 2011 à 15:29 (CET)<br />
::<br />
<br />
== [[Aide:Insérer une note de bas de page]] ==<br />
<br />
Bonjour<br />
<br />
Passant par [[Jean-Denis Lanjuinais|Lanjuinais]], je me dis que vous pourriez regarder cette page d'aide : <br />en résumé pour chaque note, il y a <nowiki><ref> ... </ref></nowiki> à taper et dans chaque article il faut quelque part taper exactement <nowiki><references/></nowiki>.<br />
<br />
Par ailleurs, il n'est effectivement pas possible de combiner une redirection et du contenu. Sur Wikipédia et ailleurs ce sont les catégories qui donnent les listes alphabétiques en principe. Mais pour le moment, article ou catégorie, on est pas "riche" en [[:catégorie:personnalité|personnalités]] ici. <br />
<br />
Bonne continuation. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 2 avril 2011 à 16:31 (CEST)<br />
<br />
== notes de bas de page ==<br />
<br />
Voici comment insérer une note de bas de page : <br />
<br />
<nowiki><br />
<ref></ref><br />
</nowiki><br />
<br />
<nowiki><br />
==Notes et références==<br />
</nowiki><br />
<br />
<nowiki><br />
<references/><br />
</nowiki><br />
<br />
== Photos Kriegsmarine ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
J'aimerais ajouter une ou des photos à l'article [[Des équipages français bombardent la Kriegsmarine route de Lorient]], mais je ne sais pas vraiment laquelle pourrait convenir, si tant est qu'il y en ait une qui convienne. <br />
<br />
Est-ce que parmi ces photos il y en a une qui vous irait ? Voir le lien : [http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Kriegsmarine]<br />
<br />
Merci<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 30 mai 2011 à 17:15 (CEST)<br />
<br />
<br />
Bonsoir Régis,<br />
<br />
J'ai regardé les photos du site. Elles se rapportent à la Kriegsmarine sans relation directe avec le bombardement de Rennes.<br />
<br />
On trouve sur google avec les mots clé : Boston august 8 1943, en 1er site : "8 août 1943", et en 3e page du site, une photo montrant la fumée des explosions sur le dépôt de la route de Lorient, avec en premier plan, très reconnaissable, le bâtiment principal de l'école supérieure d'agriculture, rue de Saint-Brieuc. Cette photo est-elle utilisable juridiquement et techniquement ?<br />
<br />
Erreur, il n'y a qu'une page et la photo est visible aussitôt avec sa légende.<br />
<br />
== Tchou tchou tchou ! ==<br />
<br />
<br />
Bon dimanche wiki !<br />
<br />
As-tu bien vu que tu as mis un article dans une catégorie [[:Catégorie:Arrivée du chemin de fer à Rennes]] et non dans un article ==> [[Arrivée du chemin de fer à Rennes]] ?<br />
<br />
J'espère que non et que tu vas remettre le train sur ses rails avant les départs en congé :) [on ne peut pas renommer une catégorie]<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 10:48 (CEST)<br />
:Quand je dis pas de renommage possible, ça veut dire ''recopier le texte puis l'effacer dans l'autre page''. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 11:29 (CEST)<br />
<br />
Merci, TigH, d'avoir repéré cette erreur, mais je me révèle incapable de la réparer. Pouvez-vous transférer dans un article à ma place ?? J'ai encore à apprendre dans les manip !<br />
<br />
Stephanus<br />
:Si si, non non ! Comme vous tenez à être l'auteur, vous devez le faire vous-même même si je comprends que vous vous soyez trompé d'aiguillage.<br />
:Tranquillement :<br />
::1. retournez sur '''[[:Catégorie:Arrivée du chemin de fer à Rennes]]''' oui ?<br />
::2. Dans cette page cliquez sur l'onglet '''Historique''' oui ?<br />
::3. Dans les lignes de l'historique, repérez la ligne où votre article est présent (avant mon message de ce matin donc) oui ?<br />
::4. Cliquez sur le lien bleu de cette version dans la ligne en question <br />
::5. Ouf vous retrouvez votre article ! oui ?<br />
::6. Vous savez le copier ''off course''. oui ? (là il est en mémoire de votre ordinateur)<br />
::7. Vous revenez sur [[Arrivée du chemin de fer à Rennes]].<br />
::8. Cliquez sur modifier et remplacer le contenu par le contenu en mémoire (ctrl+V). oui ?<br />
::9. Cliquez sur Publier bien sûr et c'est fini, tout est à sa place.<br />
:Essayez et dites-moi où ça cloche éventuellement ! Régis effacera la catégorie inutile pour le moment... [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 12:10 (CEST)<br />
----<br />
Je crois avec cette [http://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Arriv%C3%A9e_du_chemin_de_fer_%C3%A0_Rennes&oldid=11593 version] que vous avez réussi. Je ne sais pas ensuite, mais il n'y a qu'à ajouter [[:Catégorie:Histoire et mémoire]] ou une autre. <br />{{sourire}} (ça vient de sortir) [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 13:43 (CEST)<br />
<br />
== [[Rennes d'histoire et de souvenirs]] ==<br />
<br />
Bonjour Monsieur Stephanus<br />
<br />
J'ai essayé une mise en page pour le poème de Monsieur Maignen.<br />
<br />
''On peut tout enlever'' ; ou enlever le gras, enlever juste le cadre ou mettre un cadre d'une seule ligne au lieu de deux.<br />
<br />
On peut laisser le cadre et remettre les références en bas. Etc.<br />
<br />
On peut aussi ajouter un fond légèrement coloré au poème.<br />
<br />
On peut y réfléchir. (je ne suis d'ailleurs pas certain que la répétition du titre soit utile...)<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 juin 2011 à 12:21 (CEST)<br />
----<br />
Tant mieux, j'ai eu du mal ! Dans une version précédente [http://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rennes_d%27histoire_et_de_souvenirs&oldid=12042], vous pouvez trouver le poème en gras mais avec un texte qui n'est plus aligné à droite ; j'ai préféré faute de parvenir aux deux en même temps privilégier l'alignement sur le gras. SI le gras vous paraissait à tenter encore, je peux chercher comment faire (il y a longtemps que je n'ai pas codé en Html).<br />
<br />
Bonne continuation. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 juin 2011 à 13:03 (CEST)<br />
----<br />
Bonjour Stephanus<br />
<br />
Je vous laisse refaire vos apports si vous le voulez ; j'ai essayé d'occupé la ligne au minimum mais ça n'a pas suffit. Pensez que j'interviens toujours dans l'heure qui suit la mise en ligne d'un article parce que comme vous le savez le risque est grand de tout perdre et qu'il faut penser à une sauvegarde aussi médiocre soit-elle.<br />
<br />
J'espère que ce conflit est l'indice de divers futures compléments sur cet ''article singulier'', n'est-ce pas !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 26 juin 2011 à 11:38 (CEST)<br />
<br />
== Bombardement de Bruz ==<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Tout d'abord merci d'avoir crée [[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]].<br />
<br />
J'ai une information et une question.<br />
* L'information est que cet article a été repris dans le section histoire l'article [http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruz#Histoire Bruz] sur la Wikipédia.<br />
* La question porte sur l'ouvrage ''Histoire d'un Français moyen'' par René Patay, 1974 dont je ne retrouve trace nulle part (ni à la bibliothèque de Rennes ni -encore plus étrange- à la bibliothèque nationale !). Où pourrais-je le consulter ?<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 7 juillet 2011 à 13:29 (CEST)<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
L'article sur le bombardement de Bruz a été mis sur wikipedia par moi.<br />
<br />
Concernant les Mémoires d'un français moyen du Dr Patay, il s'agit d'un document polycopié tiré en fort peu d'exemplaires, mais je suis étonné qu'on ne le trouve pas à la bibliothèque municipale de Rennes. J'en possède un exemplaire obtenu il y a une dizaine d'années remis à un de mes neveux qui connaissait à Blois un pilote de l'escadrille cigogne en 14-18, collègue de Patay.<br />
<br />
Stephanus<br />
<br />
== Barre verticale ==<br />
<br />
Pris dans nos discussions, j'ai oublié de vous montrer tout à l'heure comment taper la barre verticale sous pc. <br />
<br />
*Pour obtenir : |<br />
*Sur PC, il faut appuyer sur "altGr" + "6" : d'abord appuyer sur "altGR" (la touche se situe juste à droite de la barre d'espace), garder la touche enfoncée puis appuyer sur le "6", puis relâcher les deux touches. <br />
<br />
Une manipulation qui n'est pas des plus simples, je vous l'accorde.<br />
<br />
A bientôt, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 21 septembre 2011 à 14:46 (CEST)<br />
<br />
== Photos ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Je me suis permis de créer trois articles à partir des photographies du 19ème siècle : <br />
*[[Funérailles de Edgar Le Bastard]]<br />
*[[La place du Parlement fin du 19ème siècle]]<br />
*[[L'arroseur municipal]]<br />
<br />
Ceci doit permettre de les rendre visibles depuis le site http://www.condate.rennes.fr/ : sur lequel certain articles du Wiki-Rennes peuvent être lus. <br />
<br />
A bientôt, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 15 novembre 2011 à 11:29 (CET)<br />
<br />
Bonne initiative !<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 15 novembre 2011 à 12:47 (CET)<br />
:Excusez-moi, mais il faudrait faire l'élision pour le premier (d'Edgar...). Je crois avoir compris sur WP que ce ne serait pas obligatoire s'il s'agissait d'Hector (h aspiré...) ?<br />
:Travaillez-amusez vous bien {{sourire}} [[Utilisateur:TigH|TigH]] 16 novembre 2011 à 10:33 (CET)<br />
<br />
::C'est vrai, bonne remarque. Je corrige le titre de l'article. <br />
::Merci, <br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 16 novembre 2011 à 11:19 (CET)<br />
----<br />
<br />
Bon dimanche Stephanus !<br />
<br />
{{sourire}} [[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 novembre 2011 à 10:31 (CET)<br />
<br />
A vous aussi TigH ! Je fais une petite page pour ma gymanastique digitale matinale.<br />
<br />
== Yves Milon ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai trouvé la voie qui porte le nom de Yves Milon, il s'agit du [[Square Doyen Yves Milon]]. Il fallait chercher avec le mot "doyen". <br />
<br />
Bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 24 novembre 2011 à 11:56 (CET)<br />
<br />
Il était étonnant qu'il n'aie pas une rue à son nom !<br />
<br />
Bonne journée.<br />
<br />
== Marcel Brossier ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai demandé à Joël David s'il avait une explication quant à l'absence de rue honorant la mémoire de Marcel Brossier. <br />
Voici une explication possible : <br />
<br />
[...]<br />
''les principales dénominations de cette période furent faites en 1953 et 1957, après reconstruction et agrandissement d'après guerre. Et là furent donnés les noms des Résistants qui avaient un long parcours dont les faire de guerre étaient reconnus ainsi que ceux qui avaient été déportés.'' <br />
<br />
''Or Marcel Brossier étant mort dès le début de la seconde guerre mondiale son parcours était relativement court et complètement oublié après.''<br />
<br />
''Cela ne fait pas si longtemps qu'on en parle autant.''<br />
<br />
[...]<br />
<br />
Bonne journée, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 25 novembre 2011 à 14:08 (CET)<br />
<br />
Merci pour l'info.<br />
<br />
== Meilleurs voeux ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Meilleurs voeux pour cette année 2012, une année qui à n'en pas douter sera riche en recherches et en découvertes partagées sur Rennes et sa métropole.<br />
<br />
Le Wiki est déjà devenu une référence en terme d'histoire locale. Passé et présent se conjuguent sur le Wiki-Rennes dans un projet résolument tourné vers le futur. <br />
<br />
Bonne année !<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 4 janvier 2012 à 09:57 (CET)<br />
<br />
Bonne année à vous aussi !<br />
<br />
Stephanus<br />
<br />
== Bombardement de Bruz (bis) ==<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Je reviens avec une question à propos du [[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]]. Je cherchais à avoir une image du timbre dont il est question en fin de l’article. Or je suis tombé sur [http://www.phil-ouest.com/Timbre.php?Nom_timbre=Bruz cette page] qui indique « Projet de timbre non retenu ». Il a par contre, apparemment existé une enveloppe et une oblitération commémorative ([http://www.phil-ouest.com/Flamme.php?id=148]) mais sans les « trois bombardiers lâchant, de jour, des bombes ». Auriez-vous des précisions sur ces points ?<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 1 juin 2012 à 17:48 (CEST)<br />
<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Après recherches, j'ai constaté qu'il n'y a pas eu de timbre en 1994 et j'ai retrouvé les m^mes informations que celles que vous avez relevées, l'enveloppe et l'oblitération commémorative étaient pour le 41e anniversaire du bombardement, donc de 1985. Je corrige donc l'information erronée.<br />
<br />
Merci de votre intervention,<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 4 juin 2012 à 11:57 (CEST)<br />
<br />
== images ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Un petit rappel concernant les images : si vous ne voulez pas avoir de problème, il faut supprimer tous les caractères accentués, ponctuations (hors tirets) et caractères spéciaux dans le titre des images. <br />
<br />
En procédant ainsi, les images s'afficheront correctement. <br />
<br />
Amicalement <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 17 juillet 2012 à 16:01 (CEST)<br />
<br />
== fichier modifié ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai renommé le fichier en enlevant la cédille à "français" afin qu'il s'affiche correctement : [[:Fichier:Conseils_aux_francais.jpeg]]. <br />
<br />
Bonne journée, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 19 juillet 2012 à 09:39 (CEST)<br />
<br />
== message ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Me voilà de retour sur le wiki après quelques jours de pause. <br />
<br />
Je ne sais pas si vous avez vu, mais une personne a laissé un message sur la page de discussion d'un article que vous avez rédigé : <br />
[[Discussion:7 août 1932 : le monument d'Union de la Bretagne à la France saute]]<br />
<br />
Bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 16 août 2012 à 08:45 (CEST)<br />
<br />
non, je n'ai pas vu : je vais voir<br />
<br />
bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 16 août 2012 à 09:05 (CEST)<br />
<br />
== Parc d'attraction ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus !<br />
<br />
Entre deux articles récents que j'ai découverts et lus avec plaisir(s), savoir<br />
<br />
[[18 février et 26 février 1943 des Mosquito bombardent le dépôt de la Kriegsmarine]]<br />
<br />
et [[Chronique vezinoise sous l'occupation.4]]<br />
<br />
il y a un point commun, au moins : le fameux ''Pi-Park'' !<br />
<br />
Je me permets alors de vous suggérer de penser à un article séparé. D'une part, on ne trouve rien dans la première page Google et ma mère n'avait aucune idée de ce dont il pouvait s'agir une fois lu le second article cité.<br />
<br />
Par ailleurs, j'ignore si vous aviez lu ledit article, mais il me semble que la question qui l'achève vous est particulièrement destinée...<br />
<br />
Merci pour vos remarquables enrichissements du wiki et bonne continuation !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 23 janvier 2013 à 11:14 (CET)<br />
<br />
== B''Texte italique''ombardement du 17 juin 1940 ==<br />
<br />
Bonjour et meilleurs vœux,<br />
<br />
Je viens de passer rapidement sur l'article [[Bombardement du 17 juin 1940]] pour en améliorer la typographie ainsi que pour mettre un fichier de meilleure définition pour la zone d’éclatement. J'ai aussi retiré les indications de taille d'affichage en pixel (celle-ci sont à éviter, si on veut vraiment augmenter la taille d'un fichier, il faut plutôt utiliser le paramètre ''upright='' avec un facteur d'agrandissement).<br />
<br />
Si tu as des questions ou si j’ai fait une erreur, n'hésite surtout pas à me le signaler, à me demander, voire à corriger.<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 26 janvier 2013 à 14:15 (CET)<br />
<br />
<br />
----<br />
<br />
Merci pour cette amélioration par cette technique que je ne connaissais pas et que je vais m'employer à ... employer.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 26 janvier 2013 à 14:39 (CET)<br />
<br />
==Upright==<br />
<br />
Je vous invite à lire la page {{w|Wikipédia:Mise en forme des images}} pour plus d'informations sur ce fameux paramètre ''upright'' qui nous a posé question.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Julie|Julie]] 6 février 2013 à 12:56 (CET)<br />
<br />
==Lavoir Chézy==<br />
<br />
Je croyais connaître un peu le coin, mais la subtile différence entre l'Ille et le Canal m'échappait, si bien que je m'inquiétais de voir le lavoir et l'école d'Archi situés sur la rive droite ; je n'étais pas loin de me dire que le pauvre Stephanus était atteint par les turbulences qui affectent de ce temps-là le sens de la gauche et de la droite… Un repérage sur les lieux m'a remis les idées en place ; mais du coup j'ai essayé une rédaction un peu différente en pensant à tous ceux (dont j'étais) qui ne soupçonnent pas la discrète présence de l'Ille à quelques mètres du canal. Cela peut éventuellement être amélioré… A la prochaine. [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] ([[Discussion utilisateur:JCLF|discussion]]) 11 octobre 2013 à 16:30 (CEST)<br />
<br />
Il est bien au bord de l'Ille mais la précision de localisation que vous avez apportée est bienvenue car beaucoup de Rennais ignorent le bras de rivière et le lavoir que les Amis du patrimoine Rennais s'emploient à faire prendre en considération par la Ville de Rennes.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] ([[Discussion utilisateur:Stephanus|discussion]]) 11 octobre 2013 à 16:53 (CEST)<br />
<br />
==Le Sage==<br />
Bonjour et c'est un plaisir de vous lire, mais c'est [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] le ''Tigre'' et non moi, je n'ai aucune contribution ou opinion sur la [[rue Lesage]].<br />
<br />
Je viens d'entendre évoquer la sortie d'un ouvrage sur l'Occupation et sur France Bleue Armorique. Ce ne peut être que votre création dont Julie m'a déjà parlé. Félicitations dans l'attente de pouvoir le découvrir !<br />
<br />
Votre humble et dévouée peluche.<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] ([[Discussion utilisateur:TigH|discussion]]) 23 novembre 2013 à 12:09 (CET)<br />
<br />
==Messages de 2013 déplacés de la page utilisateur==<br />
Bonjour Stéphanus,<br />
<br />
Je m'aperçois seulement aujourd'hui de votre excellent travail de correction et par voie de conséquence Je constate mes nombreuses fautes. Je n'y avais pas prêté attention ou plutôt je ne savais pas comment procéder pour arriver ici.<br />
Un grand merci donc de me permettre d'éviter d'être trop idiot.<br />
Bien que je lise et relise le texte plusieurs fois, je passe sur des fautes ''d'hortograffe'' ou de syntaxe. <br />
<br />
Pour ce qui concerne la manière d'orthographier GI, je souhaiterais de ne pas y mettre de points. <br />
Encore merci<br />
Cordialement<br />
Albert<br />
<br />
<br />
Concerne la chronique à venir.<br />
<br />
Bonjour ,<br />
Oui bien sûr j'en conviens, mais ''nous nous privons'' d'une suite qui brosse un tableau de comparaison intéressant entre le Nord et Rennes en cette période de fin de guerre. Et puis, en fin de compte, cette prochaine chronique explique la raison de notre très proche retour à Rennes. Parce que, oui en effet,nous revenons à Rennes 9 mois après notre arrivée la bas. Nous traverserons en automobile le récent champ de bataille de Normandie qu'il est intéressant de décrire. Il est toutefois exact qu'il s'agisse d’événements personnels, comme d'ailleurs l'ensemble des événements qui composent mon discours. Rennes reste quand-même le point central du texte. Au printemps 1946, notre installation à Rennes au camp Victor Rault dans les baraquements qui ont servi aux réfugiés républicain espagnols de 1936. la vie dans ce camp pendant cinq années, tout un programme. Sans cette digression concernant notre retour dans le nord comment expliquer la suite. <br />
<br />
Si vous ne souhaitez pas que j'édite cette chronique du Nord, veuillez avoir l'obligeance de supprimer les trois photos qui la concernent<br />
<br />
Bien à vous <br />
<br />
Albert<br />
<br />
Bonsoir Stéphanus,<br />
1947 à Lille!!! Eh bien cher ami, vous ne devez plus être, comme moi, de la première jeunesse.<br />
Enfin, si la santé est bonne, alors le reste suit.<br />
Bien cordialement et encore merci pour vos corrections passées,présentes et à venir.<br />
Albert<br />
Albert<br />
<br />
==rue Lesage==<br />
<br />
Ave, Stephane !<br />
Je viens, un peu par hasard, de passer par (la page de) la rue Lesage et d'y ajouter un grain de sel, le sel de la sagesse… Je me pose une question concernant le grand séminaire dont il est dit là qu'il a pris la place d'un couvent de Carmélites alors que la page sur la place Hoche dit qu'il a été construit (dans ce but ?) à partir de 1857, ce qui me semble plus probable. A vérifier donc.<br />
[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] ([[Discussion utilisateur:JCLF|discussion]]) 22 novembre 2013 à 18:18 (CET)<br />
----<br />
<small>Message initialement mis dans la page utilisateur</small><br />
<br />
== Photo Place de la mairie: Obseques des victimes le 15 mars 1943.jpeg ==<br />
<br />
<br />
Peux-t-on me dire dans quel journal cette photo a été publiée? <br />
Merci<br />
<br />
--[[Utilisateur:Pgautl|JPL]] ([[Discussion utilisateur:Pgautl|discussion]]) 2 février 2014 à 10:49 (CET)<br />
<br />
== Photo Place de la mairie: Obseques des victimes le 15 mars 1943.jpeg ==<br />
<br />
<br />
Peux-t-on me dire dans quel journal cette photo a été publiée? <br />
Merci<br />
<br />
--[[Utilisateur:Pgautl|JPL]] ([[Discussion utilisateur:Pgautl|discussion]]) 2 février 2014 à 10:49 (CET)</div>Pgautlhttps://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Discussion_utilisateur:Stephanus&diff=28869Discussion utilisateur:Stephanus2014-02-02T09:49:40Z<p>Pgautl : /* Photo Place de la mairie: Obseques des victimes le 15 mars 1943.jpeg */ nouvelle section</p>
<hr />
<div>== Bienvenue ==<br />
<br />
{{Bienvenue|--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 19 janvier 2011 à 11:20 (CET)}}<br />
<br />
== Rennes de mes souvenirs ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
Merci pour toutes ces contributions. Je me pose une question sur le poème de Etienne Maignen : est-ce que vous avez l'autorisation de l'auteur pour le mettre sur le Wiki ? <br />
Ce serait dommage de se passer de ce poème, tant il correspond à l'esprit du Wiki, mais sans l'autorisation de l'auteur, on ne peut pas. <br />
<br />
Cordialement, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 24 janvier 2011 à 14:02 (CET)<br />
<br />
== Rennes sous l'occupation allemande ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
Merci pour ces précieux témoignages. <br />
<br />
J'ai une proposition : nous pourrions diviser l'article Rennes sous l'occupation allemande en trois articles distincts : <br />
* 18 JUIN 1940 : LES TROUPES ALLEMANDES À RENNES, VILLE TRAUMATISÉE<br />
* VOYEZ CES BONS AMIS…<br />
* NOTES D’UN VIEUX RENNAIS PENDANT LES JOURS PRECEDANT LA LIBERATION DE RENNES<br />
<br />
Tous ces articles pouvant ensuite être rassemblés dans la catégorie : "Rennes sous l'occupation allemande". <br />
Cela donnera plus de visibilité à tous ces témoignages je pense. <br />
<br />
(je m'en occuperai, en insérant votre signature comme je l'ai fait sur cet article : [[Bombardement_du_8_mars_1943#T.C3.A9moignages]] )<br />
<br />
Qu'en pensez vous ? <br />
<br />
Cordialement, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 27 janvier 2011 à 11:57 (CET)<br />
<br />
D'accord,<br />
<br />
Cordialement,<br />
Stephanus<br />
<br />
<br />
<br />
::Voilà qui est fait : <br />
::[[Notes d'un vieux rennais pendant les jours précédant la libération de Rennes]]<br />
::[[18 juin 1940 : les troupes allemandes à Rennes, ville traumatisée]]<br />
::[[Voyez ces bons amis...]]<br />
<br />
::Tous ces articles se retrouvent dans la [[:Catégorie:Rennes sous l'occupation]]<br />
<br />
::N'hésitez pas à me faire un retour, s'il y a des points à revoir dans la mise en forme ou autre chose.<br />
::À bientôt,<br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 27 janvier 2011 à 15:29 (CET)<br />
::<br />
<br />
== [[Aide:Insérer une note de bas de page]] ==<br />
<br />
Bonjour<br />
<br />
Passant par [[Jean-Denis Lanjuinais|Lanjuinais]], je me dis que vous pourriez regarder cette page d'aide : <br />en résumé pour chaque note, il y a <nowiki><ref> ... </ref></nowiki> à taper et dans chaque article il faut quelque part taper exactement <nowiki><references/></nowiki>.<br />
<br />
Par ailleurs, il n'est effectivement pas possible de combiner une redirection et du contenu. Sur Wikipédia et ailleurs ce sont les catégories qui donnent les listes alphabétiques en principe. Mais pour le moment, article ou catégorie, on est pas "riche" en [[:catégorie:personnalité|personnalités]] ici. <br />
<br />
Bonne continuation. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 2 avril 2011 à 16:31 (CEST)<br />
<br />
== notes de bas de page ==<br />
<br />
Voici comment insérer une note de bas de page : <br />
<br />
<nowiki><br />
<ref></ref><br />
</nowiki><br />
<br />
<nowiki><br />
==Notes et références==<br />
</nowiki><br />
<br />
<nowiki><br />
<references/><br />
</nowiki><br />
<br />
== Photos Kriegsmarine ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus, <br />
<br />
J'aimerais ajouter une ou des photos à l'article [[Des équipages français bombardent la Kriegsmarine route de Lorient]], mais je ne sais pas vraiment laquelle pourrait convenir, si tant est qu'il y en ait une qui convienne. <br />
<br />
Est-ce que parmi ces photos il y en a une qui vous irait ? Voir le lien : [http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Kriegsmarine]<br />
<br />
Merci<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 30 mai 2011 à 17:15 (CEST)<br />
<br />
<br />
Bonsoir Régis,<br />
<br />
J'ai regardé les photos du site. Elles se rapportent à la Kriegsmarine sans relation directe avec le bombardement de Rennes.<br />
<br />
On trouve sur google avec les mots clé : Boston august 8 1943, en 1er site : "8 août 1943", et en 3e page du site, une photo montrant la fumée des explosions sur le dépôt de la route de Lorient, avec en premier plan, très reconnaissable, le bâtiment principal de l'école supérieure d'agriculture, rue de Saint-Brieuc. Cette photo est-elle utilisable juridiquement et techniquement ?<br />
<br />
Erreur, il n'y a qu'une page et la photo est visible aussitôt avec sa légende.<br />
<br />
== Tchou tchou tchou ! ==<br />
<br />
<br />
Bon dimanche wiki !<br />
<br />
As-tu bien vu que tu as mis un article dans une catégorie [[:Catégorie:Arrivée du chemin de fer à Rennes]] et non dans un article ==> [[Arrivée du chemin de fer à Rennes]] ?<br />
<br />
J'espère que non et que tu vas remettre le train sur ses rails avant les départs en congé :) [on ne peut pas renommer une catégorie]<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 10:48 (CEST)<br />
:Quand je dis pas de renommage possible, ça veut dire ''recopier le texte puis l'effacer dans l'autre page''. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 11:29 (CEST)<br />
<br />
Merci, TigH, d'avoir repéré cette erreur, mais je me révèle incapable de la réparer. Pouvez-vous transférer dans un article à ma place ?? J'ai encore à apprendre dans les manip !<br />
<br />
Stephanus<br />
:Si si, non non ! Comme vous tenez à être l'auteur, vous devez le faire vous-même même si je comprends que vous vous soyez trompé d'aiguillage.<br />
:Tranquillement :<br />
::1. retournez sur '''[[:Catégorie:Arrivée du chemin de fer à Rennes]]''' oui ?<br />
::2. Dans cette page cliquez sur l'onglet '''Historique''' oui ?<br />
::3. Dans les lignes de l'historique, repérez la ligne où votre article est présent (avant mon message de ce matin donc) oui ?<br />
::4. Cliquez sur le lien bleu de cette version dans la ligne en question <br />
::5. Ouf vous retrouvez votre article ! oui ?<br />
::6. Vous savez le copier ''off course''. oui ? (là il est en mémoire de votre ordinateur)<br />
::7. Vous revenez sur [[Arrivée du chemin de fer à Rennes]].<br />
::8. Cliquez sur modifier et remplacer le contenu par le contenu en mémoire (ctrl+V). oui ?<br />
::9. Cliquez sur Publier bien sûr et c'est fini, tout est à sa place.<br />
:Essayez et dites-moi où ça cloche éventuellement ! Régis effacera la catégorie inutile pour le moment... [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 12:10 (CEST)<br />
----<br />
Je crois avec cette [http://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Arriv%C3%A9e_du_chemin_de_fer_%C3%A0_Rennes&oldid=11593 version] que vous avez réussi. Je ne sais pas ensuite, mais il n'y a qu'à ajouter [[:Catégorie:Histoire et mémoire]] ou une autre. <br />{{sourire}} (ça vient de sortir) [[Utilisateur:TigH|TigH]] 12 juin 2011 à 13:43 (CEST)<br />
<br />
== [[Rennes d'histoire et de souvenirs]] ==<br />
<br />
Bonjour Monsieur Stephanus<br />
<br />
J'ai essayé une mise en page pour le poème de Monsieur Maignen.<br />
<br />
''On peut tout enlever'' ; ou enlever le gras, enlever juste le cadre ou mettre un cadre d'une seule ligne au lieu de deux.<br />
<br />
On peut laisser le cadre et remettre les références en bas. Etc.<br />
<br />
On peut aussi ajouter un fond légèrement coloré au poème.<br />
<br />
On peut y réfléchir. (je ne suis d'ailleurs pas certain que la répétition du titre soit utile...)<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 juin 2011 à 12:21 (CEST)<br />
----<br />
Tant mieux, j'ai eu du mal ! Dans une version précédente [http://www.wiki-rennes.fr/index.php?title=Rennes_d%27histoire_et_de_souvenirs&oldid=12042], vous pouvez trouver le poème en gras mais avec un texte qui n'est plus aligné à droite ; j'ai préféré faute de parvenir aux deux en même temps privilégier l'alignement sur le gras. SI le gras vous paraissait à tenter encore, je peux chercher comment faire (il y a longtemps que je n'ai pas codé en Html).<br />
<br />
Bonne continuation. [[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 juin 2011 à 13:03 (CEST)<br />
----<br />
Bonjour Stephanus<br />
<br />
Je vous laisse refaire vos apports si vous le voulez ; j'ai essayé d'occupé la ligne au minimum mais ça n'a pas suffit. Pensez que j'interviens toujours dans l'heure qui suit la mise en ligne d'un article parce que comme vous le savez le risque est grand de tout perdre et qu'il faut penser à une sauvegarde aussi médiocre soit-elle.<br />
<br />
J'espère que ce conflit est l'indice de divers futures compléments sur cet ''article singulier'', n'est-ce pas !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 26 juin 2011 à 11:38 (CEST)<br />
<br />
== Bombardement de Bruz ==<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Tout d'abord merci d'avoir crée [[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]].<br />
<br />
J'ai une information et une question.<br />
* L'information est que cet article a été repris dans le section histoire l'article [http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruz#Histoire Bruz] sur la Wikipédia.<br />
* La question porte sur l'ouvrage ''Histoire d'un Français moyen'' par René Patay, 1974 dont je ne retrouve trace nulle part (ni à la bibliothèque de Rennes ni -encore plus étrange- à la bibliothèque nationale !). Où pourrais-je le consulter ?<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 7 juillet 2011 à 13:29 (CEST)<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
L'article sur le bombardement de Bruz a été mis sur wikipedia par moi.<br />
<br />
Concernant les Mémoires d'un français moyen du Dr Patay, il s'agit d'un document polycopié tiré en fort peu d'exemplaires, mais je suis étonné qu'on ne le trouve pas à la bibliothèque municipale de Rennes. J'en possède un exemplaire obtenu il y a une dizaine d'années remis à un de mes neveux qui connaissait à Blois un pilote de l'escadrille cigogne en 14-18, collègue de Patay.<br />
<br />
Stephanus<br />
<br />
== Barre verticale ==<br />
<br />
Pris dans nos discussions, j'ai oublié de vous montrer tout à l'heure comment taper la barre verticale sous pc. <br />
<br />
*Pour obtenir : |<br />
*Sur PC, il faut appuyer sur "altGr" + "6" : d'abord appuyer sur "altGR" (la touche se situe juste à droite de la barre d'espace), garder la touche enfoncée puis appuyer sur le "6", puis relâcher les deux touches. <br />
<br />
Une manipulation qui n'est pas des plus simples, je vous l'accorde.<br />
<br />
A bientôt, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 21 septembre 2011 à 14:46 (CEST)<br />
<br />
== Photos ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Je me suis permis de créer trois articles à partir des photographies du 19ème siècle : <br />
*[[Funérailles de Edgar Le Bastard]]<br />
*[[La place du Parlement fin du 19ème siècle]]<br />
*[[L'arroseur municipal]]<br />
<br />
Ceci doit permettre de les rendre visibles depuis le site http://www.condate.rennes.fr/ : sur lequel certain articles du Wiki-Rennes peuvent être lus. <br />
<br />
A bientôt, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 15 novembre 2011 à 11:29 (CET)<br />
<br />
Bonne initiative !<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 15 novembre 2011 à 12:47 (CET)<br />
:Excusez-moi, mais il faudrait faire l'élision pour le premier (d'Edgar...). Je crois avoir compris sur WP que ce ne serait pas obligatoire s'il s'agissait d'Hector (h aspiré...) ?<br />
:Travaillez-amusez vous bien {{sourire}} [[Utilisateur:TigH|TigH]] 16 novembre 2011 à 10:33 (CET)<br />
<br />
::C'est vrai, bonne remarque. Je corrige le titre de l'article. <br />
::Merci, <br />
::--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 16 novembre 2011 à 11:19 (CET)<br />
----<br />
<br />
Bon dimanche Stephanus !<br />
<br />
{{sourire}} [[Utilisateur:TigH|TigH]] 20 novembre 2011 à 10:31 (CET)<br />
<br />
A vous aussi TigH ! Je fais une petite page pour ma gymanastique digitale matinale.<br />
<br />
== Yves Milon ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai trouvé la voie qui porte le nom de Yves Milon, il s'agit du [[Square Doyen Yves Milon]]. Il fallait chercher avec le mot "doyen". <br />
<br />
Bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 24 novembre 2011 à 11:56 (CET)<br />
<br />
Il était étonnant qu'il n'aie pas une rue à son nom !<br />
<br />
Bonne journée.<br />
<br />
== Marcel Brossier ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai demandé à Joël David s'il avait une explication quant à l'absence de rue honorant la mémoire de Marcel Brossier. <br />
Voici une explication possible : <br />
<br />
[...]<br />
''les principales dénominations de cette période furent faites en 1953 et 1957, après reconstruction et agrandissement d'après guerre. Et là furent donnés les noms des Résistants qui avaient un long parcours dont les faire de guerre étaient reconnus ainsi que ceux qui avaient été déportés.'' <br />
<br />
''Or Marcel Brossier étant mort dès le début de la seconde guerre mondiale son parcours était relativement court et complètement oublié après.''<br />
<br />
''Cela ne fait pas si longtemps qu'on en parle autant.''<br />
<br />
[...]<br />
<br />
Bonne journée, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 25 novembre 2011 à 14:08 (CET)<br />
<br />
Merci pour l'info.<br />
<br />
== Meilleurs voeux ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Meilleurs voeux pour cette année 2012, une année qui à n'en pas douter sera riche en recherches et en découvertes partagées sur Rennes et sa métropole.<br />
<br />
Le Wiki est déjà devenu une référence en terme d'histoire locale. Passé et présent se conjuguent sur le Wiki-Rennes dans un projet résolument tourné vers le futur. <br />
<br />
Bonne année !<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 4 janvier 2012 à 09:57 (CET)<br />
<br />
Bonne année à vous aussi !<br />
<br />
Stephanus<br />
<br />
== Bombardement de Bruz (bis) ==<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Je reviens avec une question à propos du [[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]]. Je cherchais à avoir une image du timbre dont il est question en fin de l’article. Or je suis tombé sur [http://www.phil-ouest.com/Timbre.php?Nom_timbre=Bruz cette page] qui indique « Projet de timbre non retenu ». Il a par contre, apparemment existé une enveloppe et une oblitération commémorative ([http://www.phil-ouest.com/Flamme.php?id=148]) mais sans les « trois bombardiers lâchant, de jour, des bombes ». Auriez-vous des précisions sur ces points ?<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 1 juin 2012 à 17:48 (CEST)<br />
<br />
<br />
Bonjour,<br />
<br />
Après recherches, j'ai constaté qu'il n'y a pas eu de timbre en 1994 et j'ai retrouvé les m^mes informations que celles que vous avez relevées, l'enveloppe et l'oblitération commémorative étaient pour le 41e anniversaire du bombardement, donc de 1985. Je corrige donc l'information erronée.<br />
<br />
Merci de votre intervention,<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 4 juin 2012 à 11:57 (CEST)<br />
<br />
== images ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Un petit rappel concernant les images : si vous ne voulez pas avoir de problème, il faut supprimer tous les caractères accentués, ponctuations (hors tirets) et caractères spéciaux dans le titre des images. <br />
<br />
En procédant ainsi, les images s'afficheront correctement. <br />
<br />
Amicalement <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 17 juillet 2012 à 16:01 (CEST)<br />
<br />
== fichier modifié ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
J'ai renommé le fichier en enlevant la cédille à "français" afin qu'il s'affiche correctement : [[:Fichier:Conseils_aux_francais.jpeg]]. <br />
<br />
Bonne journée, <br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 19 juillet 2012 à 09:39 (CEST)<br />
<br />
== message ==<br />
<br />
Bonjour, <br />
<br />
Me voilà de retour sur le wiki après quelques jours de pause. <br />
<br />
Je ne sais pas si vous avez vu, mais une personne a laissé un message sur la page de discussion d'un article que vous avez rédigé : <br />
[[Discussion:7 août 1932 : le monument d'Union de la Bretagne à la France saute]]<br />
<br />
Bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Regis|Régis]] 16 août 2012 à 08:45 (CEST)<br />
<br />
non, je n'ai pas vu : je vais voir<br />
<br />
bonne journée<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 16 août 2012 à 09:05 (CEST)<br />
<br />
== Parc d'attraction ==<br />
<br />
Bonjour Stephanus !<br />
<br />
Entre deux articles récents que j'ai découverts et lus avec plaisir(s), savoir<br />
<br />
[[18 février et 26 février 1943 des Mosquito bombardent le dépôt de la Kriegsmarine]]<br />
<br />
et [[Chronique vezinoise sous l'occupation.4]]<br />
<br />
il y a un point commun, au moins : le fameux ''Pi-Park'' !<br />
<br />
Je me permets alors de vous suggérer de penser à un article séparé. D'une part, on ne trouve rien dans la première page Google et ma mère n'avait aucune idée de ce dont il pouvait s'agir une fois lu le second article cité.<br />
<br />
Par ailleurs, j'ignore si vous aviez lu ledit article, mais il me semble que la question qui l'achève vous est particulièrement destinée...<br />
<br />
Merci pour vos remarquables enrichissements du wiki et bonne continuation !<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] 23 janvier 2013 à 11:14 (CET)<br />
<br />
== B''Texte italique''ombardement du 17 juin 1940 ==<br />
<br />
Bonjour et meilleurs vœux,<br />
<br />
Je viens de passer rapidement sur l'article [[Bombardement du 17 juin 1940]] pour en améliorer la typographie ainsi que pour mettre un fichier de meilleure définition pour la zone d’éclatement. J'ai aussi retiré les indications de taille d'affichage en pixel (celle-ci sont à éviter, si on veut vraiment augmenter la taille d'un fichier, il faut plutôt utiliser le paramètre ''upright='' avec un facteur d'agrandissement).<br />
<br />
Si tu as des questions ou si j’ai fait une erreur, n'hésite surtout pas à me le signaler, à me demander, voire à corriger.<br />
<br />
Cdlt, [[User:VIGNERON|Vigneron]] * [[User Talk:VIGNERON|<sup>discut.</sup>]] 26 janvier 2013 à 14:15 (CET)<br />
<br />
<br />
----<br />
<br />
Merci pour cette amélioration par cette technique que je ne connaissais pas et que je vais m'employer à ... employer.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] 26 janvier 2013 à 14:39 (CET)<br />
<br />
==Upright==<br />
<br />
Je vous invite à lire la page {{w|Wikipédia:Mise en forme des images}} pour plus d'informations sur ce fameux paramètre ''upright'' qui nous a posé question.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Julie|Julie]] 6 février 2013 à 12:56 (CET)<br />
<br />
==Lavoir Chézy==<br />
<br />
Je croyais connaître un peu le coin, mais la subtile différence entre l'Ille et le Canal m'échappait, si bien que je m'inquiétais de voir le lavoir et l'école d'Archi situés sur la rive droite ; je n'étais pas loin de me dire que le pauvre Stephanus était atteint par les turbulences qui affectent de ce temps-là le sens de la gauche et de la droite… Un repérage sur les lieux m'a remis les idées en place ; mais du coup j'ai essayé une rédaction un peu différente en pensant à tous ceux (dont j'étais) qui ne soupçonnent pas la discrète présence de l'Ille à quelques mètres du canal. Cela peut éventuellement être amélioré… A la prochaine. [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] ([[Discussion utilisateur:JCLF|discussion]]) 11 octobre 2013 à 16:30 (CEST)<br />
<br />
Il est bien au bord de l'Ille mais la précision de localisation que vous avez apportée est bienvenue car beaucoup de Rennais ignorent le bras de rivière et le lavoir que les Amis du patrimoine Rennais s'emploient à faire prendre en considération par la Ville de Rennes.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
--[[Utilisateur:Stephanus|Stephanus]] ([[Discussion utilisateur:Stephanus|discussion]]) 11 octobre 2013 à 16:53 (CEST)<br />
<br />
==Le Sage==<br />
Bonjour et c'est un plaisir de vous lire, mais c'est [[Utilisateur:JCLF|JCLF]] le ''Tigre'' et non moi, je n'ai aucune contribution ou opinion sur la [[rue Lesage]].<br />
<br />
Je viens d'entendre évoquer la sortie d'un ouvrage sur l'Occupation et sur France Bleue Armorique. Ce ne peut être que votre création dont Julie m'a déjà parlé. Félicitations dans l'attente de pouvoir le découvrir !<br />
<br />
Votre humble et dévouée peluche.<br />
<br />
[[Utilisateur:TigH|TigH]] ([[Discussion utilisateur:TigH|discussion]]) 23 novembre 2013 à 12:09 (CET)<br />
<br />
==Messages de 2013 déplacés de la page utilisateur==<br />
Bonjour Stéphanus,<br />
<br />
Je m'aperçois seulement aujourd'hui de votre excellent travail de correction et par voie de conséquence Je constate mes nombreuses fautes. Je n'y avais pas prêté attention ou plutôt je ne savais pas comment procéder pour arriver ici.<br />
Un grand merci donc de me permettre d'éviter d'être trop idiot.<br />
Bien que je lise et relise le texte plusieurs fois, je passe sur des fautes ''d'hortograffe'' ou de syntaxe. <br />
<br />
Pour ce qui concerne la manière d'orthographier GI, je souhaiterais de ne pas y mettre de points. <br />
Encore merci<br />
Cordialement<br />
Albert<br />
<br />
<br />
Concerne la chronique à venir.<br />
<br />
Bonjour ,<br />
Oui bien sûr j'en conviens, mais ''nous nous privons'' d'une suite qui brosse un tableau de comparaison intéressant entre le Nord et Rennes en cette période de fin de guerre. Et puis, en fin de compte, cette prochaine chronique explique la raison de notre très proche retour à Rennes. Parce que, oui en effet,nous revenons à Rennes 9 mois après notre arrivée la bas. Nous traverserons en automobile le récent champ de bataille de Normandie qu'il est intéressant de décrire. Il est toutefois exact qu'il s'agisse d’événements personnels, comme d'ailleurs l'ensemble des événements qui composent mon discours. Rennes reste quand-même le point central du texte. Au printemps 1946, notre installation à Rennes au camp Victor Rault dans les baraquements qui ont servi aux réfugiés républicain espagnols de 1936. la vie dans ce camp pendant cinq années, tout un programme. Sans cette digression concernant notre retour dans le nord comment expliquer la suite. <br />
<br />
Si vous ne souhaitez pas que j'édite cette chronique du Nord, veuillez avoir l'obligeance de supprimer les trois photos qui la concernent<br />
<br />
Bien à vous <br />
<br />
Albert<br />
<br />
Bonsoir Stéphanus,<br />
1947 à Lille!!! Eh bien cher ami, vous ne devez plus être, comme moi, de la première jeunesse.<br />
Enfin, si la santé est bonne, alors le reste suit.<br />
Bien cordialement et encore merci pour vos corrections passées,présentes et à venir.<br />
Albert<br />
Albert<br />
<br />
==rue Lesage==<br />
<br />
Ave, Stephane !<br />
Je viens, un peu par hasard, de passer par (la page de) la rue Lesage et d'y ajouter un grain de sel, le sel de la sagesse… Je me pose une question concernant le grand séminaire dont il est dit là qu'il a pris la place d'un couvent de Carmélites alors que la page sur la place Hoche dit qu'il a été construit (dans ce but ?) à partir de 1857, ce qui me semble plus probable. A vérifier donc.<br />
[[Utilisateur:JCLF|JCLF]] ([[Discussion utilisateur:JCLF|discussion]]) 22 novembre 2013 à 18:18 (CET)<br />
----<br />
<small>Message initialement mis dans la page utilisateur</small><br />
<br />
== Photo Place de la mairie: Obseques des victimes le 15 mars 1943.jpeg ==<br />
<br />
<br />
Peux-t-on me dire dans quel journal cette photo a été publiée? <br />
Merci<br />
<br />
--[[Utilisateur:Pgautl|JPL]] ([[Discussion utilisateur:Pgautl|discussion]]) 2 février 2014 à 10:49 (CET)</div>Pgautl