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Ier adjoint au maire de Rennes
Ier adjoint au maire de Rennes


Georges Graff, d'une famille alsacienne arrivée à Rennes après la guerre de 1870 et fondatrice de la brasserie éponyme, industriel, amateur de voile, conseiller général MRP du canton sud-ouest de 1945 à 1949. Ier adjoint d' Henri Fréville de 1962 à 1971, il  fut un grand  planificateur, aménageur de la ville dans sa plus grande période d'expansion d'après-guerre, avec aussi des démolitions "collatérales" regrettables, telles celles du château de Bréquigny, du manoir de la Motte au Chancelier, du château de Maurepas.
Georges Graff, d'une famille alsacienne arrivée à Rennes après la guerre de 1870 et exploitante de la brasserie éponyme, industriel jusqu'en 1950, amateur de voile, conseiller général MRP du canton sud-ouest de 1945 à 1949. Ier adjoint d' Henri Fréville de 1962 à 1971, il  fut un grand  planificateur, aménageur de la ville dans sa plus grande période d'expansion d'après-guerre, initiateur du secteur sauvegardé du centre-ville avec aussi des démolitions "collatérales" périphériques regrettables, telles celles du château de Bréquigny, du manoir de la Motte au Chancelier ( sur l'emplacement duquel passe la rocade ouest ), du château de Maurepas.

Version du 20 janvier 2013 à 10:47

Georges Graff, Ier adjoint au maire Henri Fréville

L'avenue Georges Graff est une voie nord-sud, parallèle à l'avenue de Bréquigny, reliant le boulevard Albert Ier au square de Londres. Elle longe les installations du lycée de Bréquigny.

Elle rappelle au souvenir :


Georges Graff

(1913 -1996 )

Ier adjoint au maire de Rennes

Georges Graff, d'une famille alsacienne arrivée à Rennes après la guerre de 1870 et exploitante de la brasserie éponyme, industriel jusqu'en 1950, amateur de voile, conseiller général MRP du canton sud-ouest de 1945 à 1949. Ier adjoint d' Henri Fréville de 1962 à 1971, il fut un grand planificateur, aménageur de la ville dans sa plus grande période d'expansion d'après-guerre, initiateur du secteur sauvegardé du centre-ville avec aussi des démolitions "collatérales" périphériques regrettables, telles celles du château de Bréquigny, du manoir de la Motte au Chancelier ( sur l'emplacement duquel passe la rocade ouest ), du château de Maurepas.