« Avenue Germaine Dulac » : différence entre les versions

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Projet porté par Joël David Chargé d'odonymie à la Ville de Rennes
Propos mise à jour par Elisa Triquet Médiatrice numérique


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Version du 24 février 2020 à 20:07

Germaine Dulac (de Wikimedia Commons)

L'avenue Germaine Dulac est une voie de Rennes, axée nord-sud, située dans le quartier 10: Villejean-Beauregard, partant au sud de la rue Aurélie Nemours.

Elle a été ainsi nommée par décision du Conseil municipal du 21 février 2011 en honneur de :

Germaine Dulac

Cinéaste

17 novembre 1882, Amiens - 20 juillet 1942, Paris

Considérée comme sensible, généreuse, indépendante, possédée par la passion de la recherche et du neuf, Germaine Dulac est parmi les premières en France à considérer le cinéma comme un grand art, et dès 1916, elle s'y consacre tout entière. Pionnière dans l'effort pour légitimer le cinéma en tant qu'art, elle est l'auteur d'une trentaine de courts et longs-métrages, de fiction, documentaires ou d'avant-garde. Comme ses confrères des années 1920 – Marcel L'Herbier, Jean Epstein –, elle a connu une longue occultation.


Germaine Dulac réside à Paris pendant son adolescence où elle découvre la photographie. Elle collabore au journal La Fronde [1], dont les revendications sont féministes, sociales et anticléricales. Elle épouse en 1905 Albert Dulac, universitaire et écrivain.

Germaine Saisset-Schneider de son nom de jeune fille, épouse en 1905 le romancier Albert Dulac. D'abord au journal féministe La Française, elle rédige surtout des portraits de femmes et des critiques de théâtre de 1906 à 1913 puis, en 1916, elle monte avec son mari unemaison de production, « Delia film ».


Après Les Sœurs ennemies (1915) et Venus Victrix (1917), elle réalise, d'après un scénario de son ami Louis Delluc, La Fête espagnole. Dès 1920, elle publie de nombreux écrits historiques aux vues nouvelles.

Après La Mort du Soleil (1921), vient La Souriante Madame Beudet (1923), critique de la vie conjugale petite-bourgeoise. Elle milite pour répandre l'amour du cinéma et contribue à développer les ciné-clubs. Plus tard, elle rejoint la « seconde avant-garde », avec La Coquille et le Clergyman (1928) puis réalise des symphonies d'images en musique, avec Disque 927 (1927) (d'après Chopin) ou Thèmes et Variations (1928).

Le cinéma parlant arrêtant la production indépendante, elle œuvre aux Actualités Gaumont dont elle est directrice adjointe.

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Notes et références

Projet porté par Joël David Chargé d'odonymie à la Ville de Rennes

Propos mise à jour par Elisa Triquet Médiatrice numérique