Avenue du Languedoc

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L'histoire de l'Avenue du Languedoc est un peu mouvementée.

A l'origine de la ZUP de Villejean, elle va de l'extrémité Sud de l'Avenue Gaston-Berger à l'extrémité Sud du Boulevard d'Anjou (l'actuel rond-point avec la route de Saint-Brieuc n'existe pas). L'Avenue du Languedoc est donc alors une pénétrante vers la partie Ouest du quartier (Boulevard d'Anjou et au-delà). Dès ce moment, sa structure est un peu complexe ; elle comprend deux parties : la première, entre Gaston-Berger et Churchill est en sens unique vers l'Ouest (la circulation vers la ville étant assurée par le Boulevard Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle, également à sens unique sur ce tronçon) ; la seconde, entre Churchill et Anjou est à double sens, et comporte, en outre, une contre-allée. Cette situation a duré une quarantaine d'années.

Tout a commencé à changer avec la création du rond-point Anjou/route de Saint-Brieuc (date ?) qui a absorbé une bonne partie du trafic utilisant auparavant l'Avenue. La Ville a alors décidé le déclassement de la seconde partie de l'avenue et a choisi de céder cet espace à la Foncière Logement pour un euro symbolique (malgré les réserves des Domaines) (délibérations du Conseil Municipal du… et du…) ainsi qu'à Archipel Habitat (au prix du marché). Archipel Habitat a ainsi pu construire une Cité Universitaire de 200 chambres, venant partiellement en remplacement de la Cité du square de Normandie, vouée à la "déconstruction" ; la nouvelle Cité a été mise en service à la rentrée 2010. En continuité avec la Cité sont prévus deux petits immeubles comportant en tout 38 logements (moitié en locatif, moitié en accession) ; les travaux ont commencé au printemps 2011.

La Foncière Logement, de son côté, relayée par la Coopérative HLM Coin de Terre et Foyer de Cholet, elle-même relayée par le groupe nantais Gambetta, portait un projet de 52 logements dits "intermédiaires" conçu selon le procédé de l'ossature bois. Les travaux ont débuté en janvier 2010 ; ils se sont arrêtés en janvier 2011, suite à des déboires liés au procédé retenu. Le groupe Gambetta, pour le maître d'ouvrage, a décidé de reprendre le chantier en septembre, mais désormais en ossature béton, c'est-à-dire après déconstruction des parties bois déjà réalisées.

A noter que l'ex-contre-allée est conservée comme voie publique et s'est vue attribuer l'appellation de Rue Joseph-Martray.