« En 1800, la Justice à Rennes » : différence entre les versions

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» Les soussignés prient donc les citoyens Consuls de conserver à Rennes son ancien état de chef-lieu pour tous les établissements qui pourront avoir lieu tant dans l’ordre administratif que dans l’ordre judiciaire » .
» Les soussignés prient donc les citoyens Consuls de conserver à Rennes son ancien état de chef-lieu pour tous les établissements qui pourront avoir lieu tant dans l’ordre administratif que dans l’ordre judiciaire » .


L’appel fut entendu ; cette fois encore Rennes triompha de Nantes, sa puissante rivale, et le 9 prairial an VIII (29 mai 1800), les magistrats rentraient dans le  Palais du [[Parlement de Bretagne]], décoré du nom pompeux de « Temple de la Loi », où ils étaient installés par le citoyen Borie <ref>{{w|Yves-Nicolas Borie}}</ref>, préfet d’Ille-et-Vilaine, après avoir promis fidélité à la Constitution. <ref>''Rennes en 1800'', audience solennelle de la cour d'appel de Rennes, du 16 octobre 1900, discours de M. Denier, avocat général. Imprimerie rennaise, 5 rue Bourbon</ref>.
L’appel fut entendu ; cette fois encore Rennes triompha de Nantes, sa puissante rivale, et le 9 prairial an VIII (29 mai 1800), les magistrats rentraient dans le  Palais du [[Parlement de Bretagne]], décoré du nom pompeux de « Temple de la Loi », où le tribunal d'appel fut installé par le citoyen Borie <ref>{{w|Yves-Nicolas Borie}}</ref>, préfet d’Ille-et-Vilaine, après avoir promis fidélité à la Constitution. <ref>''Rennes en 1800'', audience solennelle de la cour d'appel de Rennes, du 16 octobre 1900, discours de M. Denier, avocat général. Imprimerie rennaise, 5 rue Bourbon</ref>.


===Références===
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