« Incendie du Parlement de Bretagne les 4 et 5 février 1994 » : différence entre les versions

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''' LE "VOILE" MIS SUR LA VERITE'''
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...Le 4 février 1994 avait lieu à Rennes, la signature officielle du Contrat de plan Etat - Région. Le chef du gouvernement Edouard Balladur était accompagné de quatre de ses principaux ministres. Dans le contexte social général très difficile du moment et de montée de la violence due à la grave crise du secteur de la pêche il ne fallait pas être grand clerc pour redouter des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre. Ce qui se produisit échappa pourtant à tout ce qui aurait pu être imaginé.
Ce palais, dont la toiture avait été léchée lors de l' [[incendie de 1720]], était sévèrement atteint 274 ans plus tard. Cet événement donna lieu à une mobilisation civique considérable. L'énorme sinistre survenu à ce bâtiment, l'un des deux symboles de l'ancienne province de Bretagne, l'autre étant le château des ducs à Nantes, déclencha chez beaucoup de Rennais, choqués et peinés, une prise de conscience de cette richesse souvent méconnue et chez tous les Bretons  une prise de conscience de sa haute valeur symbolique. La diffusion  de cette catastrophe par les medias  a aussi  mis par la suite le projecteur sur le palais restauré dont la visite est très prisée par les touristes de passage.


Après une journée d'émeute au cours de laquelle il n'y eut miraculeusement pas de mort mais, malheureusement, de très nombreux blessés graves, la nuit fut dantesque. le Palais de Justice fut transformé en brasier. Avec lui disparaissait un monument symbole de la Bretagne. 
=== Une grosse manifestation des pêcheurs ===


Alors qu'une enquête administrative a été refusée, alors que de lourdes responsabilités n'ont pas été recherchées et cela au plus haut niveau, le pouvoir politique, la justice et certains médias ont focalisé l'attention sur le concierge, seule personne mise en examen, et sur les marins-pêcheurs.
Dans la nuit du '''4 au 5 février [[1994]]''', à la suite d'une journée de manifestations et d'émeutes entre pêcheurs manifestants et {{w|CRS}},  
le 4 février [[1994]], à l'occasion de la visite du premier ministre à Rennes, {{w|Edouard Balladur}}, 5000 pêcheurs bretons manifestaient devant la préfecture de Région contre la baisse des prix du poisson, la dégradation des ventes et la concurrence des autres pays européens. La manifestation dégénéra rapidement en émeute : de violentes confrontations se prolongèrent toute la journée dans le centre-ville, des vitrines furent brisées, un bus brûlé. Des casseurs, 800 vers 17h00, s'étaient joints aux pêcheurs. On dénombra 77 blessés, manifestants ou CRS qui tirèrent 3000 grenades lacrymogènes.<ref>Incendie du Parlement : l'autre vérité d'un policier. Interview du commissaire François Andro.Ouest-France du 9/11/2015</ref>


Même en acceptant l'idée que l’incendie n'ait été que la conséquence d'un " enchaînement de faits imprévisibles " (?) les volontés déployées pour mettre sous le boisseau toutes les questions gênantes que l'on doit se poser en pareil cas, démontrent que cette catastrophe a été traitée comme une " affaire d'Etat ". Une de plus.
[[Fichier:Incendie_du_parlement.jpeg|250px|right|thumb|La toiture  embrasée du Parlement va s'effondrer]]


Lors de la commémoration du dixième anniversaire de l'incendie du Parlement de Bretagne," le plus grand quotidien de France " qui depuis le début, sauf à très peu d'exceptions, a traité l'information de manière peu soucieuse du respect de l'éthique et de ses lecteurs, s'est attaché à présenter les faits grâce à des " témoignages choisis " allant dans " le sens de l'Histoire " et en mettant surtout en évidence la qualité, qui ne saurait être niée, de la restauration effectuée.
Dans la soirée, la situation se calma. Mais plusieurs fusées de détresse ou d'amarrage qui peuvent transpercer 3 cm de bois, des volets en aluminium ou des vitres sécurisées, avaient été lancées à proximité du palais peu avant la fin de la manifestation. L'une d'entre elles brisa une ardoise et se ficha dans la charpente, près du cadran solaire. Un incendie se déclara vers minuit dans les combles du palais du [[ Parlement de Bretagne]] qui abrite la Cour d'appel.  


France Bleu Armorique a consacré une heure à l'événement. Au cours de l’émission n’a pas été diffusée une interview réalisée dans laquelle étaient justement posées des questions restées à ce jour sans réponse. Le juge Van Ruymbeke  a, le seul, évoqué la mise en cause de responsabilités politiques dans le maintien de la venue de l'aréopage ministériel de ce jour-là en plein centre d'une " ville réputée sensible sur le plan de la sécurité ". Cela alors même que Claude Champaud, vice-président du Conseil régional au moment des faits, " se refusait, lui, à rechercher quelque responsabilité que ce soit.
=== L'incendie===
Après une longue journée de manifestations, la ville croit
pouvoir enfin trouver le repos, lorsque les sirènes déchirent la
nuit. A 0h29, les pompiers sont alertés par un particulier qui leur
déclare "le toit du parlement est en train de brûler, au niveau de
la pendule solaire. Il y a une odeur de bois brûlé qui s'en
dégage". A 0h30, un autre appel est enregistré : "Le toit du
Parlement est en feu... Il y a plusieurs points de feu sous les
ardoises. On entend les crépitements du bas de la place. À 0h3l, la police appelle à son tour : "Feu au Parlement de
Bretagne. C'est urgent. Il y a des flammes".
Vingt pompiers sont déjà [[place du Parlement]] à 0h34. D'énormes flammes sortent du toit du bâtiment. Le chef de garde transmet aussitôt
le message suivant : "Feu de combles généralisé sur façade du bâtiment. Je demande renfort
incendie et tous les moyens aériens ".
La propagation de l'incendie est rapide. Sous l'effet d'un fort vent d'ouest, les flammes
lèchent les toitures des immeubles de la [[rue Hoche]] et de l'angle de la [[rue Victor Hugo]]. Des personnes habitant dans des immeubles situés à proximité, rue Hoche et [[rue Salomon
de Brosse]] sont évacuées. A 0h40, les combles du Parlement sont totalement embrasés.


A noter que l’heure officielle du début de l’incendie a été fixée ce jour-là à 0 heure 15.
La quasi-totalité des personnels professionnels de garde du district de Rennes est alors engagée.
Le réseau d'eau de la ville n'étant pas suffisant, des tuyaux
sont déroulés pour pomper directement dans la [[ Vilaine]].
À 1h30, le Parlement n'est plus qu'un immense brasier. Les sapeurs pompiers
poursuivent la mise en place du dispositif
d'extinction par l'extérieur, le renforcement de la protection sur
le secteur est, la reconnaissance et l'attaque par l'intérieur.


Que le concierge ait servi injustement de " bouc émissaire " et puisse avoir été atteint moralement, voire détruit, cela pour masquer la responsabilité de plus puissants, n’a pas troubler les " belles consciences " : on lui aura consacré, au cours de cette émission, au plus...dix secondes.
À 2h00 du matin, plus de 150 sapeurs-pompiers, venus de tout le département, combattent le
sinistre. À leur disposition, seize engins : bras élévateurs, grandes échelles, camions pompe-tonne,
canons à eau, des mètres de tuyaux et vingt-trois lances en action.
Pierre Méhaignerie, ministre de la Justice, président du conseil Général,
le préfet, Edmond Hervé, maire de Rennes, et le procureur de la
République sont sur place. Plusieurs milliers de Rennais assistent
silencieusement au combat des sapeurs-pompiers contre les flammes.
[[Fichier:Palais_du_parlement_incendi%C3%A9.png|400px|left|thumb|Le palais du Parlement après le désastre de l'incendie : une carcasse à ciel ouvert (''Archives de Rennes.100FI192'')]]
===Sauvetage===


Que l'on mette encore en évidence aujourd'hui les exactions des marins-pêcheurs ressort de la manipulation, de la mauvaise foi ou de l'ignorance. C'est faire abstraction du fait que nul ne pouvait ignorer le paroxysme de leur état de révolte du moment, leur suréquipement en engins propres à mettre la vie des forces de l'ordre, des pompiers et de la population en péril. Ce qui était connu depuis plus de 15 jours.
À 3h00 du matin, le Parlement  dresse
ses hauts murs de pierre au milieu des flammes car
la toiture s'est effondrée sur le premier étage.
Alors que les sapeurs-pompiers continuent à se battre contre le brasier
les premiers secours s'organisent dans la nuit pour tenter de sauver ce
qui peut l'être. La collaboration des sapeurs-pompiers, des architectes
des Bâtiments de France  et du
conservateur régional des Monuments Historiques  permet de pénétrer
dans le bâtiment en feu. Alain-Charles Perrot,
architecte en chef des Monuments Historiques, désigne aux sapeurs-pompiers les œuvres d'art à
sauver en priorité. La Grande Chambre est intacte. Les pompiers brumisent de l'eau sur les plafonds de la salle, ce qui permet de
sauver les toiles.


C'est ignorer qu'il y a eu volonté délibérée de " casser un mouvement social en cours d'organisation " en laissant perdurer un état insurrectionnel en ne donnant pas aux forces de sécurité l'ordre de dispersion sollicité en permanence durant toute la journée.  
Il fallait enlever tout ce
qui était dans la Grande Chambre : les cartels, les tapisseries, les dossiers de la correctionnelle et le mobilier de la justice.  


C'est de plus " oublier " qu'il y avait à Rennes, le 4 février 1994, outre 23 autres manifestations, la présence avérée de nombreux " casseurs et autres agitateurs " dont on s'est bien gardé de rechercher l'identité... C'est aussi oublier que " l'on pouvait entrer dans le Palais de Justice comme dans un moulin "...
L'incendie est maîtrisé mais des tonnes de gravats rougeoyants menacent.
Les pompiers sont donc restés sur les lieux une semaine, jusqu'au samedi suivant car des tas de
cendres se consumaient encore.


Il ne faut pas oublier que le sénateur socialiste Edmond Hervé, maire de Rennes à l’époque, s’était engagé vis-à-vis de l’auteur de ce texte, à déposer deux plaintes. L’une au titre de la Ville préjudiciée dans son patrimoine. L’autre à titre personnel pour avoir été molesté et sauvé « de son propre aveu » par les marins-pêcheurs. Ses plaintes auraient eu du mal à ne pas être recevables.
Avec l'aide des services municipaux et des soldats du 16e
régiment d'artillerie, une équipe d'une centaine de personnes a
entrepris une course contre la montre, pour limiter les
dégâts. Des entreprises privées spécialisées dans l'étaiement
ont  été mobilisées, car des planchers menaçaient de
s'effondrer, ainsi que des entreprises de levage pour enlever
toute la charpente et
une soixantaine d'agents des services municipaux ont donc été
mis à disposition  pour aider à l'évacuation des tapisseries, des
oeuvres d'art, du mobilier et des archives épargnés par l'incendie.<ref> rapport DRAC Bretagne - 2012 </ref>
<ref>https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/photosvideostemoignages-recit-incendie-du-parlement-bretagne-4-fevrier-1994-1656336.html</ref>


Il ne l’a pas fait. Il a signé un accord avec le préfet de Région en charge de la responsabilité lors des évènements. Cela 48 heures avant que ce dernier parte rejoindre son poste de secrétaire général de la Mairie de Paris de Monsieur Tibéri.


Depuis impliqué dans l’affaire du sang contaminé il a été condamné et exempté de peine.  La Ville de   Rennes dispose du métro.
===références===
'''Liens internes'''
*[[Parlement de Bretagne]]
*[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 16
*[[Cadrans solaires de Rennes]]


'''Liens externes'''
«Le vendredi  noir de la Bretagne »    Editions L’ECHARPE  1996
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_du_parlement_de_Bretagne#Incendie_de_1994 L'incendie du Parlement sur Wikipedia]
«L’incendie de la paillote bretonne »  Editions L’ECHARPE  2003
 
[[Catégorie:Histoire et mémoire]]

Version du 12 juillet 2019 à 13:14

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Ce palais, dont la toiture avait été léchée lors de l' incendie de 1720, était sévèrement atteint 274 ans plus tard. Cet événement donna lieu à une mobilisation civique considérable. L'énorme sinistre survenu à ce bâtiment, l'un des deux symboles de l'ancienne province de Bretagne, l'autre étant le château des ducs à Nantes, déclencha chez beaucoup de Rennais, choqués et peinés, une prise de conscience de cette richesse souvent méconnue et chez tous les Bretons une prise de conscience de sa haute valeur symbolique. La diffusion de cette catastrophe par les medias a aussi mis par la suite le projecteur sur le palais restauré dont la visite est très prisée par les touristes de passage.

Une grosse manifestation des pêcheurs

Dans la nuit du 4 au 5 février 1994, à la suite d'une journée de manifestations et d'émeutes entre pêcheurs manifestants et CRS Wikipedia-logo-v2.svg, le 4 février 1994, à l'occasion de la visite du premier ministre à Rennes, Edouard Balladur Wikipedia-logo-v2.svg, 5000 pêcheurs bretons manifestaient devant la préfecture de Région contre la baisse des prix du poisson, la dégradation des ventes et la concurrence des autres pays européens. La manifestation dégénéra rapidement en émeute : de violentes confrontations se prolongèrent toute la journée dans le centre-ville, des vitrines furent brisées, un bus brûlé. Des casseurs, 800 vers 17h00, s'étaient joints aux pêcheurs. On dénombra 77 blessés, manifestants ou CRS qui tirèrent 3000 grenades lacrymogènes.[1]

La toiture embrasée du Parlement va s'effondrer

Dans la soirée, la situation se calma. Mais plusieurs fusées de détresse ou d'amarrage qui peuvent transpercer 3 cm de bois, des volets en aluminium ou des vitres sécurisées, avaient été lancées à proximité du palais peu avant la fin de la manifestation. L'une d'entre elles brisa une ardoise et se ficha dans la charpente, près du cadran solaire. Un incendie se déclara vers minuit dans les combles du palais du Parlement de Bretagne qui abrite la Cour d'appel.

L'incendie

Après une longue journée de manifestations, la ville croit pouvoir enfin trouver le repos, lorsque les sirènes déchirent la nuit. A 0h29, les pompiers sont alertés par un particulier qui leur déclare "le toit du parlement est en train de brûler, au niveau de la pendule solaire. Il y a une odeur de bois brûlé qui s'en dégage". A 0h30, un autre appel est enregistré : "Le toit du Parlement est en feu... Il y a plusieurs points de feu sous les ardoises. On entend les crépitements du bas de la place. À 0h3l, la police appelle à son tour : "Feu au Parlement de Bretagne. C'est urgent. Il y a des flammes". Vingt pompiers sont déjà place du Parlement à 0h34. D'énormes flammes sortent du toit du bâtiment. Le chef de garde transmet aussitôt le message suivant : "Feu de combles généralisé sur façade du bâtiment. Je demande renfort incendie et tous les moyens aériens ". La propagation de l'incendie est rapide. Sous l'effet d'un fort vent d'ouest, les flammes lèchent les toitures des immeubles de la rue Hoche et de l'angle de la rue Victor Hugo. Des personnes habitant dans des immeubles situés à proximité, rue Hoche et [[rue Salomon de Brosse]] sont évacuées. A 0h40, les combles du Parlement sont totalement embrasés.

La quasi-totalité des personnels professionnels de garde du district de Rennes est alors engagée. Le réseau d'eau de la ville n'étant pas suffisant, des tuyaux sont déroulés pour pomper directement dans la Vilaine. À 1h30, le Parlement n'est plus qu'un immense brasier. Les sapeurs pompiers poursuivent la mise en place du dispositif d'extinction par l'extérieur, le renforcement de la protection sur le secteur est, la reconnaissance et l'attaque par l'intérieur.

À 2h00 du matin, plus de 150 sapeurs-pompiers, venus de tout le département, combattent le sinistre. À leur disposition, seize engins : bras élévateurs, grandes échelles, camions pompe-tonne, canons à eau, des mètres de tuyaux et vingt-trois lances en action. Pierre Méhaignerie, ministre de la Justice, président du conseil Général, le préfet, Edmond Hervé, maire de Rennes, et le procureur de la République sont sur place. Plusieurs milliers de Rennais assistent silencieusement au combat des sapeurs-pompiers contre les flammes.

Le palais du Parlement après le désastre de l'incendie : une carcasse à ciel ouvert (Archives de Rennes.100FI192)

Sauvetage

À 3h00 du matin, le Parlement dresse ses hauts murs de pierre au milieu des flammes car la toiture s'est effondrée sur le premier étage. Alors que les sapeurs-pompiers continuent à se battre contre le brasier les premiers secours s'organisent dans la nuit pour tenter de sauver ce qui peut l'être. La collaboration des sapeurs-pompiers, des architectes des Bâtiments de France et du conservateur régional des Monuments Historiques permet de pénétrer dans le bâtiment en feu. Alain-Charles Perrot, architecte en chef des Monuments Historiques, désigne aux sapeurs-pompiers les œuvres d'art à sauver en priorité. La Grande Chambre est intacte. Les pompiers brumisent de l'eau sur les plafonds de la salle, ce qui permet de sauver les toiles.

Il fallait enlever tout ce qui était dans la Grande Chambre : les cartels, les tapisseries, les dossiers de la correctionnelle et le mobilier de la justice.

L'incendie est maîtrisé mais des tonnes de gravats rougeoyants menacent. Les pompiers sont donc restés sur les lieux une semaine, jusqu'au samedi suivant car des tas de cendres se consumaient encore.

Avec l'aide des services municipaux et des soldats du 16e régiment d'artillerie, une équipe d'une centaine de personnes a entrepris une course contre la montre, pour limiter les dégâts. Des entreprises privées spécialisées dans l'étaiement ont été mobilisées, car des planchers menaçaient de s'effondrer, ainsi que des entreprises de levage pour enlever toute la charpente et une soixantaine d'agents des services municipaux ont donc été mis à disposition pour aider à l'évacuation des tapisseries, des oeuvres d'art, du mobilier et des archives épargnés par l'incendie.[2] [3]


références

Liens internes

Liens externes

  1. Incendie du Parlement : l'autre vérité d'un policier. Interview du commissaire François Andro.Ouest-France du 9/11/2015
  2. rapport DRAC Bretagne - 2012
  3. https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/photosvideostemoignages-recit-incendie-du-parlement-bretagne-4-fevrier-1994-1656336.html