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==Réveillons-nous!==
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Dès l’élaboration du projet Sons Publics, la nouvelle équipe du festival a affirmé sa volonté de proposer des moments de rencontre en saison. En 2003, a eu lieu la première édition d’hiver des Tombées de la Nuit :[[Réveillons-nous !]] Également depuis 2003, plusieurs créations produites et initiées par le festival ont été présentées, le plus souvent en synergie et en complémentarité avec d’autres initiatives culturelles rennaises.  
Dès l’élaboration du projet Sons Publics, la nouvelle équipe du festival a affirmé sa volonté de proposer des moments de rencontre en saison. En 2003, a eu lieu la première édition d’hiver des Tombées de la Nuit :[[Réveillons-nous !]] Également depuis 2003, plusieurs créations produites et initiées par le festival ont été présentées, le plus souvent en synergie et en complémentarité avec d’autres initiatives culturelles rennaises.  
 
==Lien interne==
*[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 93
==Liens externes==
==Liens externes==



Version du 13 décembre 2011 à 10:22

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Les Tombées de la Nuit est un festival rennais créé en 1980. Principalement consacré aux arts de la rues, il se tient dans les rues, places, parcs, scènes et quartiers de Rennes.

Après vingt années d’existence dans le giron de l’Office du Tourisme et sous la direction emblématique de Jean-Bernard Vighetti, les Tombées de la Nuit se métamorphosent en association loi 1901 et redeviennent, en 2003, un « jeune festival ». Mandaté par un bureau largement ouvert au monde « non-culturel », le nouveau directeur artistique, Claude Guinard, reprend en main la programmation avec son acolyte et conseiller artistique, le Bruxellois Philippe Kauffmann. On ne se contentera pas de rafraîchir peinture et papiers peints : un travail de rénovation de fond s’engage.

Artistes et spectateurs dans l’espace public

Il serait injuste d’exposer le propos en opposition. La nouvelle équipe a simplement le désir profond de faire avancer le festival autrement, de secouer le cocotier des habitudes en décloisonnant genres et disciplines. L’heure est au chambardement tout azimut, à l’invention de nouvelles formes. Une constante : rechercher d’autre façon d’occuper l’espace public et de concevoir le rapport avec le spectateur. L’adjonction, en miniature, du qualificatif Sons Publics au nom générique du festival marque à la fois son ouverture aux sonorités les plus diverses et son attachement viscéral à la notion de partage et de rencontre.

En sept éditions (avec une annulation pour cause de mouvement des intermittents), l’idée a fait ses preuves sur les planches, les pavés et surtout, dans la tête d’un public qui suit et en redemande. Les Tombées de la Nuit est resté un festival à haute fréquentation, ouvert mais fier de son enracinement rennais. Mélangeant les genres, torpillant le ronron des animations de rue, dynamitant les habitudes en multipliant rencontres et inventions, il innove sacrément, en gardant à l’esprit que tout le monde a sa place autour de la table. Sans la ramener, avec cette bonhomie bien vivante qui guéri de tout élitisme, il affirme mine de rien que l’originalité et les chemins de traverse ont largement leur place dans les goûts du public. Un cinglant et joyeux démenti pour tous les niveleurs par le bas.

Réveillons-nous!

Dès l’élaboration du projet Sons Publics, la nouvelle équipe du festival a affirmé sa volonté de proposer des moments de rencontre en saison. En 2003, a eu lieu la première édition d’hiver des Tombées de la Nuit :Réveillons-nous ! Également depuis 2003, plusieurs créations produites et initiées par le festival ont été présentées, le plus souvent en synergie et en complémentarité avec d’autres initiatives culturelles rennaises.

Lien interne

Liens externes

Site Officiel Les Tombées de la nuit