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Après le débarquement des Alliés le 6 juin, les bobards, qui n'avaient cessé pendant les années d'occupation fleurirent de plus belle et la ville de Rennes en fut un terrain propice à en croire la presse qui mettait en garde contre les rumeurs et les fausses nouvelles qui réjouissent sans raison ou font peur à tort, venant ainsi jeter le doute sur les vraies nouvelles qu'il était difficile de distinguer des autres. La TSF et le téléphone les propagaient avec moins d'ampleur que les actuels réseaux sociaux mais les uns  pensaient se rendre intéressants
Après le débarquement des Alliés le 6 juin, les bobards, qui n'avaient cessé pendant les années d'occupation fleurirent de plus belle et la ville de Rennes en fut un terrain propice à en croire la presse qui mettait en garde contre les rumeurs et les fausses nouvelles qui réjouissent de rapidité et d'ampleur que les actuels réseaux sociaux mais les uns  pensaient se rendre intéressants
en les colportant et les autres leur prêtaient l'oreille pour... s'en faire l'écho à leur tour.
en les colportant et les autres leur prêtaient l'oreille pour... s'en faire l'écho à leur tour.

Version du 19 juillet 2018 à 12:59


Ouest-Eclair du 22 juillet 1944

Après le débarquement des Alliés le 6 juin, les bobards, qui n'avaient cessé pendant les années d'occupation fleurirent de plus belle et la ville de Rennes en fut un terrain propice à en croire la presse qui mettait en garde contre les rumeurs et les fausses nouvelles qui réjouissent de rapidité et d'ampleur que les actuels réseaux sociaux mais les uns pensaient se rendre intéressants en les colportant et les autres leur prêtaient l'oreille pour... s'en faire l'écho à leur tour.