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Edifié au début 17e siècle, en pleine campagne à 3 kms  au sud de Rennes mais à  à quelque 500 m du manoir du
Edifié au début 17e siècle, en pleine campagne à 3 kms  au sud de Rennes mais à  à quelque 500 m du manoir du
Landrel, il occupait le bord nord- st du chemin de la Goupillais qui reliait la route de [[Vern-sur-Seiche]] à celle de
Landrel, il occupait le bord nord- st du chemin de la Goupillais qui reliait la route de [[Vern-sur-Seiche]] à celle de

Version du 20 mars 2021 à 17:02

Les Hautes Ourmes, au nord du chemin de ronde dans une campagne qui allait disparaître ( de géobretagne 1950)
Le manoir des Hautes Ourmes, détruit en 1966
Chapelle des Hautes Ourmes, 1948

Edifié au début 17e siècle, en pleine campagne à 3 kms au sud de Rennes mais à à quelque 500 m du manoir du Landrel, il occupait le bord nord- st du chemin de la Goupillais qui reliait la route de Vern-sur-Seiche à celle de Nantes. Il tirait son nom d’une déformation du mot orme parla langue orale des ormes étant autrefois nombreux dans le bois, comme dans tout le bocage de Rennes.

En 1639, ce manoir, qui relevait de la Vicomté de Rennes, appartenait à la famille LeBreton, sieurs de Bréquigneul, passa par succession aux Rallier, sieurs du Baty, qui le possédaient en 1655, et le vendirent en 1734 à Marie Anne Pelet, veuve de Jean François de Rieux. Leurs descendants le détenaient encore dans la première moitié du 20e siècle, Mlle Desrieux l’ayant quitté au milieu du siècle. Le manoir était doté d’une chapelle de la même époque, côté est, en bordure du chemin de ronde, pourvue d’un chevet droit et d’une porte précédée d’un petit porche. La ville racheta la propriété des Hautes Ourmes en 1965. Le manoir fut démoli, en même temps que les fermes et les hameaux du quartier du Blosne, pour céder la place aux nouvelles constructions au sud de Rennes.


Références

https://www.audiar.org/sites/default/files/documents/blosne/O_2013-rapport%20histoire%20Blosne.pdf