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<big>[[Rue de la Motte au Chancelier]]</big>
[[Fichier:Manoir de la motte au chancelier.jpg|right|150px]]


La rue de la Motte au Chancelier est une voie de Rennes, axée nord-sud, reliant la rue de Lorient au quai Robinot de Saint-Cyr. Elle est située en zone d'activité ouest, en bordure de la rocade ouest. Elle avait été aménagée vers 1957 par la Chambre de commerce, première voie de la zone dite alors zone industrielle de la route de Lorient.
<big>[[Opéra]]</big>
[[Fichier:Theatre de rennes 1892 e.maignen.jpg|left|250px|thumb|L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)]]
Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...


[[Rue de la Motte au Chancelier|Lire la suite]]
[[Opéra|Lire la suite]]


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<big>[[Un capitaine anglais et son chauffeur, 4 août 1944]]</big>
<big>[[Libération de Rennes]]</big>
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|230px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.]]
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.


Vers 8 heures 30, ce vendredi matin, les Rennais, réveillés brutalement il y a trois heures par la série d'énormes explosions des ponts dynamités, attendent. La veille et dans la nuit les Allemands quittaient la ville et, dans l'après-midi, on avait vu les premiers F.F.I du côté de la mairie. Les Rennais attendent, chez eux, l'arrivée des troupes américaines, sérieusement accrochées depuis le Ier août, à Maison-Blanche, et qui ont envoyé des obus sur la ville ces derniers jours.
[[Libération de Rennes|Lire la suite]]
 
[[Un capitaine anglais et son chauffeur, 4 août 1944|Lire la suite]]


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<big>[[Francis Pellerin]]</big>
<big>[[Piscine Saint-Georges]]</big>
 
[[Fichier:Rennes-Piscine Saint-Georges.jpg|left|280px|thumb|Piscine Saint-Georges]]
Le sculpteur Francis Pellerin était né à Cancale le 2 avril 1915. Ses études aux Beaux-Arts le conduisent à Rome et au Grand Prix de Rome de sculpture en 1944.
La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, [[rue Victor Hugo]]. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...  
À partir de 1948 il est à Rennes, où il enseigne à l'École des Beaux-Arts jusqu'à 1978. Et c'est à Rennes qu'il meurt le 30 septembre 1998.


[[Francis Pellerin|Lire la suite]]
[[Piscine Saint-Georges|Lire la suite]]


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<big>[[Le "second procès de Rennes" en 1906]]</big>
<big>[[Halles centrales]]</big>
 
[[Fichier:Halles côté bd de la Liberté171.jpg|right|250px|Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)]]
Le 19 mars 1906, trois officiers du 47e régiment d’infanterie sont jugés par le conseil de guerre de la 10e région militaire de Rennes suite à l’inventaire des biens de l’église de Saint-Servan. Les trois inculpés comparaissent devant le Conseil de guerre de Rennes pour avoir refusé « de faire agir la force à ses ordres après avoir été légalement requis par l’autorité civile ».
Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la [[Place Honoré Commeurec]]. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints.  
 
[[Halles centrales|Lire la suite]]
[[Le "second procès de Rennes" en 1906|Lire la suite]]


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<big>[[LabFab]]</big>
Le LabFab est le réseau des laboratoires de fabrication numérique rennais. Il a été conçu comme une réduction scalaire du réseau mondial des fablabs. C'est-à-dire qu'il s'y échange des savoirs et des solutions concrètes au travers de la cocréation d’objets de nouvelle génération documentés, réplicables et améliorables.
[[LabFab|Lire la suite]]

Version du 26 mai 2020 à 14:45

Opéra

L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)

Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...

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Libération de Rennes

Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.

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Piscine Saint-Georges

Piscine Saint-Georges

La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, rue Victor Hugo. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...

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Halles centrales

Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)

Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la Place Honoré Commeurec. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints. Lire la suite