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<big>[[Cabaret L'Alcazar de Rennes]]</big>


L'Alcazar est un cabaret de Rennes ouvert en octobre 1892, remplaçant le Café central ouvert en 1882, renommé Café des Sports, un des multiples débits de boisson de la ville, mais aussi café-concert inspiré des salles parisiennes, le seul avec l'Éden à animer Rennes à cette époque.
<big>[[Opéra]]</big>
[[Fichier:Theatre de rennes 1892 e.maignen.jpg|left|250px|thumb|L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)]]
Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...


[[Cabaret L'Alcazar de Rennes|Lire la suite]]
[[Opéra|Lire la suite]]


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<big>[[Jeanne Vandewalle]]</big>
<big>[[Libération de Rennes]]</big>
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|230px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.]]
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.


La Rennaise Jeanne Bétin, "Jany", avait accepté en 1940 un poste à la Kriegsmarine, rue de Lorient, à Rennes : elle est mise à recopier des commandes de matériel pour les sous-marins allemands en escale à La Pallice, près de la Rochelle, à Lorient, à Saint-Nazaire… Au foyer du boulevard Magenta où elle loge, en mars 1943, une amie la met en contact avec des résistants auxquels elle communiquera les noms de ces sous-marins, les dates et lieux des escales.
[[Libération de Rennes|Lire la suite]]
 
[[Jeanne Vandewalle|Lire la suite]]


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<big>[[Eugène Pinault]]</big>
<big>[[Piscine Saint-Georges]]</big>
[[Fichier:Eugène Marie Pinault.jpg|100px|right]]
[[Fichier:Rennes-Piscine Saint-Georges.jpg|left|280px|thumb|Piscine Saint-Georges]]
 
La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, [[rue Victor Hugo]]. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...  
Eugène Marie Pinault, fils de Jean Marie Joseph Thomas Pinault, docteur en médecine, et de Désirée Jeanne Marie Brisou, après une licence en droit, prend la direction d’une tannerie rennaise.
Après avoir été député de l'arrondissement de Montfort-sur-Meu de 1876 à 1889, il est élu sénateur d'Ille-et-Vilaine en octobre 1901 après la mort de Louis Grivart, ancien ministre, sénateur depuis 1893.


[[Eugène Pinault|Lire la suite]]
[[Piscine Saint-Georges|Lire la suite]]


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<big>[[Mémoire et Vécus du Quartier Villejean]]</big>
<big>[[Halles centrales]]</big>
[[Fichier:Bâtiments université rennes 2.jpeg|right|150px]]
[[Fichier:Halles côté bd de la Liberté171.jpg|right|250px|Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)]]
 
Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la [[Place Honoré Commeurec]]. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints.  
La Maison des Mots-Arts, association de lutte contre l’illettrisme et de promotion de la lecture et de l’écriture par des supports artistiques, a animé un atelier d’échange de paroles et de recueil de témoignages en 2013, à destination des habitants du quartier de Villejean, notamment avec les habitants seniors, résidant à la Maison de Retraite Raymond Thomas et en partenariat avec le centre de loisirs Andrée Chédid.
[[Halles centrales|Lire la suite]]
 
[[Mémoire et Vécus du Quartier Villejean|Lire la suite]]


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<big>[[La Maison des Mots-Arts]]</big>
Créée en novembre 2000, La Maison des Mots-Arts est une association de lutte contre l’illettrisme et de promotion du livre et du monde de l’écrit en particulier pour un public de faibles lecteurs de tous âges.
[[La Maison des Mots-Arts|Lire la suite]]

Version du 26 mai 2020 à 14:45

Opéra

L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)

Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...

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Libération de Rennes

Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.

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Piscine Saint-Georges

Piscine Saint-Georges

La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, rue Victor Hugo. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...

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Halles centrales

Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)

Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la Place Honoré Commeurec. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints. Lire la suite