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<big>[[Libération de Rennes]]</big>
<big>[[Opéra]]</big>
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|200px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août. [35]]]
[[Fichier:Theatre de rennes 1892 e.maignen.jpg|left|250px|thumb|L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)]]
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement. La ville est sans lait."[2] et il y eut le 18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes.  
Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...
 


[[Libération de Rennes|Lire la suite]]
[[Opéra|Lire la suite]]


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<big>[[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]]</big>
<big>[[Libération de Rennes]]</big>
[[Fichier:Conseils aux francais.jpeg|right|150px]]
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|230px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.]]
En 1943 et dès le début de 1944 (8 janvier, 23 février au soir...) des B-17 d'un "Special Leaflet Squadron" lâchent des tracts sur la région rennaise donnant des "conseils aux Français" notamment éviter de demeurer dans le voisinage de lieux stratégiques. Rennes est une des villes "spécialement favorisées" par ces lancements au premier trimestre 1944.[1] La vie continue ces premiers mois de 1944, ponctuée d'alertes de jour comme de nuit, mais sans les grands bombardements de l'année précédente.
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.  
 
[[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944|Lire la suite]]
 
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<big>[[Groupe mémoire Baud-Chardonnet]]</big>
[[Fichier:Au fil de leau3.jpeg|250px|right]]
 
La ZAC Baud-Chardonnet, située plaine de Baud à Rennes, accueillera à terme un nouveau quartier de 2.500 logements et de nombreux équipements (école, commerces, Foyer de Jeunes Travailleurs, Archives municipales…). Le site de la plaine de Baud est riche d'un passé qu'il est important de connaître et valoriser, auprès des futurs habitants et plus généralement de l'ensemble des Rennais.
 
 
[[Groupe mémoire Baud-Chardonnet|Lire la suite]]


[[Libération de Rennes|Lire la suite]]


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<big>[[Isidore Odorico et le Stade rennais]]</big>
<big>[[Piscine Saint-Georges]]</big>
[[Fichier:Isidore Odorico.jpg|right|100px]]
[[Fichier:Rennes-Piscine Saint-Georges.jpg|left|280px|thumb|Piscine Saint-Georges]]
 
La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, [[rue Victor Hugo]]. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...  
Isidore Odorico, célèbre mosaîste, fut joueur dans l'équipe du lycée de garçons de Rennes puis joua au Stade rennais université club de 1912 à 1925 où il gagne enfin sa place dans l'équipe première.  


[[Isidore Odorico et le Stade rennais|Lire la suite]]
[[Piscine Saint-Georges|Lire la suite]]


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<big>[[Halles centrales]]</big>
<big>[[Famine en 1662]]</big>
[[Fichier:Halles côté bd de la Liberté171.jpg|right|250px|Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)]]
 
Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la [[Place Honoré Commeurec]]. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints.  
L'année 1662, outre d'une inondation de la basse ville, Rennes souffrit de la famine, comme toute la France d'ailleurs. Le blé seigle et le pain sont d'une grande cherté. Le mardi 4 juillet, vers 10 heures, des femmes qui avaient frappé l'évêque de Rennes, de la Vieuville, qui sortait du Palais, furent emprisonnées et, vers six heures du soir, des habitants de la basse ville voulurent se révolter contre "Messieurs du Parlement", disant qu'on les laissait mourir de faim faute de leur donner du blé détenu en grande quantité dans Rennes par les "gableurs".
[[Halles centrales|Lire la suite]]
 
[[Famine en 1662|Lire la suite]]


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Version du 26 mai 2020 à 15:45

Opéra

L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)

Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...

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Libération de Rennes

Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.

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Piscine Saint-Georges

Piscine Saint-Georges

La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, rue Victor Hugo. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...

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Halles centrales

Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)

Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la Place Honoré Commeurec. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints. Lire la suite