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<big>[[Le Vigan]]</big>
<big>[[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944]]</big>
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À dix-sept ans, Pierre Herbart est employé dans une compagnie d'électricité, Thomson Houston, à Paris, puis est incorporé dans les troupes de Lyautey au Maroc en 1923, occasion de voyager en Afrique du Nord, au Sénégal puis au Mali et au Niger. L'année suivante il rencontre Jean Cocteau auquel il voue une grande admiration puis André Gide, dont il épouse une ancienne compagne.
En 1943 et dès le début de 1944 (8 janvier, 23 février au soir...) des B-17 d'un "Special Leaflet Squadron" lâchent des tracts sur la région rennaise donnant des "conseils aux Français" notamment éviter de demeurer dans le voisinage de lieux stratégiques. Rennes est une des villes "spécialement favorisées" par ces lancements au premier trimestre 1944.[1] La vie continue ces premiers mois de 1944, ponctuée d'alertes de jour comme de nuit, mais sans les grands bombardements de l'année précédente. Ainsi la Rennaise Mme V. Ladam note-t-elle qu'au 29 avril "un bruit terrible de bombardement effraye la ville. C'est le camp d'aviation de Saint-Jacques qui reçoit la visite de forteresses volantes. Il n'y a pas eu de victimes civiles françaises". [2] Dans la nuit du 7 au 8 mai, le réveil va être brutal pour tous, et meurtrier pour les habitants de Bruz qui ne s'attendaient pas à ce qui va tomber du ciel.  


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[[Bombardement de Bruz du 8 mai 1944|Lire la suite]]


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Version du 25 mai 2016 à 09:36

Bombardement de Bruz du 8 mai 1944

Conseils aux francais.jpeg

En 1943 et dès le début de 1944 (8 janvier, 23 février au soir...) des B-17 d'un "Special Leaflet Squadron" lâchent des tracts sur la région rennaise donnant des "conseils aux Français" notamment éviter de demeurer dans le voisinage de lieux stratégiques. Rennes est une des villes "spécialement favorisées" par ces lancements au premier trimestre 1944.[1] La vie continue ces premiers mois de 1944, ponctuée d'alertes de jour comme de nuit, mais sans les grands bombardements de l'année précédente. Ainsi la Rennaise Mme V. Ladam note-t-elle qu'au 29 avril "un bruit terrible de bombardement effraye la ville. C'est le camp d'aviation de Saint-Jacques qui reçoit la visite de forteresses volantes. Il n'y a pas eu de victimes civiles françaises". [2] Dans la nuit du 7 au 8 mai, le réveil va être brutal pour tous, et meurtrier pour les habitants de Bruz qui ne s'attendaient pas à ce qui va tomber du ciel.

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Isidore Odorico et le Stade rennais

Isidore Odorico.jpg

Isidore Odorico, célèbre mosaîste, fut joueur dans l'équipe du lycée de garçons de Rennes puis joua au Stade rennais université club de 1912 à 1925 où il gagne enfin sa place dans l'équipe première.

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Place Saint-Germain

La plaque de rue de la Place Saint-Germain de Rennes.jpeg

La place Saint-Germain se situe près de la place du Parlement et de la place de la Mairie de Rennes. Elle donne sur la Vilaine que l'on peut franchir par la passerelle pour piétons construite en 1993.

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Famine en 1662

L'année 1662, outre d'une inondation de la basse ville, Rennes souffrit de la famine, comme toute la France d'ailleurs. Le blé seigle et le pain sont d'une grande cherté. Le mardi 4 juillet, vers 10 heures, des femmes qui avaient frappé l'évêque de Rennes, de la Vieuville, qui sortait du Palais, furent emprisonnées et, vers six heures du soir, des habitants de la basse ville voulurent se révolter contre "Messieurs du Parlement", disant qu'on les laissait mourir de faim faute de leur donner du blé détenu en grande quantité dans Rennes par les "gableurs".

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Le Trousse-Chemise de Langan

Langan Goodgie s.JPG

Le café chantant de Langan, un cabaret rural, aura vu passer de nombreux artistes de la chanson française : Reggiani, Marcel Amont, Yves Duteil, Stone et Charden, Fred Méla, Daniel White, Marie-Paul Belle, Michel Barillet. Leny Escudero, Gilles Servat, Dave, Nicoletta, etc.

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