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<big>[[Libération de Rennes]]</big>
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Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement. La ville est sans lait."[2] et il y eut le 18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes.  
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement. La ville est sans lait."[2] et il y eut le 18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes.  



Version du 17 octobre 2016 à 13:21

Libération de Rennes

Rennes fete sa liberation.jpeg

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement. La ville est sans lait."[2] et il y eut le 18 juin 1944 : un dimanche ensoleillé et des bombes.


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Bombardement de Bruz du 8 mai 1944

Conseils aux francais.jpeg

En 1943 et dès le début de 1944 (8 janvier, 23 février au soir...) des B-17 d'un "Special Leaflet Squadron" lâchent des tracts sur la région rennaise donnant des "conseils aux Français" notamment éviter de demeurer dans le voisinage de lieux stratégiques. Rennes est une des villes "spécialement favorisées" par ces lancements au premier trimestre 1944.[1] La vie continue ces premiers mois de 1944, ponctuée d'alertes de jour comme de nuit, mais sans les grands bombardements de l'année précédente.

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Groupe mémoire Baud-Chardonnet

Au fil de leau3.jpeg

La ZAC Baud-Chardonnet, située plaine de Baud à Rennes, accueillera à terme un nouveau quartier de 2.500 logements et de nombreux équipements (école, commerces, Foyer de Jeunes Travailleurs, Archives municipales…). Le site de la plaine de Baud est riche d'un passé qu'il est important de connaître et valoriser, auprès des futurs habitants et plus généralement de l'ensemble des Rennais.


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Isidore Odorico et le Stade rennais

Isidore Odorico.jpg

Isidore Odorico, célèbre mosaîste, fut joueur dans l'équipe du lycée de garçons de Rennes puis joua au Stade rennais université club de 1912 à 1925 où il gagne enfin sa place dans l'équipe première.

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Famine en 1662

L'année 1662, outre d'une inondation de la basse ville, Rennes souffrit de la famine, comme toute la France d'ailleurs. Le blé seigle et le pain sont d'une grande cherté. Le mardi 4 juillet, vers 10 heures, des femmes qui avaient frappé l'évêque de Rennes, de la Vieuville, qui sortait du Palais, furent emprisonnées et, vers six heures du soir, des habitants de la basse ville voulurent se révolter contre "Messieurs du Parlement", disant qu'on les laissait mourir de faim faute de leur donner du blé détenu en grande quantité dans Rennes par les "gableurs".

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