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<big>[[Bombardement du 17 juin 1940]]</big>
<big>[[Bombardement du 17 juin 1940]]</big>
== 16 juin, un étrange dimanche dans Rennes encombrée ==
[[Fichier:Triage bombardé.jpg|right|250px|thumb|Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie]]
[[Fichier:Triage bombardé.jpg|right|250px|thumb|Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie]]
Le dimanche 16 juin 1940, le journal l'''Ouest-Eclair'' publie en première page un article rassurant sur l'efficacité de « nos bombardiers contre « leurs » chars : ils se comptèrent avec des rires et partirent pour la troisième fois. ». En page 3, sous la rubrique Rennes, un article « circulation et cartes d'identité » indique que, vu l'afflux, [[quai Emile Zola]], où une photo montre la foule des demandeurs de la carte d'identité nécessaire pour circuler sur les routes et en chemin de fer, un second bureau est ouvert au 40 [[rue Vasselot]] à l'école de Préapprentissage. On lit aussi que, sur ordre de l'autorité militaire, les communications téléphoniques émanant des cafés, hôtels et restaurants sont supprimées et il est interdit de servir les clients aux terrasses. Il est aussi rappelé aux membres de la défense passive de Rennes qu'ils ne doivent sous aucun prétexte quitter la ville.
Le dimanche 16 juin 1940, le journal l'''Ouest-Eclair'' publie en première page un article rassurant sur l'efficacité de « nos bombardiers contre « leurs » chars : ils se comptèrent avec des rires et partirent pour la troisième fois. ». En page 3, sous la rubrique Rennes, un article « circulation et cartes d'identité » indique que, vu l'afflux, [[quai Emile Zola]], où une photo montre la foule des demandeurs de la carte d'identité nécessaire pour circuler sur les routes et en chemin de fer, un second bureau est ouvert au 40 [[rue Vasselot]] à l'école de Préapprentissage. On lit aussi que, sur ordre de l'autorité militaire, les communications téléphoniques émanant des cafés, hôtels et restaurants sont supprimées et il est interdit de servir les clients aux terrasses. Il est aussi rappelé aux membres de la défense passive de Rennes qu'ils ne doivent sous aucun prétexte quitter la ville.

Version du 14 janvier 2021 à 12:07

Bombardement du 17 juin 1940

Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie

Le dimanche 16 juin 1940, le journal l'Ouest-Eclair publie en première page un article rassurant sur l'efficacité de « nos bombardiers contre « leurs » chars : ils se comptèrent avec des rires et partirent pour la troisième fois. ». En page 3, sous la rubrique Rennes, un article « circulation et cartes d'identité » indique que, vu l'afflux, quai Emile Zola, où une photo montre la foule des demandeurs de la carte d'identité nécessaire pour circuler sur les routes et en chemin de fer, un second bureau est ouvert au 40 rue Vasselot à l'école de Préapprentissage. On lit aussi que, sur ordre de l'autorité militaire, les communications téléphoniques émanant des cafés, hôtels et restaurants sont supprimées et il est interdit de servir les clients aux terrasses. Il est aussi rappelé aux membres de la défense passive de Rennes qu'ils ne doivent sous aucun prétexte quitter la ville.

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Opéra

L'arroseur municipal lave la place avec une lance branchée sur une bouche de distribution d'eau en ce jour d'été. (Fonds E.Maignen-1892)

Le théâtre de Rennes, dont l'architecte fut Charles Millardet, a été bâti par Pierre Louise à l'emplacement de l'ancienne place aux Arbres qui faisait face à l'hôtel de ville, côté est de la place de la Mairie. Cette place, remblayée avec des décombres de l'incendie de 1720 était plantée de tilleuls. À l'origine, et suite au projet de l'hôtel de ville, l'architecte Jacques Gabriel dessine en 1730 l'hôtel particulier du gouverneur de la province. Son emplacement stratégique, entre l'hôtel de ville et le palais du Parlement de Bretagne, aurait ainsi permis au gouverneur de veiller au grain...

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Libération de Rennes

Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.

Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.

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Piscine Saint-Georges

Piscine Saint-Georges

La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, rue Victor Hugo. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...

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Halles centrales

Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)

Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la Place Honoré Commeurec. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints. Lire la suite