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Le 18 novembre [[1918]], le maire [[Jean Janvier]] lit un rapport daté du 11 proposant la réalisation d'un panthéon  aux "Enfants de la capitale de la Bretagne qui avaient versé leur sang pour la France" pendant la Grande Guerre. [[Emmanuel Le Ray]], architecte de la ville, est chargé de la réalisation. Après trois appels dans la presse locale, 200 familles se sont manifestées et l'on recense 936 noms. L'inauguration eut lieu le dimanche 2 juillet [[1922]]<ref>''Le Panthéon rennais, symbole au coeur de la Mairie'',par David Bensoussan, dans Place publique, n° 30 - juillet-août 2014.</ref>.
Le 18 novembre [[1918]], le maire [[Jean Janvier]] lit un rapport daté du 11 proposant la réalisation d'un panthéon  aux "Enfants de la capitale de la Bretagne qui avaient versé leur sang pour la France" pendant la Grande Guerre. [[Emmanuel Le Ray]], architecte de la ville, est chargé de la réalisation. Après trois appels dans la presse locale, 200 familles se sont manifestées et l'on recense 936 noms. L'inauguration eut lieu le dimanche 2 juillet [[1922]]<ref>''Le Panthéon rennais, symbole au coeur de la Mairie'',par David Bensoussan, dans Place publique, n° 30 - juillet-août 2014.</ref>.


Y seront ajoutés les noms des Rennais morts pour la France durant le conflit 1939-1945.
Y seront ajoutés les noms des Rennais morts pour la France durant le conflit 1939-1945. Sur le pourtour sous corniche court une frise portant les noms de maréchaux et généraux s'étant illustrés pendant la guerre 1914-18 mais celui du maréchal Pétain est occulté.


==Notes et références==
==Notes et références==

Version du 17 août 2019 à 10:46

Le Panthéon rennais.
L'inauguration (Ouest-Éclair du 3 juillet 1922

Le Panthéon rennais est un lieu original en France hormis le grand éponyme parisien et national.

Un tableau de la frise de Camille Godet.

Il s'agit d'une salle donnant dans le péristyle nord de l'hôtel de ville de Rennes consacrée à la Mémoire des morts pour la France originaires de Rennes.

Les murs de la salle sont couverts de plaques de marbre portant gravés les noms des Rennais morts pour la France et surmontées d'une frise de 26 mètres de longueur sur 1,60 mètre de hauteur, oeuvre du Rennais Camille Godet, représentant divers types de soldats français et alliés, parmi lesquels ceux du 41e régiment d'infanterie basé à Rennes.

Le 18 novembre 1918, le maire Jean Janvier lit un rapport daté du 11 proposant la réalisation d'un panthéon aux "Enfants de la capitale de la Bretagne qui avaient versé leur sang pour la France" pendant la Grande Guerre. Emmanuel Le Ray, architecte de la ville, est chargé de la réalisation. Après trois appels dans la presse locale, 200 familles se sont manifestées et l'on recense 936 noms. L'inauguration eut lieu le dimanche 2 juillet 1922[1].

Y seront ajoutés les noms des Rennais morts pour la France durant le conflit 1939-1945. Sur le pourtour sous corniche court une frise portant les noms de maréchaux et généraux s'étant illustrés pendant la guerre 1914-18 mais celui du maréchal Pétain est occulté.

Notes et références

  1. Le Panthéon rennais, symbole au coeur de la Mairie,par David Bensoussan, dans Place publique, n° 30 - juillet-août 2014.