« Quai Chateaubriand » : différence entre les versions

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Au n°5, on remarque le bel immeuble de style néo-Renaiissance, dont la façade fut sculptée par l'artiste rennais Jean-Baptiste Barré <ref> [[Rue Jean-Baptiste Barré]]</ref>
Au n°5, on remarque le bel immeuble de style néo-Renaiissance, dont la façade fut sculptée par l'artiste rennais Jean-Baptiste Barré <ref> [[Rue Jean-Baptiste Barré]]</ref>
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===références===
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<references/>
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Version du 3 octobre 2012 à 09:11


Le pont Saint-Georges, à l'emplacement du futur pont Pasteur, et le quai Chateaubriand avec le "tortillard", vers 1905. E. Mary-Rousselière, éd.
Le quai Chateaubriand avec l'entrée de la place Saint-Germain, dont les vieux immeubles, en arrière de ceux du quai, seront détruits lors du bombardement du 9 juin 1944. photo vers 1895 d'Etienne Maignen

Le quai Chateaubriand, construit entre 1841 et 1846, comme toute les lignes des quais, relie, en rive droite de la Vilaine canalisée, la rue Gambetta et le pont Pasteur à la rue Jean-Jaurès.

Une façade vue par les touristes - et la carte postale -comme d'époque Renaissance.[1]

Il fut d'abord appelé quai Saint-Georges jusqu'à la place Saint-Germain et quai de Berlin jusqu'à l'actuel pont Jean-Jaurès. 30 000 monnaies romaines du 4e siècle furent découvertes lors des travaux dans le lit de la Vilaine. Les quais de la rive droite étaient parcourus par le petit train des T.I.V., le tortillard.[2]

Au n°5, on remarque le bel immeuble de style néo-Renaiissance, dont la façade fut sculptée par l'artiste rennais Jean-Baptiste Barré [3]

Photo de juillet 1940 : des lavandières au bas des marches des escaliers des quais[4]

références

  1. éd. Lévy et Neurben réunis, Paris
  2. Le Vieux Rennes, par Paul Banéat, J. Larcher, éd. -1911
  3. Rue Jean-Baptiste Barré
  4. journal l'Ouest-Eclair du 21 juillet 1940