Rennes Wikipedia-logo-v2.svg est la capitale de la Région Bretagne et chef-lieu du département de l’Ille-et-Vilaine. Avec Nantes, elle est l'une des capitales historiques du duché de Bretagne et la capitale administrative d'une région Bretagne limitée à quatre départements. Elle se situe dans l’est de la Bretagne, à la confluence de l’Ille et de la Vilaine.

Rennes,Chantepie, Cesson-Sévigné, Saint-Grégoire, Montgermont ,Vezin-le-Coquet, nord de Saint-Jacques-de-la Lande, vus de 14 km d'altitude, en approche par le sud-est
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Pallé d'argent et de sable, au chef d'argent, chargé de cinq mouchetures d'hermine

Au 1er janvier 2017, la population légale municipale de Rennes, chiffres en vigueur au 1er janvier 2020, est de 216 815 (215 366 habitants au 1er janvier 2015) déterminant une hausse de + 0,7 % par an, +6955 en 5 ans. Rennes est la principale commune, ville centre de Rennes Métropole qui comprenait 43 communes et 447 449 habitants au 1er janvier 2017, tandis que l'aire urbaine de Rennes s'étend sur 190 communes avec 710 000 habitants. Rennes est aussi la 12e aire métropolitaine de France. Il s'agit de la ville de France qui compte le plus haut pourcentage de nouveaux arrivants (7,6%) avant Nancy, Montpellier, Paris et Toulouse, et parmi les nouveaux arrivants celle qui compte le plus haut pourcentage de jeunes de 18 à 24 ans (39%)[1].

Voir Rennes en chiffres.

Situation

Excentrée au niveau national et européen, Rennes l'est aussi au niveau régional. Située à moins de 50 km de la limite orientale de la Bretagne à La Gravelle, Rennes se situe à plus de 250 km de l'île d’Ouessant. En distance orthodromique, elle est ainsi plus proche de Tours (194 km) que de Brest (210 km) et plus proche de Caen (154 km) que de Quimper (180 km). Éloignée de toute frontière terrestre, la ville n'est cependant qu'à 120 km de l'île anglo-normande de Jersey. Rennes est la seule ville bretonne de plus de 25 000 habitants qui ne soit pas située en bord de mer ou d'estuaire. Elle est plus proche des côtes de la Manche (64 km) que de celles de l’océan Atlantique (90 km).

Classée en haut

Sans accorder une valeur absolue aux divers classements des villes et métropoles organisés par des organismes ou des revues et magazines, il est préférable et significatif pour une ville d'y figurer aux premières places qu'aux dernières. Rennes apparaît régulièrement dans les premières des classements nationaux. [2]

La ville de Rennes arrive en tête des agglomérations de 200 000 à 500 000 habitants les plus favorables pour entreprendre, devant Montpellier et Grenoble[3]. En matière d'opportunité pour les investisseurs immobiliers Rennes est 3e sur le podium, après Montpellier et Nantes, devant Tours, Toulouse et Angers, par le classement du Figaro immobilier de juin 2018 "Rennes sait faire du neuf avec du vieux". À commencer par le nouveau centre névralgique de son écosystème. Le Mabilay, cet impressionnant navire de béton de 16 000 mètres carrés de bureaux situé en centre-ville, s'est, étonnamment, mué en QG de la French Tech Rennes.

Rennes a été élue capitale de la biodiversité 2016 parmi 72 collectivités candidates.

Elle est la 6e des villes les plus vertes de France en 2017, et est classée première, en matière d'actions en faveur d’un entretien plus écologique des espaces verts et par une politique efficace de gestion des déchets verts sur le périmètre de sa commune.(Observatoire des Villes Vertes Palmarès des Villes Vertes 2017)

Le classement 2016 mondial des villes préférées par les étudiants accueillis grâce au programme Erasmus classe Rennes en bonne position (73ème place), derrière Paris (36ème), mais devant Lyon (89ème), Bordeaux (155ème) ou encore Nantes (178ème).

Le palmarès des villes étudiantes de la revue L'Étudiant classe depuis plusieurs années Rennes dans les premières positions des 44 villes étudiantes comparées (2e position en 2016/2017), elle est en 3e position en 2020/21, derrière Toulouse et Lyon, en raison de ses formations et de son attractivité. L'enquête souligne une université prestigieuse dans toutes les filières, plus de 65 000 étudiants essaimés dans toute l’agglomération, et note que Rennes est la capitale universitaire du grand Ouest. Avec près de 70 000 étudiants, elle est la 7e ville universitaire de France (hors Ile-de-France).

Selon Le classement 2018 de l'Express des villes où il fait bon vivre, Rennes [4]est la 1re ville de France où il fait bon vivre (7e en 2017) et la 2e où l'on travaille le mieux après Nantes. Les raisons : une vie culturelle riche, des établissements médicaux de haut niveau, de bonnes universités, un cœur ancien animé, un logement abordable, une délinquance contrôlée[5]. Ce journal classe Rennes 5e des villes où il fait bon entreprendre, derrière Lyon, Bordeaux, Nantes et Lille et observe que Rennes est la seule en France à figurer dans tous les 5 premiers des classements[6] et, en 2018 classe Rennes 5e ville la plus attractive derrière Angers, Poitiers, Brest et Limoges. [7]

Une étude menée auprès des actifs de treize métropoles par Régions Job, ParisJob et le cabinet Hays classe Rennes en 4e place derrière Lyon, Nantes et Toulouse, devant Strasbourg. [8] En 2018 Rennes est classée 2e des villes de France les plus attractives pour les affaires (après Nantes) par la revue Challenges, la ville a gagné deux places par rapport au baromètre 2017. Elle se classe 2e des sous-catégories bilan économique, résilience et dynamique économique et 3e en dynamisme démographique et présence de talents, potentiel d'innovation et infrastructures nationales de transport.[9] Rennes est classée 6e en attractivité en 2019, après Strasbourg, Bordeaux, Nantes, Lyon, Toulouse? ( selon les critères : dynamisme économique, 4G, transports, qualité de vie. [10] – La ville est aussi le bon choix en termes de débouchés : le chômage y sévit moins qu’ailleurs et le nombre d’emplois de son bassin économique a connu une croissance à deux chiffres durant la dernière décennie.

– Des déplacements faciles en transports en commun, des logements en nombre et peu onéreux, une vie culturelle et festive intense, Rennes a toutes les qualités de la grande ville universitaire.

Pour la qualité de vie d'après une étude menée par la commission européenne, Rennes est la ville française la mieux placée par ses habitants. Rennes se classe 28e sur 80 au niveau européen, ce qui relativise son « titre » national. C’est Zurich, en Suisse, qui remporte le plus de suffrages devant la capitale norvégienne Oslo et Belfast, en Irlande du Nord. Bordeaux (33e) et Strasbourg (40e) sont également bien classées. D’après cette enquête de l’Express, la ville idéale doit proposer un véritable marché de l’emploi, une vie culturelle riche, des établissements et universitaires médicaux réputés, un centre-ville animé, tout en pouvant se loger sans se ruiner ! Et si la ville est bien reliée à Paris, c’est encore mieux ! Et c’est la ville de Rennes qui remplit le plus grand nombre de critères puisqu’elle est non seulement la 3e meilleure ville où travailler, mais également la 7e ville pour la qualité de vie.

Rennes est la 6e ville d’Europe pour la satisfaction au travail selon une enquête réalisée par l’office de statistiques de l’Union européenne Eurostat, en 2015, sur la perception que les Européens ont de leur situation professionnelle. Rennes est la 6e ville d’Europe où on peut trouver le plus d’habitants ravis d’aller travailler chaque semaine (78%), derrière Graz en Autriche, Zurich en Suisse, Reykjavík en Islande, Vienne en Autriche et Copenhague au Danemark. Pour la France, Paris est 8e, Bordeaux 12e et Strasbourg 14e.

La France possède 14 villes dans le classement d’Uniplaces et parmi celles-ci Rennes est classée 3e. En effet au classement mondial Paris pointe à la 36e place, suivie de Strasbourg (53e), Rennes (73e), Toulouse (75e), Lyon (89e), Lille (92e), Montpellier (103e), Bordeaux (155e), Nice (177e), Nantes (178e).

Le site MeilleursAgents.com classe en 2018 les dix plus grandes villes où il est intéressant d'acheter : Rennes est classée 1re devant Nantes, Lyon, Paris, Toulouse, Lille Strasbourg...

Histoire

Préhistoire et Antiquité

 
Vestige des fortifications et architecture contemporaine de Rennes.

Vers le IIe siècle av. J.-C., la ville aurait été fondée par la tribu des Riedones   qui choisit le site du confluent de l'Ille et de la Vilaine pour capitale, et prend le nom gaulois Kendaith, ce qui signifie « confluent » en gaulois). Romanisé en Condate (d'autres sources, plus récentes, mettent en doute les interprétations passées, et indiquent une fondation au Ier siècle), sur la butte au-dessus du confluent (actuel emplacement de la Cathédrale Saint-Pierre)[11].

Durant la pax romana, la ville, chef-lieu des Riedones   et garnison militaire, devient Rednes et se développe jusqu'à occuper un territoire de 80 à 100 hectares[12]. Vers le IIIe siècle, des remparts sont érigés pour protéger la ville, dans une emprise considérablement réduite (8 hectares), des attaques barbares, fréquentes à cette époque. La ville évangélisée dès la fin du Ier siècle reçoit son premier évêque vers 358.

Moyen Âge

 
Rennes devient au IXe siècle une ville d'importance dans le nouveau royaume de Bretagne.

Erispoë  , fils de Nominoë  , inflige en août 851 une défaite cuisante à Charles le Chauve   lors de la bataille de Jengland  . Ce dernier, par le traité d'Angers, reconnaît Erispoë comme roi de Bretagne, cette dernière étant dans le même temps augmentée des comtés de Rennes et de Nantes ainsi que du pays de Retz. Rennes passe ainsi du statut de ville franque mineure et excentrée à celui de l'une des principales villes du nouveau royaume de Bretagne André Chédeville, De la cité à la ville, in Histoire de Rennes, PUR, p. 54.,

À cette occasion, Erispoë   se voit reconnaître la qualité de roi des Bretons, avec en sus la donation en bénéfice des comtés de Nantes et Rennes. C'en est donc fini de l'ancienne marche de Bretagne, ou plutôt elle passe à présent sous le contrôle politique de ceux-là même qu'elle devait contenir ! En contrepartie, Erispoë devient le fidèle du roi franc et s'engage à ne plus troubler dorénavant la paix en France occidentale (cf. J.-Ch. Cassard, p. 33).

 
Rennes fut le refuge d'Anne de Bretagne au XVe siècle.

La ville, comprise dans le comté franc de Marche de Bretagne  , est progressivement intégrée au duché de Bretagne et devient rapidement une ville ducale. Au XVe siècle, Rennes consolide l'enceinte primitive gallo-romaine. Dans ce même siècle, deux enceintes successives agrandiront la ville.

Toujours au XVe siècle, Rennes fut le refuge d'Anne de Bretagne, héritière du duc François II de Bretagne. Alors en très mauvaise posture, elle se réfugia à Rennes où elle fut couronnée duchesse de Bretagne dans la Cathédrale Saint-Pierre le 10 février 1489.

 
 
Le parlement de Bretagne à Rennes en 1553; Carte de 1719
 
Rennes, capitale de la province en 1789
 
Le centre vu d'est (du pont Pasteur) à l'ouest (pont de Bretagne)

Époque moderne

Au XVIe siècle, après le rattachement du duché de Bretagne au royaume de France en 1532 par l'édit de Vannes, la ville devient le siège du Parlement de Bretagne, et donc capitale provinciale. Les fortifications élevées contre les Français et les Anglais deviennent inutiles et sont lentement démantelées jusqu'au milieu du XIXe siècle.

Le 13 mars 1589, la Journée des barricades vit le triomphe des ligueurs.

En 1720, un incendie détruit les trois quarts de la ville. La reconstruction sera l'occasion de repenser la ville selon l'urbanisme et l'esthétisme du XVIIIe siècle.

La Journée des Bricoles (26 et 27 janvier 1789) est considérée comme étant un événement préalable à la Révolution française.

En 1806, l'Amiral de Villeneuve de retour de la bataille de Trafalgar séjourna quelques jours rue des Foulons (au 21, de nos jours rue Le Bastard). Il y trouva la mort le 22 avril. Il s'y serait suicidé mais un doute persiste sur un possible assassinat[13].

Époque contemporaine

 
L'avenue Janvier au début du XXe siècle, conduisant de la gare au jardin Saint-George (vu de ce dernier).

En 1857, l'arrivée du chemin de fer à Rennes, au sud de la ville, permet le développement urbain entre la ville « noble » située au nord de la Vilaine et la gare située au sud de la partie insalubre de la ville. En 1892 Adolphe Orain écrivait : "Sa population augmente sans cesse, puisqu’elle a atteint en 1891 le chiffre énorme de 68.000 âmes, et sa quatrième enceinte qui n’est peut-être pas la dernière, est aujourd’hui représentée par les boulevards extérieurs, boulevard de l’Ouest, boulevard de l’Est, boulevard du Nord. Au sud, des faubourgs nouveaux s’élèvent chaque jour derrière la gare"[14].

En 1899, la révision du procès d'Alfred Dreyfus a lieu à Rennes dans l'actuel lycée Émile Zola.

Le 7 août 1932, un attentat détruit le monument, niché dans la façade de la mairie, symbolisant l’union de la Bretagne à la France. L'attentat est revendiqué par une organisation indépendantiste, Gwenn ha Du (blanc et noir, soit les couleurs du drapeau breton). Pour ce petit groupe de clandestins, la statue de Jean Boucher est considérée comme le « monument de la honte nationale » depuis son inauguration en 1911. Ils n'acceptent pas l'attitude jugée humiliante de la duchesse Anne de Bretagne agenouillée devant Charles VIII, roi de France[15]. La statue ne sera jamais reconstruite.


Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est occupée le lendemain du bombardement du 17 juin 1940 par les Allemands. Elle subit de nombreux bombardements dont celui du 8 mars 1943, lorsque l’aviation américaine pilonne la ville d’une hauteur de 6000 mètres, tuant près de 300 personnes[16], puis le bombardement du 29 mai 1943, qui, hors cibles, sera particulièrement exploité par la propagande vichyste[17]. Le 8 juin 1944, les Martin B-26 Marauder   pilonnent la gare de triage utilisée par la 17e Panzerdivision  . Le 9 juin, la Royal Air Force   vise des cibles stratégiques allemandes, remplacée trois jours plus tard par les Boeing B-17 Flying Fortress. Le bilan des bombardements s’élève à 655 victimes[18]. Rennes est libérée le 4 août 1944 par les troupes du général George Patton. À partir des années 1950, la ville connaît un développement important lié notamment à l'exode rural et à une industrialisation nouvelle comme l'usine Citroën implantée au sud de la ville, qui compta jusqu'à 13000 salariés dans les années 1970.

Profitant de sa position de capitale régionale, la ville est actuellement reconnue pour être une ville jeune, dynamique, festive avec de nombreux événements sportifs et culturels ayant lieu toute l'année. Les activités de pointe dans les télécommunications, les réseaux, l'image et les transmissions, la réalité augmentée, sont également très présentes dans la ville devenue une métropole de 444 000 habitants. [19]

Symboles de la ville

Logotypes

Modèle:Blason-ville

Drapeaux

 
Drapeau courant de la ville de Rennes.

La plus ancienne mention connue d'un drapeau rennais (début XVIe siècle) montre l'écu municipal (palé d'argent et de sable de six pièces, au chef d'argent chargé de trois mouchetures d'hermine de sable) sur un fond jaune bistre[20]. Plus récemment, diverses variantes ont été utilisées, tant par la municipalité que d'autres organismes rennais. Le dessin ci-contre est le plus courant. Certains pensent que Morvan Marchal s'en est inspiré pour créer le Gwenn-ha-du. Un autre dessin est utilisé par le Bleuñ-Brug du Finistère et semble provenir de la marque du Cercle celtique de Rennes. Une version qui présente l'écu basculé a été reprise par le bagad de Vern-sur-Seiche.

Un drapeau blanc semé d'hermines noires avec les armoiries de la ville au centre a été utilisé sur la mairie de Rennes à l’époque contemporaine[21].

 

Devises

  • Devise moderne de la ville et de la métropole : « Vivre en intelligence ». Pierre-Yves Heurtin, historien et ancien adjoint au maire, explique cette devise par la laïcité qui est l’art de vivre ensemble en laissant la liberté à chacun, dans le respect des autres. [1] .
  • « À ma vie »
  • « Sine macvla » (Sans tache), allusive au chef d’hermine.
  • « Urbs rhedonum incensa, resurgens » (La ville de Rennes brûlée, renaissante), allusive à l’incendie de 1720 qui dévasta la ville.

Timbre

 
Timbre de 1941








Géographie

Quartiers

La ville de Rennes est divisée en douze quartiers administratifs :

  1. Centre,
  2. Thabor - Saint Hélier - Alphonse Guérin,
  3. Bourg-l’Evesque - La Touche - Moulin du Comte,
  4. Saint-Martin,
  5. Maurepas - Bellangerais,
  6. Jeanne d’Arc - Longs-Champs - Beaulieu,
  7. Francisco Ferrer - Landry - Poterie,
  8. Sud-Gare,
  9. Cleunay - Arsenal - Redon,
  10. Villejean - Beauregard,
  11. Le Blosne,
  12. Bréquigny,

Bibliographie

  • La population des quartiers rennais d'après les RGP de 1962, 1968, 1975 et 1982 - Évolution démographique et mobilité résidentielle dans les communes du district, Agence pour l'urbanisme et le développement intercommunal de l'agglomération rennaise, Université Paris X - Nanterre, Simone Noël, septembre 1984. Usuel 304.6 REN aux Champs Libres.

[22]

[23]

  1. Source : INSEE, chiffres 2014
  2. Rennes Métropole
  3. Le classement 2016 L'Entreprise - L'Expansion et Ellisphere
  4. L'Express 19 février 2018
  5. Magazine L'Express, 4 octobre 2017
  6. L'Express, 31 janvier 2019
  7. L'Express. 13.9.2018
  8. https://www.hellowork.com/enquete-attractivite-des-metropoles/
  9. revue Challenge 9 nov. 2018
  10. Magazine Le Point,12 juin 2019
  11. Jean-Claude Meuret, Les origines : du confluent à Condate, in Histoire de Rennes, PUR, p. 21-22
  12. Jean-Claude Meuret, Les origines : du confluent à Condate, in Histoire de Rennes, PUR, p. 43-44
  13. http://www.histoire-empire.org/marine/la_mort_de_villeneuve.htm
  14. Au Pays de Rennes, Adolphe Orain. éd. Hyacinthe Caillière - 1892
  15. http://www.jean-boucher.org/?d=monuments&p=union_bretagne
  16. Il y a 60 ans... Le bombardement de 1943
  17. Le Gall, Erwan, « Vichy et le bombardement de Rennes », En Envor, consulté le 5 août 2013.
  18. Une petite histoire de la Place Saint-Germain de Rennes
  19. Rennes et la métropole en chiffres
  20. Divi Kervella, Mikael Bodlore-Penlaez, Guide des drapeaux bretons et celtes, Fouenant, Éditions Yoran Embanner, 2008, p. 118, {{#invoke:Biblio|ISBN}}.
  21. Drapeaux de Rennes
  22. Rennes pendant la guerre, chroniques de 1939 à 1945. Étienne Maignen. Éd. Ouest-France - 2013
  23. 1er-4 août 1944:l'étrange libération de Rennes. Étienne Maignen. Éd. Yellow Concept - 2017