« Rue Docteur Regnault » : différence entre les versions
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'''Gustave Regnault''', (1835-docteur en médecine, frère de l'architecte [[ Arthur Regnault]], entra en conflit avec la commission des hospices de Rennes lors de l'expulsion des Carmes de l'hôpital en application de la loi de 1881 sur les congrégations et fut suspendu de ses fonctions et le maire de Rennes, [[Edgar Le Bastard]] aurait même souhaité sa révocation. En 1906, le Dr Regnault prendra 101 000 F. sur sa fortune pour racheter le [[collège Saint-Martin]] et le rendre aux Eudistes.<ref> ''L'Eglise, l'Etat et les architectes, Rennes 1870-1940'', par Hélène Guéné, François Loyer - 1995</ref> | '''Gustave Regnault''', (1835-1919) docteur en médecine, frère de l'architecte [[ Arthur Regnault]], entra en conflit avec la commission des hospices de Rennes lors de l'expulsion des Carmes de l'hôpital en application de la loi de 1881 sur les congrégations et fut suspendu de ses fonctions et le maire de Rennes, [[Edgar Le Bastard]] aurait même souhaité sa révocation. En 1906, le Dr Regnault prendra 101 000 F. sur sa fortune pour racheter le [[collège Saint-Martin]] et le rendre aux Eudistes.<ref> ''L'Eglise, l'Etat et les architectes, Rennes 1870-1940'', par Hélène Guéné, François Loyer - 1995</ref> | ||
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Version du 25 novembre 2011 à 14:58
La rue du Docteur Regnault descend de la rue Saint-Georges à la rue de Corbin.
Au n°8 on remarque l'hôte particulier Bonin de la Villebouquais, aussi appelé hôtel du Halgouët, précédé à l'est d'une grille fermant une cour donnant accès au bâtiment de trois niveaux dont deux en granit et le dernier en calcaire avec deux petites ailes en retour.
Au nom de rue Tassart a succédé en 1923 celui de rue du Dr Regnault, "médecin des pauvres", précise la plaque.
Gustave Regnault, (1835-1919) docteur en médecine, frère de l'architecte Arthur Regnault, entra en conflit avec la commission des hospices de Rennes lors de l'expulsion des Carmes de l'hôpital en application de la loi de 1881 sur les congrégations et fut suspendu de ses fonctions et le maire de Rennes, Edgar Le Bastard aurait même souhaité sa révocation. En 1906, le Dr Regnault prendra 101 000 F. sur sa fortune pour racheter le collège Saint-Martin et le rendre aux Eudistes.[1]
références
- ↑ L'Eglise, l'Etat et les architectes, Rennes 1870-1940, par Hélène Guéné, François Loyer - 1995
