« Rue Gambetta » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
(encore du travail de classement, il en reste beaucoup)
Aucun résumé des modifications
Ligne 6 : Ligne 6 :
Elle a été ainsi baptisé en [[1883]], peu de temps après la mort, le 31 décembre [[1882]], de {{w|Léon Gambetta}}, ancien membre du gouvernement de la Défense nationale en 1870-71 et ancien président de la Chambre des députés.
Elle a été ainsi baptisé en [[1883]], peu de temps après la mort, le 31 décembre [[1882]], de {{w|Léon Gambetta}}, ancien membre du gouvernement de la Défense nationale en 1870-71 et ancien président de la Chambre des députés.


Elle s'appelait précédemment ''rue des Violiers'', déformation de ''voliers'' qui, en latin au Moyen-Âge, signifiait jardins, car elle longeait les jardins du monastère de Saint-Georges<ref>''Les rue de Rennes'', par Lucien Decombe, Alphonse Leroy, éditeur, 1892</ref>.
Elle s'appelait précédemment ''rue des Violiers'', déformation de ''voliers'' qui, en latin au Moyen-Âge, signifiait jardins, car elle longeait les jardins du monastère de Saint-Georges<ref>''Les rue de Rennes'', par Lucien Decombe, Alphonse Leroy, éditeur, 1892</ref>. Au n°13 on remarque peu, en retrait, le petit hôtel de Caradeuc où naquit en 1701 le procureur général au Parlement de Bretagne, Louis René Caradeuc de la Chalotais.


==Notes et références==
==Notes et références==
<references/>
<references/>

Version du 7 novembre 2011 à 11:51

La rue Gambetta part du quai Châteaubriand, longe le jardin Saint-Georges et aboutit à la rue Victor Hugo à son intersection avec le Contour de la Motte qui la prolonge, formant avec elle la dénivellation la plus abrupte du faible relief de la ville de Rennes.

Elle a été ainsi baptisé en 1883, peu de temps après la mort, le 31 décembre 1882, de Léon Gambetta Wikipedia-logo-v2.svg, ancien membre du gouvernement de la Défense nationale en 1870-71 et ancien président de la Chambre des députés.

Elle s'appelait précédemment rue des Violiers, déformation de voliers qui, en latin au Moyen-Âge, signifiait jardins, car elle longeait les jardins du monastère de Saint-Georges[1]. Au n°13 on remarque peu, en retrait, le petit hôtel de Caradeuc où naquit en 1701 le procureur général au Parlement de Bretagne, Louis René Caradeuc de la Chalotais.

Notes et références

  1. Les rue de Rennes, par Lucien Decombe, Alphonse Leroy, éditeur, 1892