« Rue Garin Trousseboeuf » : différence entre les versions

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La rue Garin Trousseboeuf, nom  qui fleure bon le Moyen Âge, relie la [[rue du Vieux Cours]] à la [[rue Tronjolly]].
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La Ville de Rennes a ainsi voulu évoquer un trouvère breton du 11e siècle, dont on sait peu hormis qu'il fut l'auteur d'une chanson de geste, la Chanson d'Aquin, relatant une supposée conquête de la Bretagne par le roi Charlemagne, poème de 3000 vers, exhumé et publié par P. Jaüon des Longrais. <ref> Le ''roman d'Aquin ou la conqueste de la Bretaigne par le roy Charlemaigne'', par P. Jaüon des Longrais. Société de sbibliophiles de Nantes - 1880</ref>
La Ville de Rennes a ainsi voulu évoquer un trouvère breton du 11e siècle, dont on sait peu hormis qu'il fut l'auteur d'une chanson de geste, la Chanson d'Aquin, relatant une supposée conquête de la Bretagne par le roi Charlemagne, poème de 3000 vers, "la seule chanson de geste qui soit incontestablement bretonne," selon Arthur Lemoyne [[de la Borderie]], exhumée et publiée par P. Jaüon des Longrais. <ref> Le ''roman d'Aquin ou la conqueste de la Bretaigne par le roy Charlemaigne'', par P. Jaüon des Longrais. Société des bibliophiles de Nantes - 1880</ref>


===références===
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Version du 8 décembre 2011 à 16:00


La rue Garin Trousseboeuf, nom qui fleure bon le Moyen Âge, relie la rue du Vieux Cours à la rue Tronjolly.

La Ville de Rennes a ainsi voulu évoquer un trouvère breton du 11e siècle, dont on sait peu hormis qu'il fut l'auteur d'une chanson de geste, la Chanson d'Aquin, relatant une supposée conquête de la Bretagne par le roi Charlemagne, poème de 3000 vers, "la seule chanson de geste qui soit incontestablement bretonne," selon Arthur Lemoyne de la Borderie, exhumée et publiée par P. Jaüon des Longrais. [1]

références

  1. Le roman d'Aquin ou la conqueste de la Bretaigne par le roy Charlemaigne, par P. Jaüon des Longrais. Société des bibliophiles de Nantes - 1880