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Sa caractéristique est de donner accès à l'entrée principale du CHU de | Sa caractéristique est de donner accès à l'entrée principale du [[CHU de Pontchaillou]], alors que jusqu'au début des années 1960, l'entrée se situait à l'Est, [[boulevard de Verdun]], dans l'alignement de l'[[avenue du 41ème Régiment d'Infanterie]] et de la [[rue Legraverend]]. | ||
Henri Le Guilloux, né à Saint-Gildas-de-Rhuys le 15 novembre 1906, était militaire de carrière. Contacté par la Résistance en mai 1943, il devient responsable pour l'Ille-et-Vilaine d'un réseau de renseignement. Arrêté par la Gestapo en octobre 1943, il meurt en déportation à Mauthausen le 7 avril 1944. Pendant cette période, sa femme et ses cinq enfants furent hébergés à [[La Harpe]], dans les bâtiments de l'ancienne station météorologique ("la Météo"). | Henri Le Guilloux, né à Saint-Gildas-de-Rhuys le 15 novembre 1906, était militaire de carrière. Contacté par la Résistance en mai 1943, il devient responsable pour l'Ille-et-Vilaine d'un réseau de renseignement. Arrêté par la Gestapo en octobre 1943, il meurt en déportation à Mauthausen le 7 avril 1944. Pendant cette période, sa femme et ses cinq enfants furent hébergés à [[La Harpe]], dans les bâtiments de l'ancienne station météorologique ("la Météo"). | ||
Version du 5 mai 2017 à 09:30
La rue Henri Le Guilloux est une rue située à l'ouest du centre-ville de Rennes. Elle longe la voie ferrée de Saint-Malo depuis le carrefour en patte d'oie qui constitue l'extrémité Est du boulevard Saint Jean-Baptiste de la Salle.
Sa caractéristique est de donner accès à l'entrée principale du CHU de Pontchaillou, alors que jusqu'au début des années 1960, l'entrée se situait à l'Est, boulevard de Verdun, dans l'alignement de l'avenue du 41ème Régiment d'Infanterie et de la rue Legraverend.
Henri Le Guilloux, né à Saint-Gildas-de-Rhuys le 15 novembre 1906, était militaire de carrière. Contacté par la Résistance en mai 1943, il devient responsable pour l'Ille-et-Vilaine d'un réseau de renseignement. Arrêté par la Gestapo en octobre 1943, il meurt en déportation à Mauthausen le 7 avril 1944. Pendant cette période, sa femme et ses cinq enfants furent hébergés à La Harpe, dans les bâtiments de l'ancienne station météorologique ("la Météo").
La rue ne doit pas être confondue avec la rue Louis Guilloux, assez proche.
Sur la carte
Sources
- Vivre à Villejean n° 91, juin 1998.
- Marcelle…raconte, in Villejean, 30 ans d'histoire, p. 36, Association des Résidents de Villejean, 2001.
