Rue Jean-Baptiste Barré

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La rue Jean-Baptiste Barré, axée ouest-est, ouverte en 1929, relie la rue de l'Alma à la rue de Châtillon. La plus ancienne maison de la rue, dite de la Boulais, à étage carré avec comble, située du côté de la rue de Châtillon, est citée dès 1682.[1]

La ville de Rennes rappelle ainsi :

Jean-Baptiste Carré

le médaillon représentant J-B Barré au dessus de sa tombe

(1804, Nantes - 1877, Rennes)

Ce sculpteur et peintre travailla beaucoup en Bretagne, à Rennes notamment. Il est enterré au cimetière nord de la ville de Rennes, comme son disciple Leofanti.

Les Rennais lui doivent la façade sculptée de l'hôtel Barré, réalisée en 1844 au 5,quai Châteaubriand immeuble de style néo-Renaissance construit par Louis Leray, la statue au sommet de la colonne Vanneau-Papu du parc du Thabor, rénovée en mars 2012, le fronton de l'Hôtel-Dieu, la statue L'Espérance en extérieur de la chapelle funéraire à l'entrée du cimetière du Nord, la sculpture du fronton triangulaire au centre de la façade nord du musée des Beaux-Arts, représentant la Bretagne entourée des attriburs des lettres, des sciences et des arts, les statues de saint Paul et Saint Melaine sur deux petits côtés de la tour octogonale de l'église Notre-Dame, la décoration, continuée à sa mort par Jean-Baptiste Martenot de l'hôtel Leofanti, à l'angle du boulevard de la Liberté et de la rue du Maréchal Joffre.[2]

références

  1. Inventaire topologique. Isabelle Barbedor et Aline Carpentier - 2001
  2. Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture, par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978