26 682
modifications
« Rue du Griffon » : différence entre les versions
m
aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
| Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
Au coin de la rue avec la [[rue des Dames]] se trouvait la "maison de l'Oratoire", surélevée de deux étages au début du 20e siècle. Cette maison était nommée du nom d'une congrégation sacerdotale réactivée en [[1865]] à Rennes par Godefroy [[Brossays-Saint-Marc]], archevêque de Rennes, et fut l'objet de procès retentissants de [[1885]] à [[1891]] entre l'évêque et la congrégation !<ref> ''L'affaire de l'Oratoire de Rennes'', par Philippe Guigon. Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine. tome CXIII - 2009</ref> | Au coin de la rue avec la [[rue des Dames]] se trouvait la "maison de l'Oratoire", surélevée de deux étages au début du 20e siècle. Cette maison était nommée du nom d'une congrégation sacerdotale réactivée en [[1865]] à Rennes par Godefroy [[Brossays-Saint-Marc]], archevêque de Rennes, et fut l'objet de procès retentissants de [[1885]] à [[1891]] entre l'évêque et la congrégation !<ref> ''L'affaire de l'Oratoire de Rennes'', par Philippe Guigon. Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine. tome CXIII - 2009</ref> | ||
Au n°5 cantonna en juin [[1944]] une partie d'une centaine de la Milice qui y tortura des résistants. On trouve maintenant du n°1 au n°5 le centre communal d'action sociale ( | Au n°5 cantonna en juin [[1944]] une partie d'une centaine de la Milice qui y tortura des résistants. On trouve maintenant du n°1 au n°5 le centre communal d'action sociale (CCAS). | ||
==références== | ==références== | ||
<references/> | <references/> | ||