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Dénoncé par un étudiant compromis par une affaire pénale, il est arrêté le 2  mars 1942, à l'Ecole d'Industrie [[Boulevard Laënnec]] à Rennes.
Dénoncé par un étudiant compromis par une affaire pénale, il est arrêté le 2  mars 1942, à l'Ecole d'Industrie [[Boulevard Laënnec]] à Rennes.
Après interrogatoire au siège du SD, 10 [[rue de Robien]] à Rennes, il est incarcéré, avec ses camarades, à la [[prison Jacques Cartier]] puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté le 4 juin 1942 en application du décret "Nacht und Nabel" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 1941 au Sonder Lager SS Hinzert en Rhénanie. Il fut libéré le 8 mai 1945 à Hischberg (Kommando du KL de Gross Rosen)<ref> http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/lemoigne.htm#deb </ref>.
Après interrogatoire au siège du SD, 10 [[rue de Robien]] à Rennes, il est incarcéré, avec ses camarades, à la [[prison Jacques-Cartier]] puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté le 4 juin 1942 en application du décret "Nacht und Nabel" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 194,1 au Sonder Lager SS Hinzert en Rhénanie. Il fut libéré le 8 mai 1945 à Hischberg (Kommando du KL de Gross Rosen)<ref> http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/lemoigne.htm#deb </ref>.


===références===
===références===

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Yves Le Moigne

Résistant (6 mars 1926, Yves, Saint-Martin-des-Champs, Finistère - 27 janvier 1996, Saint-Nazaire)

Yves Le Moigne, 16 ans

Yves faisait partie, avec Guy Faisant, Pascal Lafaye[1], Jacques Tarrière du groupe de collégiens de l'école d'industrie qui participa dès juin 1941 à différentes manifestations d'hostilité envers les autorités d'occupation (lacération d'affiches prônant la collaboration, destruction de panneaux de signalisation allemands, etc...), à la diffusion de tracts émanant du groupe de Résistance de la SNCF et à des actions plus importantes telles la récupération d'armes à l'Arsenal de la Courrouze, au dépôt du Boulevard de Chézy et au sabotage de câbles téléphoniques reliant l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande à la Kommandantur.

Dénoncé par un étudiant compromis par une affaire pénale, il est arrêté le 2 mars 1942, à l'Ecole d'Industrie Boulevard Laënnec à Rennes. Après interrogatoire au siège du SD, 10 rue de Robien à Rennes, il est incarcéré, avec ses camarades, à la prison Jacques-Cartier puis transféré à la prison du Cherche-midi à Paris et déporté le 4 juin 1942 en application du décret "Nacht und Nabel" (Nuit et Brouillard) du 7 décembre 194,1 au Sonder Lager SS Hinzert en Rhénanie. Il fut libéré le 8 mai 1945 à Hischberg (Kommando du KL de Gross Rosen)[2].

références