« Couvent de Bonne-Nouvelle ou des Jacobins » : différence entre les versions

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[[Fichier:Jacobins_cour1.jpg|250px|right|thumb|Le couvent des Jacobins, cour et chapelle - (de Wikimedia Commons)]]
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[[File:Rennes_Jacobins2.jpg|200px|left|thumb|Couvent des Jacobins, bâtiment latéral (''Photo Pymouss44 de Wikimedia Commons'')]]
[[File:Rennes_Jacobins2.jpg|200px|left|thumb|Couvent des Jacobins, bâtiment latéral (''Photo Pymouss44 de Wikimedia Commons'')]]
Le '''couvent de Bonne-Nouvelle''', aussi appelé '''couvent des Jacobins''' situé au 4 [[rue d'Echange]], à l’angle de la [[place Sainte-Anne]] et de la [[rue de Saint-Malo]]. Fondé en [[1368]], il accueille les moines bénédictains jusqu’à la Révolution, puis remis à l'armée de terre, devient un magasin et un entrepôt militaires.
Le '''couvent de Bonne-Nouvelle''', aussi appelé '''couvent des Jacobins''' situé au 4 [[rue d'Échange]], à l’angle de la [[place Sainte-Anne]] et de la [[rue de Saint-Malo]]. Fondé en [[1368]], il accueille les moines bénédictins jusqu’à la Révolution, puis remis à l'armée de terre, devient un magasin et un entrepôt militaires.


Le 3 août [[1944]], veille de la libération, alors que les troupes allemandes s'apprêtent à quitter Rennes, dans l'ancien couvent qui servait aussi de dépôt de matériel aux Allemands, trois foyers d'incendie avec du foin furent arrosés d'essence et le feu devait y être mis à 20 h 30. Dix minutes plus tard, un premier foyer venait d'être allumé lorsque le chef du détachement allemand reçut un contre-ordre de la Kommandantur et la destruction fut ainsi évitée<ref> ''Les Heures douloureuses de Rennes'', par V. Ladam.</ref>
Le 3 août [[1944]], veille de la libération, alors que les troupes allemandes s'apprêtent à quitter Rennes, dans l'ancien couvent qui servait aussi de dépôt de matériel aux Allemands, trois foyers d'incendie avec du foin furent arrosés d'essence et le feu devait y être mis à 20 h 30. Dix minutes plus tard, un premier foyer venait d'être allumé lorsque le chef du détachement allemand reçut un contre-ordre de la Kommandantur et la destruction fut ainsi évitée<ref> ''Les Heures douloureuses de Rennes'', par V. Ladam.</ref>
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