« Rue Hippolyte Vatar » : différence entre les versions

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=== L'Archéologue ===  
=== L'Archéologue ===  


Cette liste prouve le goût de l'imprimeur pour les études historiques se rapportant à la Bretagne. Il se plaisait surtout aux questions d*archéologie monumentale. C'est d'abord un mémoire concernant l'enceinte murale gallo- romaine de la ville de Rennes, rapport adressé au maire, en 1847, sur des fouilles dont Vatar avait eu la direction. Il y fait une reconnaissance complète de l'enceinte urbaine de Rennes, une restitution exacte de son état ancien, facile à suivre et d un aspect saisissant, avec trois planches en couleur, qui, montrant ces hautes courtines (de 11 à 14 mètres) toutes zébrées d'assises de briques très rapprochées, expliquent bien le nom de ''Ville rouge'' donné à Rennes par les anciens chroniqueurs.
Cette liste prouve le goût de l'imprimeur pour les études historiques se rapportant à la Bretagne. Il se plaisait surtout aux questions d'archéologie monumentale. C'est d'abord un mémoire concernant l'enceinte murale gallo- romaine de la ville de Rennes, rapport adressé au maire, en 1847, sur des fouilles dont Vatar avait eu la direction. Il y fait une reconnaissance complète de l'enceinte urbaine de Rennes, une restitution exacte de son état ancien, facile à suivre et d un aspect saisissant, avec trois planches en couleur, qui, montrant ces hautes courtines (de 11 à 14 mètres) toutes zébrées d'assises de briques très rapprochées, expliquent bien le nom de ''Ville rouge'' donné à Rennes par les anciens chroniqueurs.
Le second mémoire de M. Vatar est une dissertation insérée par lui en 1853 dans la nouvelle édition du ''Dictionnaire de Bretagne'' d'Ogée, où il démontre que Brocéliande, au lieu d'être situé à Plélan même ou tout près comme le disent la plupart des historiens, se trouvait placé à Maxent.
Le second mémoire de M. Vatar est une dissertation insérée par lui en 1853 dans la nouvelle édition du ''Dictionnaire de Bretagne'' d'Ogée, où il démontre que Brocéliande, au lieu d'être situé à Plélan même ou tout près comme le disent la plupart des historiens, se trouvait placé à Maxent.


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