« Di Costanzo, féroce chef de milice » : différence entre les versions

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Après sa fuite de Rennes, Di Costanzo, qui disposait d’une garçonnière près de l’Étoile,  était resté à Paris avec son groupe, une trentaine d’hommes et 20 millions pour faire de l’agitation. La majorité de ces hommes étaient des Lyonnais et des Parisiens qu’il avait recrutés dans un milieu « spécial ». Deux étaient connus : Mogourt de la Milice de Lyon et Roustand de la Milice de Nice.
Après sa fuite de Rennes, Di Costanzo, qui disposait d’une garçonnière près de l’Étoile,  était resté à Paris avec son groupe, une trentaine d’hommes et 20 millions pour faire de l’agitation. La majorité de ces hommes étaient des Lyonnais et des Parisiens qu’il avait recrutés dans un milieu « spécial ». Deux étaient connus : Mogourt de la Milice de Lyon et Roustand de la Milice de Nice.


Di Costanzo avait reçu des ordres pour rester à Paris après le 17 Août 1944, ordres de Darnand, qui partait avec 300 miliciens, et du service de sécurité dirigé par Frechou pour faire de l’agitation et du renseignement.
Di Costanzo avait reçu des ordres pour rester à Paris après le 17 août 1944, ordres de Darnand, qui partait avec 300 miliciens, et du service de sécurité dirigé par Frechou pour faire de l’agitation et du renseignement.
Il aurait participé à la tentative d’assassinat contre le général De Gaulle à Notre Dame-de-Paris.
Il aurait participé à la tentative d’assassinat contre le général De Gaulle à Notre Dame-de-Paris.
<ref> Dossier N° : 102 Archives Nationales F/7/15300. Rapport du 13 Novembre 1945 sur la Milice , R.G</ref>
<ref> Dossier N° : 102 Archives Nationales F/7/15300. Rapport du 13 Novembre 1945 sur la Milice , R.G</ref>
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