« Place du Chêne Henri IV » : différence entre les versions

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En 1877, "ce chêne ne présente plus qu'un tronc dénudé, au-dessus duquel un mince filet d'écorce entretient encore la sève d'un unique rameau beaucoup plus précoce que tous les autres chênes de la contrée. En 1827, Mme la Dauphine a planté tout auprès un jeune ormeau que les fermiers ont depuis entouré d'épines, comme le chêne." <ref>Guide France Bretagne, Adolphe Joanne - hachette et Cie - 1877</ref> Le chêne quadricentenaire tomba de vétusté à l'automne [[1896]].
En 1877, "ce chêne ne présente plus qu'un tronc dénudé, au-dessus duquel un mince filet d'écorce entretient encore la sève d'un unique rameau beaucoup plus précoce que tous les autres chênes de la contrée. En 1827, Mme la Dauphine a planté tout auprès un jeune ormeau que les fermiers ont depuis entouré d'épines, comme le chêne." <ref>Guide France Bretagne, Adolphe Joanne - hachette et Cie - 1877</ref> Le chêne quadricentenaire tomba de vétusté à l'automne [[1896]].
==Lien externe==
*Voir l'image du Chêne, [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55364201 reproduite sur le site Gallica].


===références===
===références===
<references/>
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Version du 8 février 2012 à 11:24

La place du Chêne Henri IV, dans la partie ouest du quartier de Cleunay donne rue Eugène Pottier, à hauteur de la rue Buffon.

Cette dénomination rappelle le séjour d'Henri IV à Rennes en mai 1598. A la fin de son séjour, au retour d'une chasse, il se serait reposé à l'ombre d'un chêne au lieu-dit Sainte-Foy, dans le voisinage de la Prévalaye, où il était venu chasser deux fois, le 11 et le 15 mai. Il aurait, à cette occasion, assisté à des joutes et à des danses villageoises. Le chêne en question était donc, par rapport à la place ainsi nommée, plus à l'ouest, au-delà de la rocade ouest.

En 1877, "ce chêne ne présente plus qu'un tronc dénudé, au-dessus duquel un mince filet d'écorce entretient encore la sève d'un unique rameau beaucoup plus précoce que tous les autres chênes de la contrée. En 1827, Mme la Dauphine a planté tout auprès un jeune ormeau que les fermiers ont depuis entouré d'épines, comme le chêne." [1] Le chêne quadricentenaire tomba de vétusté à l'automne 1896.

Lien externe

références

  1. Guide France Bretagne, Adolphe Joanne - hachette et Cie - 1877