« Détenus des prisons de Rennes » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 24 : Ligne 24 :
=== Les prisonniers coloniaux à Rennes ===
=== Les prisonniers coloniaux à Rennes ===


Rennes fut un élément majeur du dispositif des frontstalags. évalue à 12 000 prisonniers « indigènes » y auraient séjourné pendant la guerre.
Rennes fut un élément majeur du dispositif des frontstalag. évalue à 12 000 prisonniers « indigènes » y auraient séjourné pendant la guerre, le régime nazi ayant refusé l'internement des soldats français coloniaux en Allemagne.


Les frontstalags 133 et 127 se répartissaient en plusieurs casernes de la ville : le camp du Parc des Sports de la route de Lorient, le camp de la Marne sur la route de Redon, d'une capacité de 1 700 prisonniers qui servit après-guerre à interner des prisonniers allemands, le camp des Guines (quartier d’artillerie du boulevard de Guines), le camp Margueritte en bordure de la caserne éponyme ( une quinzaine de baraques pour une capacité de 2 000 prisonniers, annexe de la prison Jacques Cartier, le Lazaret (à l’école primaire supérieure).
Les frontstalags 133 et 127 se répartissaient en plusieurs casernes de la ville : le camp du Parc des Sports de la route de Lorient, le camp de la Marne sur la route de Redon, d'une capacité de 1 700 prisonniers qui servit après-guerre à interner des prisonniers allemands, le camp des Guines (quartier d’artillerie du boulevard de Guines), le camp Margueritte en bordure de la caserne éponyme ( une quinzaine de baraques pour une capacité de 2 000 prisonniers, annexe de la prison Jacques Cartier, le Lazaret (à l’école primaire supérieure).
24 088

modifications

Menu de navigation