« Basilique Saint-Sauveur » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
m
aucun résumé des modifications
(précision)
mAucun résumé des modifications
Ligne 5 : Ligne 5 :


[[Fichier:Plan_basilique_st_sauveur.png|300px|left|thumb|Plan de 1720 situant l'église Saint-Sauveur - (de Wikimedia Commons)]]
[[Fichier:Plan_basilique_st_sauveur.png|300px|left|thumb|Plan de 1720 situant l'église Saint-Sauveur - (de Wikimedia Commons)]]
[[Fichier:Eglise Saint-Sauveur depuis la Rue du Guesclin.jpg|thumb|right|200px|Vue de l'église Saint-Sauveur depuis la Rue du Guesclin]]
[[Fichier:Eglise Saint-Sauveur depuis la Rue du Guesclin.jpg|thumb|right|200px|Vue de l'église Saint-Sauveur depuis la [[rue Du Guesclin]] ]]
[[Fichier:Rennes eglise Saint-Sauveur autel.jpg|thumb|right|200px|Autel de l'église Saint-Sauveur]]
[[Fichier:Rennes eglise Saint-Sauveur autel.jpg|thumb|right|200px|Autel de l'église Saint-Sauveur]]
D'abord chapelle, "trève et fillette de Toussaint", elle devient église paroissiale le 7 octobre [[1667]] mais le bas de l'église s'écroule, écrasant orgues et fonds baptismaux et il fallut attendre [[1730]] pour achever la restauration. Une légende la concerne : "Notre-Dame des Miracles" aurait fait sonner les cloches et désigner la mine creusée jusque sous l'église par les Anglais investissant Rennes.<ref>[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 9</ref> Voir {{w|basilique Saint-Sauveur de Rennes}} En fait, mis en alerte par des bruits suspects entendus par des habitants, le Tort-Boiteux, capitaine de la cité, fit disposer des cuves d'airain emplies de pièces de menue monnaie à même le sol, dont les tintements provoqués par les vibrations dues au choc sourd des pics permit de suivre le tracé de la galerie et de localiser le point d'aboutissement de la mine d'attaque.<ref> ''Les villes dans la guerre de succession'', par Jean-Christophe  Cassard,, Mémoire de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. LXXVI - 1998</ref>
D'abord chapelle, "trève et fillette de Toussaint", elle devient église paroissiale le 7 octobre [[1667]] mais le bas de l'église s'écroule, écrasant orgues et fonds baptismaux et il fallut attendre [[1730]] pour achever la restauration. Une légende la concerne : "Notre-Dame des Miracles" aurait fait sonner les cloches et désigner la mine creusée jusque sous l'église par les Anglais investissant Rennes.<ref>[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 9</ref> Voir {{w|basilique Saint-Sauveur de Rennes}} En fait, mis en alerte par des bruits suspects entendus par des habitants, le Tort-Boiteux, capitaine de la cité, fit disposer des cuves d'airain emplies de pièces de menue monnaie à même le sol, dont les tintements provoqués par les vibrations dues au choc sourd des pics permit de suivre le tracé de la galerie et de localiser le point d'aboutissement de la mine d'attaque.<ref> ''Les villes dans la guerre de succession'', par Jean-Christophe  Cassard,, Mémoire de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. LXXVI - 1998</ref>


Pendant la Révolution, Saint-Sauveur devint un "Temple de la Raison", sur le fronton duquel avait été peinte, comme sur la cathédrale de Saint-Malo, devenu Port-Malo, l'inscription : "''Le peuple français reconnaît l'Être suprême et l'immortalité de l'âme''"<ref>''La Terreur à Port-Malo'' par Etienne Maignen, bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVIII - 2004</ref>
Pendant la Révolution, Saint-Sauveur devint un "Temple de la Raison", sur le fronton duquel avait été peinte, comme sur la cathédrale de Saint-Malo, devenu Port-Malo, l'inscription : "''Le peuple français reconnaît l'Être suprême et l'immortalité de l'âme''"<ref>''La Terreur à Port-Malo'' par Etienne Maignen, bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CVIII - 2004</ref>
8 754

modifications

Menu de navigation