« Les prisonniers de guerre allemands dans la région rennaise » : différence entre les versions

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[[Fichier:Tract_pour_les_soldats_allemands.jpeg|200px|right|thumb|tract américain qu'ont pu ramasser et lire de nombreux soldats allemands les incitant à se rendre: vous avez fait votre devoir de soldat, maintenant votre devoir est de vous préserver.]]
[[Fichier:Tract_pour_les_soldats_allemands.jpeg|200px|right|thumb|tract américain qu'ont pu ramasser et lire de nombreux soldats allemands les incitant à se rendre: vous avez fait votre devoir de soldat, maintenant votre devoir est de vous préserver.]]
[[Fichier:2018-05-02_151119.png|200px|left|thumb|Dessin de prisonnier allemand."L'officier américain faisait circuler, jour et nuit, des patrouilles avec chiens, entre des tours de guet dressée à intervalles réguliers munies de fort projecteurs qui éclairaient comme le jour". <ref> Alexander Kern Erinnerungen 5. Teil p. 34</ref>
ERINNERUNGEN
5. Teil
1945–1946
Kriegsgefangenschaft]]
D'août [[1944]] à [[1947]], les Rennais ont pratiquement ignoré que, dans leur espace vital, d'abord pour deux puis trois Rennais il y avait un prisonnier de guerre. Les anciens vainqueurs et occupants étaient devenus de pitoyables prisonniers, peu visibles, enfermés qu'ils étaient dans des camps ou dehors en commandos de travail et, quand ils en voyaient, la plupart des Rennais les ignoraient alors, au second sens du verbe.
D'août [[1944]] à [[1947]], les Rennais ont pratiquement ignoré que, dans leur espace vital, d'abord pour deux puis trois Rennais il y avait un prisonnier de guerre. Les anciens vainqueurs et occupants étaient devenus de pitoyables prisonniers, peu visibles, enfermés qu'ils étaient dans des camps ou dehors en commandos de travail et, quand ils en voyaient, la plupart des Rennais les ignoraient alors, au second sens du verbe.


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