« Avenue du Mail-Donges » : différence entre les versions

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L''''avenue du Mail-Donges''' est une ancienne voie qui longeait la [[Vilaine]] à l'ouest de [[Rennes]].
L''''avenue du Mail-Donges''' est une ancienne voie qui longeait la [[Vilaine]] à l'ouest de [[Rennes]].
[[Fichier:Le_tortillard_%C3%A0_la_gare_de_Viarmes.png|250px|right|thumb|Le "tortillard" du T.I.V. devant la gare de Viarmes]]
[[Fichier:Le_tortillard_%C3%A0_la_gare_de_Viarmes.png|250px|right|thumb|Le "tortillard" du T.I.V. devant la gare de Viarmes]]
[[Fichier:W1278.jpg|thumb|420x420px|La Cale Bossard. ''Carte postale Le Déley (ELD 108). Coll. YRG et AmR 44Z1208'']]
{{Citation|texte=C’est la voie qui longe la rive droite du canal de la Vilaine, depuis le boulevard Saint-Méen jusqu’au port de Viarmes. Cette fois encore, l’orthographe officielle est erronée, et c’est à tort que l’on écrit Mail d’Onges. Avant la Révolution, il existait à l’entrée de la rue Hue, aujourd’hui [[rue de Paris]], à peu près vis-à-vis de l’hospice des Catherinettes, un hôtel appartenant à la famille de Donges. Aspectés au sud, les jardins de l’hôtel descendaient vers la rivière, à laquelle ils communiquaient par un mail ou avenue plantée et bordée de fossés, d’une longueur de plus de cent toises (environ 200 mètres, NDLR). C’est en souvenir de cette promenade, disparue depuis longtemps, que tout le quartier situé entre la rue de Paris et la rivière a conservé le nom de ses anciens possesseurs.|auteur=Lucien Decombe|origine=Notice sur les rues de Rennes.|collecteur=Wikisource|date=1883}}  
{{Citation|texte=C’est la voie qui longe la rive droite du canal de la Vilaine, depuis le boulevard Saint-Méen jusqu’au port de Viarmes. Cette fois encore, l’orthographe officielle est erronée, et c’est à tort que l’on écrit Mail d’Onges. Avant la Révolution, il existait à l’entrée de la rue Hue, aujourd’hui [[rue de Paris]], à peu près vis-à-vis de l’hospice des Catherinettes, un hôtel appartenant à la famille de Donges. Aspectés au sud, les jardins de l’hôtel descendaient vers la rivière, à laquelle ils communiquaient par un mail ou avenue plantée et bordée de fossés, d’une longueur de plus de cent toises (environ 200 mètres, NDLR). C’est en souvenir de cette promenade, disparue depuis longtemps, que tout le quartier situé entre la rue de Paris et la rivière a conservé le nom de ses anciens possesseurs.|auteur=Lucien Decombe|origine=Notice sur les rues de Rennes.|collecteur=Wikisource|date=1883}}  


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