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devint la supérieure des citoyennes servant à 1'« Hôpital de la Fraternité ». <ref>''Histoire des hôpitaux de Rennes'', professeur J-C. Sournia. BIU Santé</ref> | devint la supérieure des citoyennes servant à 1'« Hôpital de la Fraternité ». <ref>''Histoire des hôpitaux de Rennes'', professeur J-C. Sournia. BIU Santé</ref> | ||
Carrier, faute de temps peut-être, ne semble pas avoir fait fonctionner, à Rennes, la guillotine mais il envoie à Paris des prisonniers contre-révolutionnaires, complices de La Rouërie destinés au tribunal révolutionnaire où les risques de condamnation à mort sont majeurs. Il prend un arrêté de séquestre des biens de quinze Girondins absents, jusqu'à ce qu'ils se constituent prisonniers (dont [[Jean-Denis Lanjuinais]], [[ | Carrier, faute de temps peut-être, ne semble pas avoir fait fonctionner, à Rennes, la guillotine mais il envoie à Paris des prisonniers contre-révolutionnaires, complices de La Rouërie destinés au tribunal révolutionnaire où les risques de condamnation à mort sont majeurs. Il prend un arrêté de séquestre des biens de quinze Girondins absents, jusqu'à ce qu'ils se constituent prisonniers (dont [[Jean-Denis Lanjuinais]], Le Graverend, <ref>[[Rue Legraverend]]</ref> [[Le Chapelier]]. Tous se rendent, sauf trois. Devant eux, dans la grande salle du Palais, Carrier énumère leurs "crimes" en présence du peuple de Rennes qu'il dit approbateur. | ||
== Carrier vante son action à Rennes et tente de la poursuivre== | == Carrier vante son action à Rennes et tente de la poursuivre== | ||
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