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À partir de 1943, dans la Résistance, il participe au réseau ''Bordeaux-Loupiac'' - spécialisé dans la récupération des aviateurs alliés dont l’avion a été abattu - et au mouvement ''Libération-Nord''. | À partir de 1943, dans la Résistance, il participe au réseau ''Bordeaux-Loupiac'' - spécialisé dans la récupération des aviateurs alliés dont l’avion a été abattu - et au mouvement ''Libération-Nord''. | ||
Il est adjoint d’ [[André Heurtier]], responsable de Bordeaux-Loupiac et fondateur de Libération-Nord en Bretagne. | Il est adjoint d’ [[André Heurtier]], responsable de Bordeaux-Loupiac et fondateur de Libération-Nord en Bretagne. | ||
Grâce aux membres du réseau Bordeaux-Loupiac et à Jean-Claude Camors<ref>[[ | Grâce aux membres du réseau Bordeaux-Loupiac et à Jean-Claude Camors<ref>[[Rue Jean-Claude Camors]]</ref>, une soixantaine d’aviateurs alliés seront évacués à partir de la Bretagne entre le 22 octobre 1943 et le 22 janvier 1944. | ||
Il prit en charge un aviateur anglais abattu au-dessus de [[La Chapelle-des Fougeretz]] ; après l’avoir caché, route de Fougères à Rennes, dans une cabane au fond d’un jardin, il le convoya à Bédée où il le confia à Félix Jouan, un autre membre du réseau (qui fut lui aussi déporté), ainsi que | Il prit en charge un aviateur anglais abattu au-dessus de [[La Chapelle-des-Fougeretz]] ; après l’avoir caché, route de Fougères à Rennes, dans une cabane au fond d’un jardin, il le convoya à Bédée où il le confia à Félix Jouan, un autre membre du réseau (qui fut lui aussi déporté), ainsi que | ||
deux pilotes américains qu'il cacha à Rennes dans la maison d’amis. | deux pilotes américains qu'il cacha à Rennes dans la maison d’amis. | ||
