« Louis Henri Nicot » : différence entre les versions

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A l'époque de sa mort, le quotidien régional, qui ne paraîssait que sur une petite page, lui consacra assez de place pour annoncer  en gros titre, au-dessus d'un article, "Mort de Louis Nicot - statuaire breton".<ref>Ouest-Eclair du 20 juillet 1944</ref>
A l'époque de sa mort, le quotidien régional, qui ne paraîssait que sur une petite page, lui consacra assez de place pour annoncer  en gros titre, au-dessus d'un article, "Mort de Louis Nicot - statuaire breton".<ref>Ouest-Eclair du 20 juillet 1944</ref>


Son oeuvre la plus célèbre, Annaïk '''Mam Goz du Faouet''', acquise par le conseil municipal le 6 mai 1940 fut placée en 1951 au centre de formation de la marine, près du château de la Massaye à Pont-Réan<ref>Des quais et des marins à Rennes</ref> et a trouvé place à Rennes. Sous le titre " ''Une mamie se morfond à la Massaye''", un lecteur du quotidien régional,<ref> Ouest-France, édition de Rennes du 21 avril 2005</ref> déplorait que la Mam Goz du Faouêt, très entourée au salon des artistes français de 1935, restât esseulée, les épaules gagnées par la mousse, sous des arbres de la Massaye. Cette oeuvre majeure de l'artiste, représentant une grand-mère assise, mélancolique, taillée dans la pierre grise de Kersanton, a été rapatriée  sur Rennes quelques années plus tard et y a trouvé place, non pas une place de la ville, mais une place bien modeste dans un coin, près d'une entrée latérale  de l'Hôtel-Dieu, [[rue Saint-Malo]].
Son oeuvre la plus célèbre, Annaïk '''Mam Goz du Faouet''', acquise par le conseil municipal le 6 mai 1940 fut placée en 1951 au centre de formation de la marine, près du château de la Massaye à Pont-Réan<ref>Des quais et des marins à Rennes</ref> et a trouvé place à Rennes. Sous le titre " ''Une mamie se morfond à la Massaye''", un lecteur du quotidien régional,<ref> Ouest-France, édition de Rennes du 21 avril 2005</ref> déplorait que la Mam Goz du Faouêt, très entourée au salon des artistes français de 1935, restât esseulée, les épaules gagnées par la mousse, sous des arbres de la Massaye. Cette oeuvre majeure de l'artiste, représentant une grand-mère assise, mélancolique, taillée dans la pierre grise de Kersanton, a été rapatriée  sur Rennes quelques années plus tard et y a trouvé place, non pas une place de la ville, mais une place bien modeste dans un coin, près d'une entrée latérale  de l'Hôtel-Dieu, [[rue de Saint-Malo]].


La ville de Rennes lui a dédié une [[rue Louis Henri Nicot]].  
La ville de Rennes lui a dédié une [[rue Louis Henri Nicot]].  
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