« Rue Legraverend » : différence entre les versions

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Hippolyte Le Graverend avait légué aux hospices de Rennes toute sa fortune, évaluée à près de 600 000 F., et avait fondé, en annexe de ces établissements, un asile où entrèrent, fin 1874, dix femmes âgées ou infirmes indigentes soignées par trois soeurs de la congrégation des Filles du Coeur immaculé de Marie. L'asile fut installé dans le ''manoir de la Pommeraie'', en [[Bruz]], construit au 17e siècle et hérité de son père Guillaume qui l'avait acheté en 1775. L'hospice fonctionna jusqu'en 1989, géré par les soeurs de Saint-Thomas de Villeneuve.
Hippolyte Le Graverend avait légué aux hospices de Rennes toute sa fortune, évaluée à près de 600 000 F., et avait fondé, en annexe de ces établissements, un asile où entrèrent, fin 1874, dix femmes âgées ou infirmes indigentes soignées par trois soeurs de la congrégation des Filles du Coeur immaculé de Marie. L'asile fut installé dans le ''manoir de la Pommeraie'', en [[Bruz]], construit au 17e siècle et hérité de son père Guillaume qui l'avait acheté en 1775. L'hospice fonctionna jusqu'en 1989, géré par les soeurs de Saint-Thomas de Villeneuve.


C’est donc à titre de bienfaiteur des pauvres de Rennes que sa ville natale tint à  rendre rendre un hommage public à cet avocat rennais en donnant son nom à l'une de ses nouvelles rues, les 600 000 francs or correspondant à un montant de l'ordre de 1 600 000 €.
C’est donc à titre de bienfaiteur des pauvres de Rennes que sa ville natale tint à  rendre un hommage public à cet avocat rennais en donnant son nom à l'une de ses nouvelles rues, les 600 000 francs or correspondant à un montant de l'ordre de 1 600 000 €.
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