« Louis Henri Nicot » : différence entre les versions

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[[Fichier:Le_sculpteur_Louis_Henri_Nicot.jpeg|200px|right|thumb|Couverture de la revue ''Bretagne'', n°122 - 1935]]
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[[Fichier:Mamm_Goz.png|300px|left|thumb|Un photo montage de 1940 pose la question de l'emplacement de la Mam Goz à Rennes, ici fictivement Contour de la Motte (''Ouest-Eclair'' du 22 novembre 1940]]
[[Fichier:Mamm_Goz.png|300px|left|thumb|Un photo montage de 1940 pose la question de l'emplacement de la Mam Goz à Rennes, ici fictivement Contour de la Motte (''Ouest-Eclair'' du 22 novembre 1940)]]
Ancien élève de l'[[école régionale des Beaux-Arts]] de Rennes, il suit les cours de l'école nationale des Beaux-Arts. Il fut professeur à l'école des arts appliqués de Paris. Les  œuvres vont de ''l'Hymne à la mort'' pour un aviateur tué en service commandé (1912) et de nombreux monuments aux morts de la guerre 1914-18 (pour Paramé, Cancale), à des œuvres telles que ''Evangéline'' (médaille d'or au salon des Artistes français de 1933), ''la jeune fille au lévrier'' (1935), la princesse Napoleone Elisa Baciocchi enfant (au [[Musée des beaux-arts]] de Rennes) jusqu'aux bustes de Charles Le Goffic, de l'amiral Guépratte, la statue de Théodore Botrel à Pont-Aven. Dans un tout autre registre on apprécie toujours ses petites céramiques bretonnes, telles ''Les Trois Commères'', ''le Léonard au Veau'', le mendiant, la Marchande de poulets... exécutées pour la faïencerie Henriot.<ref>''Louis Henri Nicot, sculpteur breton'', par Patrick Monéger et Jos Pennec. Bulletin et mémoires de la Société historique et archéologique d'Ille-et-Vilaine, t. CXI - 2007</ref>
Ancien élève de l'[[école régionale des Beaux-Arts]] de Rennes, il suit les cours de l'école nationale des Beaux-Arts. Il fut professeur à l'école des arts appliqués de Paris. Les  œuvres vont de ''l'Hymne à la mort'' pour un aviateur tué en service commandé (1912) et de nombreux monuments aux morts de la guerre 1914-18 (pour Paramé, Cancale), à des œuvres telles que ''Evangéline'' (médaille d'or au salon des Artistes français de 1933), ''la jeune fille au lévrier'' (1935), la princesse Napoleone Elisa Baciocchi enfant (au [[Musée des beaux-arts]] de Rennes) jusqu'aux bustes de Charles Le Goffic, de l'amiral Guépratte, la statue de Théodore Botrel à Pont-Aven. Dans un tout autre registre on apprécie toujours ses petites céramiques bretonnes, telles ''Les Trois Commères'', ''le Léonard au Veau'', le mendiant, la Marchande de poulets... exécutées pour la faïencerie Henriot.<ref>''Louis Henri Nicot, sculpteur breton'', par Patrick Monéger et Jos Pennec. Bulletin et mémoires de la Société historique et archéologique d'Ille-et-Vilaine, t. CXI - 2007</ref>


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