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« Horloges Lognoné dans l'archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo » : différence entre les versions
Horloges Lognoné dans l'archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo (voir la source)
Version du 3 mars 2024 à 17:38
, 3 mars→Un savoir-faire pluricentenaire
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Des horlogers maîtrisant la gravure des platines en laiton ont pu être chargés de la fabrication d’instruments de pointage ou de calcul, comme les équerres à fil à plomb, ou les compas de proportion « de Galilée » permettant toute sorte de calculs et qui comportaient souvent des échelles destinées à un usage en artillerie. | Des horlogers maîtrisant la gravure des platines en laiton ont pu être chargés de la fabrication d’instruments de pointage ou de calcul, comme les équerres à fil à plomb, ou les compas de proportion « de Galilée » permettant toute sorte de calculs et qui comportaient souvent des échelles destinées à un usage en artillerie. | ||
== Un savoir-faire pluricentenaire == | == Un savoir-faire pluricentenaire marqué par plusieurs influences == | ||
Sensibilisé par son père [[Julien François Lognoné]] contemporain du Second Empire, [[Théophile Joseph Lognoné]], né le 10 juillet 1869 et décédé le 4 février 1920 à l'âge de 50 ans, a été un horloger de première génération à transmettre la passion de son métier conjuguée à celle de la musique aux jeunes et compagnons de son orchestre philharmonique. | Sensibilisé par son père [[Julien François Lognoné]] contemporain du Second Empire, [[Théophile Joseph Lognoné]], né le 10 juillet 1869 et décédé le 4 février 1920 à l'âge de 50 ans, a été un horloger de première génération à transmettre la passion de son métier conjuguée à celle de la musique aux jeunes et compagnons de son orchestre philharmonique. | ||