« Rue Jean-Baptiste Barré » : différence entre les versions

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[[Catégorie:Voie de Rennes|Barré]]
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La rue Jean-Baptiste Barré, axée ouest-est, ouverte en 1929, relie la [[rue de l'Alma]] à la [[rue de Châtillon]]. La plus ancienne maison de la rue, dite de la Boulais, à étage carré avec comble, située du côté de la rue de Châtillon, est citée dès 1682.<ref> Inventaire  topologique. Isabelle Barbedor et Aline Carpentier - 2001</ref>
La rue Jean-Baptiste Barré, axée ouest-est, ouverte en 1929, relie la [[rue de l'Alma]] à la [[rue de Châtillon]]. La plus ancienne maison de la rue, dite de la Boulais, à étage carré avec comble, située du côté de la rue de Châtillon, est citée dès 1682.<ref> Inventaire  topographique. Isabelle Barbedor et Aline Carpentier - 2001</ref>


La ville de Rennes rappelle ainsi :
La ville de Rennes rappelle ainsi :
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Les Rennais lui doivent la façade sculptée de ''l'hôtel Barré'', réalisée en 1844 au 5,[[quai Châteaubriand]] immeuble de style néo-Renaissance construit par [[Louis Leray]], en 1836 la statue au sommet de la colonne Vanneau-Papu, rénovée en mars 2012, et la statue de Bertrand Duguesclin, détruite le 31 mai 1950 par des autonomistes, au parc du [[Thabor]], le fronton de l'Hôtel-Dieu, la statue ''L'Espérance'' en extérieur de la chapelle funéraire à l'entrée du cimetière du Nord, la sculpture du fronton triangulaire au centre de la façade nord du musée des Beaux-Arts, représentant la Bretagne entourée des attriburs des lettres, des sciences et des arts, les statues de saint Paul et Saint Melaine sur deux petits côtés de la tour octogonale de l'église Notre-Dame, la décoration, continuée à sa mort par [[Jean-Baptiste Martenot]] de l'hôtel Leofanti, à l'angle du [[boulevard de la Liberté]] et de la [[rue  du Maréchal Joffre]].<ref> Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture, par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>
Les Rennais lui doivent :
 
- en 1827, les anges adorateurs près du tabernacle de la [[cathédrale Saint-Pierre]]
 
- la façade sculptée de ''l'hôtel Barré'', réalisée en 1844 au 5,[[quai Châteaubriand]] immeuble de style néo-Renaissance construit par [[Louis Leray]],
 
- en 1836 la statue au sommet de la colonne Vanneau-Papu, rénovée en mars 2012, et la statue de Bertrand Duguesclin, détruite le 31 mai 1950 par des autonomistes, au parc du [[Thabor]],
 
- le fronton de l'Hôtel-Dieu,
 
- la statue ''L'Espérance'' en extérieur de la chapelle funéraire à l'entrée du cimetière du Nord,
 
- la sculpture du fronton triangulaire au centre de la façade nord du musée des Beaux-Arts, représentant la Bretagne entourée des attriburs des lettres, des sciences et des arts,
 
- les statues de Saint Paul et Saint Melaine, sur deux petits côtés de la tour octogonale de l'église Notre-Dame,
 
- en 1854, la sculpture du plafond à caissons peints par [[Jobbé-Duval]] dans la salle éponyme, au Palais du [[Parlement de Bretagne]].
 
- vers 1867, sculptures au-dessus de l'entrée principale du [[lycée  Emile Zola]], [[avenue Janvier]]
 
- la décoration, continuée à sa mort par [[Jean-Baptiste Martenot]] de l'hôtel Leofanti, à l'angle du [[boulevard de la Liberté]] et de la [[rue  du Maréchal Joffre]].<ref> Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture, par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>
 
Il reçut aussi des commandes pour des églises du département d'Ille-et-Vilaine.


===références===
===références===
<references/>
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