« Allée Morvan Lebesque » : différence entre les versions

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Il publie aux éditions Robert Laffont en 1947 son premier roman, ''Soldats sans espoir'' sur le thème de la débâcle de 1940, qui remporte le prix du Cercle critique. Il entre en 1952 au ''Canard enchaîné'', où il est l'un des auteurs les plus appréciés et participe à partir de 1966 à la revue ''Ar Vro''. Il devient de plus en plus hostile à l'État français, qu'il perçoit comme liberticide et allié du capitalisme. Il exprime sa défiance envers la démocratie et le parlementarisme. Il écrit une quarantaine d'articles sur la guerre d'Algérie, niant la mission civilisatrice de la France dans cette région, et critiquant les attentats du FLN et la torture côté français.
Il publie aux éditions Robert Laffont en 1947 son premier roman, ''Soldats sans espoir'' sur le thème de la débâcle de 1940, qui remporte le prix du Cercle critique. Il entre en 1952 au ''Canard enchaîné'', où il est l'un des auteurs les plus appréciés et participe à partir de 1966 à la revue ''Ar Vro''. Il devient de plus en plus hostile à l'État français, qu'il perçoit comme liberticide et allié du capitalisme. Il exprime sa défiance envers la démocratie et le parlementarisme. Il écrit une quarantaine d'articles sur la guerre d'Algérie, niant la mission civilisatrice de la France dans cette région, et critiquant les attentats du FLN et la torture côté français.


Il vit Mai 68 avec espoir, défend Daniel Cohn-Bendit attaqué dans ''L'Humanité'', participe à des meetings contre le pouvoir gaulliste, et y voit une ouverture possible pour le mouvement breton avec lequel il renoue et contribue à la revue ''Ar Vro'' avec Xavier Grall et Gwenc'hlan Le Scouëzec. Il aide financièrement le journal satirique ''La Nation bretonne'' lancé par Glenmor, Grall et Guel. Il signe une tribune au ''Peuple breton'', organe de l'U.D.B.
Il vit Mai 68 avec espoir, défend Daniel Cohn-Bendit attaqué dans ''L'Humanité'', participe à des meetings contre le pouvoir gaulliste, et y voit une ouverture possible pour le mouvement breton avec lequel il renoue et contribue à la revue ''Ar Vro'' avec Xavier Grall <ref>[[rue Xavier Grall]]</ref> et Gwenc'hlan Le Scouëzec. Il aide financièrement le journal satirique ''La Nation bretonne'' lancé par Glenmor, Grall et Guel. Il signe une tribune au ''Peuple breton'', organe de l'U.D.B.


En 1970, il publie ''Comment peut-on être breton ?'', grand succès d'édition dépassant les milieux militants bretons.
En 1970, il publie ''Comment peut-on être breton ?'', grand succès d'édition dépassant les milieux militants bretons.