« Rue Saint-Louis » : différence entre les versions

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Elle remplace un ancien chemin qui allait au 15e siècle de l'église Saint-Aubin au [[Bourg-l'Evêque]].
Elle remplace un ancien chemin qui allait au 15e siècle de l'église Saint-Aubin au [[Bourg-l'Evêque]].
[[Fichier:Hotel quatre boeufs.jpg|left|thumb|L'Hôtel des Quatre Bœufs dans le bas de la rue Saint-Louis. Carte postale Le Trionnaire. Coll. YRG et AmR 44Z1365|350x350px]]
[[Fichier:Hotel quatre boeufs.jpg|left|thumb|L'Hôtel des Quatre Bœufs dans le bas de la rue Saint-Louis. Carte postale Le Trionnaire. Coll. YRG et AmR 44Z1365|350x350px]]
En [[1659]], elle reçoit le nom de rue Neuve-Saint-Louis, nom de l'église du couvent fondé à cet endroit par les religieux Minimes et démoli à la Révolution, remplacé ensuite par la maison religieuse des Dames de Saint-Thomas de Villeneuve. Après l'assassinat à Paris du conventionnel Le Pelletier de Saint-Fargeau, la rue porta un temps le nom de Le Pelletier. Elle porta à la fin du 18e siècle le nom de ''rue Saint-Aubin'', et sa partie est celui de ''rue du Séminaire''<ref>''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe. Alphonse Le Roy éditeur, 1892.</ref>.
En [[1659]], elle reçoit le nom de rue Neuve-Saint-Louis, nom de l'église du couvent fondé à cet endroit par les religieux Minimes et démoli à la Révolution, remplacé ensuite par la maison religieuse des Dames de Saint-Thomas de Villeneuve. Après l'assassinat à Paris, le 20 janvier 1793, du conventionnel Le Pelletier de Saint-Fargeau, la rue porta un temps le nom de Le Pelletier, considéré comme le premier martyr de la Révolution. Elle porta à la fin du 18e siècle le nom de ''rue Saint-Aubin'', et sa partie est celui de ''rue du Séminaire''<ref>''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe. Alphonse Le Roy éditeur, 1892.</ref>.


Au numéro 12, se trouvait l'arrière (l'entrée ?) de l'hôpital militaire <ref>[[Hôpital militaire]]</ref>. La salle du jeu de paume du 17e siècle, construit en terre et pans de bois et ceint de galeries eut une affectation moins bruyante en [[1686]] en devenant chapelle du Grand Séminaire installé dans le couvent des Eudistes aménagé en [[1724]], et devenu Hôpital militaire en [[1793]]. Ce bâtiment, derrière la [[Maison du peuple]] construite en [[1925]] sous l'impulsion du maire [[Jean Janvier]], et la [[salle de la Cité]], garde un panneau mural de l'ancien jeu de paume.
Au numéro 12, se trouvait l'arrière (l'entrée ?) de l'hôpital militaire <ref>[[Hôpital militaire]]</ref>. La salle du jeu de paume du 17e siècle, construit en terre et pans de bois et ceint de galeries eut une affectation moins bruyante en [[1686]] en devenant chapelle du Grand Séminaire installé dans le couvent des Eudistes aménagé en [[1724]], et devenu Hôpital militaire en [[1793]]. Ce bâtiment, derrière la [[Maison du peuple]] construite en [[1925]] sous l'impulsion du maire [[Jean Janvier]], et la [[salle de la Cité]], garde un panneau mural de l'ancien jeu de paume.
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