« Paul Saint-Guily » : différence entre les versions

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Il est réellement démasqué en juillet 1944, quand, le le 27 au matin, la gestapo tente de l'arrêter à son domicile parisien à Neuilly-sur-Seine. Il échappe de peu à la capture et donc à la torture et à la mort, en filant par l'escalier de service. Toutefois, sa femme est peu coopérative avec les autorités, et est finalement arrêtée puis déportée au {{w|Ravensbrück|camp de concentration de Ravensbrück}}, dont elle revient miraculeusement en 1945.  
Il est réellement démasqué en juillet 1944, quand, le le 27 au matin, la gestapo tente de l'arrêter à son domicile parisien à Neuilly-sur-Seine. Il échappe de peu à la capture et donc à la torture et à la mort, en filant par l'escalier de service. Toutefois, sa femme est peu coopérative avec les autorités, et est finalement arrêtée puis déportée au {{w|Ravensbrück|camp de concentration de Ravensbrück}}, dont elle revient miraculeusement en 1945.  


Il eut un rôle singulier lors de la Libération de Paris, organisant plusieurs décades d'officiers avec lesquels il pris aux allemands les {{w|Hôtel_Saint-Florentin|bâtiments du Ministère de la Marine}}. Cette action, et son rôle dans la résistance, lui valurent une promotion spéciale pour "services rendus à la Résistance" au grade de capitaine de frégate, ainsi que la croix de guerre et une promotion dans la Légion d'honneur. Il quitte cependant la marine en 1946.
Il eut un rôle singulier lors de la Libération de Paris, organisant plusieurs décades d'officiers avec lesquels il pris aux allemands les {{w|Hôtel_Saint-Florentin|bâtiments du Ministère de la Marine}}. Cette action, et son rôle dans la résistance, lui valurent une promotion spéciale pour "services rendus à la Résistance" au grade de capitaine de frégate, ainsi que la croix de guerre et une promotion dans la Légion d'honneur. Il quitte cependant la marine fin 1946.
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